Paul Arthurs

plus haut des entrailles A la place où la foudre a frappé trop souvent Un cœur où chaque mot a laissé son entaille Et d’où ma vie s’égoutte au moindre mouvement. Pierre Reverdy, La liberté des mers, 1959 5 6 TEXTE 5 Sous un pseudonyme, Paul Eluard, Louis Aragon, Vercors, Jean Tardieu et Guillevic ont contribué au recueil collectif L’honneur des poètes. Whitman animé par son peuple, Hugo appelant aux armes, Rimbaud aspiré par la Commune, Maïakovski exalté, exaltant, c’est vers l’action

du val », Arthur Rimbaud Illustration, L’homme blessé de Gustave Courbet .............................................5 Poème ..................................................................................................6 4. « La voix », Robert Desnos Illustration, photographie prise par un inconnu ………......................................7 Poème ..................................................................................................8 5. « Bêtes et Méchants », Paul Eluard Illustration

Anthologie (Arthur Verbrugghe)   Thème : L'imagination   Ma définition du verbe « imaginer » est le fait de pourvoir sortir de la vie réelle en créant son propre endroit ou son propre monde comme on le souhaite et quand on le souhaite. Il est important de savoir imaginer car l'imagination peut combler l'ennuie ou encore la solitude. J'ai choisi ce thème car j'ai beaucoup d'imagination et aussi parce que j'aime fermer les yeux, oublier ce qui se passe autour de moi, et imaginer ce qui ce serai

collective, « le Parnasse contemporain », initia Arthur Rimbaud à la poésie de son temps. Le 24 mai 1870, celui-ci, alors âgé de 16 ans, envoya à Théodore de Banville un courrier auquel il joignit plusieurs poèmes (« Ophélie », « Sensation », « Soleil et chair »), afin d’obtenir son appui auprès de l’éditeur Alphonse Lemerre. Banville, bien qu’il répondit à Rimbaud, ne publia jamais ses poèmes. En novembre 1871, Théodore de Banville logea chez lui Arthur Rimbaud, mais dès le mois de mai, ce dernier dans

Mallarmé et, enfin surtout, le romantisme allemand de Jean Paul (dont les rêves annoncent l'écriture automatique) et d'Hoffmann peuvent être considérés comme des mouvements précurseurs du surréalisme. Plus sûrement, les œuvres littéraires d'Alfred Jarry, d'Arthur Rimbaud et de Lautréamont, et picturales de Gustave Moreau et Odilon Redon sont les sources séminales dans lesquelles puiseront les premiers surréalistes (Louis Aragon, Breton, Paul Éluard, Philippe Soupault, Pierre Reverdy). Quant aux premières

principaux problèmes de la vie (XXe siècle). Le poète Arthur Rimbaud (1854-1891) voulait être un visionnaire, se mettre en état de percevoir la face cachée des choses, une autre réalité. C'est en poursuivant les tentatives de Rimbaud que Guillaume Apollinaire (1880-1918) part à la recherche de cette réalité invisible et mystérieuse. Le substantif « surréalisme » apparaît pour la première fois en mars 1917 dans une lettre de Guillaume Apollinaire à Paul Dermée. André Breton Le poète et écrivain français

est un sublime don Qui de toute infamie arrache le pardon. Elle ignore l'Enfer comme le Purgatoire, Et quand l'heure viendra d'entrer dans la Nuit noire, Elle regardera la face de la Mort, Ainsi qu'un nouveau-né, - sans haine et sans remord. Paul Verlaine (1844/1896) Il pleure sans raison, dans ce cœur qui s’écœure Il pleure dans mon cœur, Comme il pleut sur la ville, Quelle est cette langueur, Qui pénètre mon cœur ? Ô bruit doux de la pluie, Par terre et sur les toits ! Pour un cœur

écrivains du voyage s'inspirent de leurs propres voyages, de ce qu'ils ont vécu, Que ce soit un bon souvenir comme pour Arthur Rimbaud avec son poème "Ma Bohème" ou un mauvais souvenir comme pour Joachim Du Bellay avec "Heureux qui comme Ulysse" Lors de ce voyage à Rome, Du Bellay veut retourner dans son village. Ces poètes s’inspirent aussi de leur vies ainsi que de la nature comme Arthur Rimbaud qui raconte ces fugues dans ces poèmes, il parle alors de la nature (Ma Bohème) et Du Bellay est triste après

supérieur et invisible dont le monde réel n’est que le reflet. Il s’exprime sous toutes les formes comme la peinture, la musique, la sculpture et par l’écriture. Il y a L’après midi d’un faune de Mallarmé, Les demoiselles Goubert de Paul Adam, Le roi fou Gustave Kahn. Arthur Rimbaud fut un des plus jeune poète de ce mouvement, il connu un succès précoce grâce à « Ma Bohème », qu’il écrit à 16 ans, il nous raconte une de ces fugues par le biais d’un sonnet modernisé, et qu’il montre sa révolte et son

comparaison met en relation deux éléments, le comparé et le comparant, ayant un point commun, à l'aide d'un outil de comparaison (tel que, ainsi que, comme, plus que...). → « Et quand il a fui – tel qu'un écureuil -/Son rire tremble encore à chaque fois. » (Arthur RIMBAUD, « Tête de faune », Les Cahiers de Douai, 1870) • La métaphore permet le rapprochement d'un comparé et d'un comparant sans outil de comparaison. Le comparant peut même se substituer au comparé. → « Bergère ô tour Eiffel le troupeau des ponts