Pauca Meae Elle Avait Pris Ce Pli

universel qui est la mort d’un enfant. Ainsi naissent le recueil de poèmes Les Contemplations. Le quatrième livre de ce dernier est intitulé Pauca Meae. C’est un livre dédié au deuil de sa fille tout en se révoltant contre la cruauté du destin et en exprimant sa nostalgie. Le poème que nous allons étudier en est extrait et se nomme « Elle avait pris ce pli … ». Nous allons tout d’abord montrer que ce texte a aussi une valeur autobiographique pour le poète, puis nous montrerons qu’Hugo dresse ici

linéaire « Elle avait pris ce pli... » Introduction   : Les Contemplations est un recueil de poème écrit par Victor Hugo et publié en 1856. Il est divisé en deux partie « Autrefois » et « Aujourd’hui », la charnière se situant en 1843, date de la mort de sa fille Leopoldine. Nous nous intéresserons à la quatrième partie du recueil intitulée « Pauca meae », partie qui évoque principalement la douleur du deuil de Victor Hugo et, plus particulièrement, au poème « Elle avait pris ce pli ». Ce dernier

universel qui est la mort d’un enfant. Ainsi naissent le recueil de poèmes Les Contemplations. Le quatrième livre de ce dernier est intitulé Pauca Meae. C’est un livre dédié au deuil de sa fille tout en se révoltant contre la cruauté du destin et en exprimant sa nostalgie. Le poème que nous allons étudier en est extrait et se nomme « Elle avait pris ce pli … ». Nous allons tout d’abord montrer que ce texte a aussi une valeur autobiographique pour le poète, puis nous montrerons qu’Hugo dresse ici

Autodidacte, c'est par tâtonnement qu'il apprend la rime et la mesure. Il est encouragé par sa mère à qui il lit ses œuvres, ainsi qu’à son frère Eugène. Ses écrits sont relus et corrigés par un jeune maître d’études de la pension Cordier qui s’est pris d’amitié pour les deux frères. Sa vocation est précoce et ses ambitions sont immenses. Âgé de quatorze ans à peine, Victor, en juillet 1816, note sur un journal : « Je veux être Chateaubriand ou rien ». En 1817, il participe à un concours de poésie

LA FIGURE DE LEOPOLDINE DANS LE LIVRE 4 DES CONTEMPLATIONS. Ce livre IV a pour titre Pauca Meae, ce qui signifie « quelques mots pour ma fille », ce titre est très implicite. Nous nous attendons donc à trouver des poèmes faisant référence a sa défunte fille Léopoldine. Dans Les Contemplations, Hugo ne fait qu'implicitement référence à sa fille. Seuls quelques poèmes lui sont directement adressés, mais elle apparait néanmoins indirectement dans de nombreux poèmes. Nous allons donc voir comment

tristesse de la perte de quelqu’un qu’on aime ? Pour cela, Victor Hugo arrive à capter nos sentiments dans Pauca Meae. Ce poème décrit avec une telle précision nos sentiments que le lecteur entre en communion avec la souffrance de l’auteur puis avec Trois Ans Après, c’est la révolte qui se trouve à l’intérieur de nous sur la cruauté du destin qui est développé >. Dans, Elle avait pris ce pli, il s’attendrit au souvenir du passé avec sa fille, tantôt dans, A Villequier , il se soumet à la volonté

contemporains et l’est encore, mais il a aussi été contesté par certains auteurs modernes6. Il a aussi permis à de nombreuses générations de développer une réflexion sur l’engagement de l’écrivain dans la vie politique et sociale grâce à ses multiples prises de position, qui le condamneront à l’exil pendant les vingt ans du Second Empire. Ses choix, à la fois moraux et politiques, durant la deuxième partie de sa vie, et son œuvre hors du commun ont fait de lui un personnage emblématique, que la Troisième

décrit le châtiment des maudits (Saturne) et glorifie ceux dont le génie déchiffre l’énigme universelle (Magnitudo Parvi). Livre IV : Pauca meae (Quelques vers pour ma fille) C’est le livre du deuil. Hugo médite sur le coup qui l’a frappé. Tantôt il se révolte contre la cruauté du destin (Trois ans après), tantôt il s’attendrit au souvenir du passé (Elle avait pris ce pli), tantôt il se soumet à la volonté divine (A Villequier). Désormais, il associe à la pensée de la mort un espoir d’au-delà (Mors)

XXVII- JOIES DU SOIR XXVIII- J’AIME L’ARRAIGNÉE ET J’AIME L’ORTIE XXIX- LE POETE XXX- LA NATURE XXXI- MAGNITUDO PARVI AUJOURD’HUI (1843-1855) LIVRE QATRIEME : PAUCA MEAE I- PURE INNOCENCE VERTUE SAINTE II- 15 FEVRIER 1843 III- TROIS ANS APRES IV- OH JE FUS COMME FOU DANS LE PREMIER MOMENT V- ELLE AVAIT PRIS CE PLI DANS SON AGE ENFANTIN VI- QUAND NOUS HABITIONS TOUS ENSEMBLE VII- ELLE ETAIT PALE ET POURTANT ROSE VIII- A QUI DONC SOMMES NOUS ? IX- Ô SOUVENIRS PRNTEMPS AURORE X-

adjectifs qualificatifs dans les trois poèmes étudiés. EXPRESSION ECRITE n° 3: Décrivez un lieu où vous vous sentez bien, qui vous donne la sensation d’être protégé. Séance 6 : Lecture analytique « Elle avait pris ce pli dans son âge enfantin », Les Contemplations, « Pauca meae » V p. 49-50 1. Exprime avec tes mots l’attitude qu’avait prise la fille de Victor Hugo ? 2. A quoi le poète compare-t-il Léopoldine au vers 7 ? 3. Relève un vers qui montre l’effet de cette visite sur le poète