Paul Demeny

poète qui ressent la même chose que lui. La poésie permet également aux poètes de se libérer d'une souffrance intérieure. Ils vont donc exprimer leur mal-être en méditant sur la fuite du temps, la mort, la lassitude ou le désespoir. Ainsi, Paul Verlaine dans « chanson d'automne » évoque la nostagie du souvenir et Aragon dans « les beaux habits du soir un à un que l'on quitte » parle de la mort de sa tante. André Chenier, pendant son emprisonnement lors de la terreur, écrit  iambes  pour évacuer

différents métiers en Orient (mercenaire, contremaître, négociant.) et rentrera mourir en France, ayant une blessure à la jambe.- Il s'est définit comme un voyant, il voulait redéfinir la poésie. Ceci est visible dans la "Lettre du voyant" adressée à Paul Démeny : "Je est un autre. Je travaille à me rendre voyant. Je dis qu'il faut être voyant, se faire voyant." II. Son oeuvre "Une saison en enfer" (printemps 1873), sorte d'autobiographie, qui se révèle être un échec puisqu'il renonce à être un "voyant"

autonomie, Il « commande » et a des exigences Il prend ses aises : et évoque la jeune fille de manière un peu cavalière, cette liberté rend toute la vie très intense. C’est ce que fait sentir le poème. Paul Verlaine Sa vie : Paul Verlaine (1844-1896). Il publie ses premiers recueils à la fin des années 1860 (Poèmes Saturniens, Fêtes galantes). L’alcool, la bohème se sont déjà emparés de lui. Sa rencontre avec Rimbaud la mène à un

ne publiera pas moins de trente contes. Les médecins décident de l'interner le 7 janvier 1892 et c'est à la clinique qu'il mourra le 6 juillet 1893, âgé de 43 ans, après de longs mois de délires et d'isolement. Paul Verlaine, né en 1844 – mort en 1896 – inscrit dans le symbolisme. Paul Verlaine, fils d'un officier Napoléonien, étudie à Paris au Lycée Bonaparte. Il travaille par la suite à l' hôtel de ville de la capitale. Supportant mal cet emploi , il fréquente les cafés et leurs poètes et commence

de la Bétique dans Télémaque de Fénelon -Lettre écrite à l’Académie française Sur l’éloquence, la poésie, l’histoire etc. de Fénelon -« L’irréductible », Paul Claudel, Feuilles de saints, 1910 -Textes sur la fonction du poète : Victor Hugo , Les Rayons et les ombres Baudelaire , Extrait de L’Art romantique Rimbaud, Lettre à Paul Demeny Cocteau, Le Rappel à l’ordre Philippe Jaccottet L’ignorant -La poésie et l’objet Charles-François Panard, Le verre Jean Follain, Quincaillerie Francis

voyant adressées à Paul Demeny en 1871 : « J'ai résolu de vous donner une heure de littérature nouvelle » …  « Le Poète se fait voyant par un long, immense et raisonné dérèglement de tous les sens.» « Demandons aux poètes du nouveau, idées et forme ». * (Ne pas reprendre la citation de la question). Toutefois, il avoue n’avoir pas réussi à y arriver. Ouverture : Or, ce poème même est la négation de ce qu’avoue Rimbaud, il suffit de le lire et de reprendre la phrase de Paul Verlaine à propos de

objectif auquel il s’est jusqu’à présent consacré. Problématiques possibles - Qu’est ce qui fait le charme de ce poème ? - En quoi ce poème illustre-t-il les fonctions de la poésie ? - Ouvertures possibles Lettre sur le voyant à Paul Demeny Mon rêve familier Verlaine (1866)

résistants se manifestent de plus en plus. Paul Eluard, se distingue en écrivant “Liberté”  en 1942. On observe dans le poème une répétition du vers ”J'écris ton nom” de façon à  montrer que la liberté doit être universelle. Ce poème sera parachuté dans les villes  occupées afin de leur donner un nouvel espoir. La cause dénoncée ici est une action  cependant le poète peut aussi se moquer les vices de l’homme tels que l’hypocrisie.  Dans “Enterrement”, Paul Verlaine critique l’attitude des bourgeois qui même aux 

musicalité (le poète est un musicien, un artisan) - Préférence donnée à la nuance. - Utilisation du vers impair. - Contre la poésie satirique. - Thèmes préférés : rêve, visons, images suggestives. | Fonction du poète : dans la lettre du voyant, à Paul Demeny (1871) : - le poète est un voyant, ou mieux il le devient en scrutant sa nature profonde, en la tentant, en la cultivant, à travers le « dérèglement de tous les sens », jusqu’à devenir le grand criminel, le grand maudit. Il arrivera ainsi à la

coutumières, s’engage dans ses poèmes contre Napoléon III, contre la bourgeoisie, contre les catholiques.             En 1871, il vend sa montre, pour se rendre à Paris. Après un bref séjour, il rédige un Projet de constitution communiste, et écrit à Demeny la Lettre du Voyant, car il faut « changer la vie ». Il envoie à Verlaine quelques vers : « venez, chère grande âme, lui répond le poète, on vous attend, on vous désire. » À Paris, puis à travers l’Europe, se lie entre les deux hommes une orageuse