Paul Eluard Composition Liberte

l'avaient inspirés. Ce vaste poème épique et tragique raconte en sept chants (Misères, Princes, Chambre dorée, Feux, Fers, Vengeances, Jugement) l'épopée des guerres de religion en France. L’œuvre se réfère aux sept sceaux de l'Apocalypse par sa composition de sept poèmes. D'Aubigné s'inspire de sa propre expérience et de sa foi nourrie de la lecture de la Bible pour exprimer sa véhémence contre les catholiques. Dans un premier temps cette œuvre rencontrera peu de succès car une trentaine d'années

d’Apollinaire, qui, « graves magiciens //Incantent le ciel quand il tonne », ou « aube » associé aux Soleils couchants par Verlaine), par les connotations comme l’Inspiration derrière la Portrait de Mallarmé par Édouard Manet figure féminine dans les Pas de Paul Valéry (« Personne pure, ombre divine,/ Qu’ils sont doux, tes pas retenus ! ») ou par des réseaux lexicaux tissés dans le poème comme la religiosité dans Harmonie du soir de Baudelaire. Le poète dispose d’autres ressources encore comme la place dans

question de relation au réel ; l’artiste représente en effet une image de son imaginaire, quelque chose qu’il n’a jamais vu. Comment peindre subjectivement l’inconnu ? Pour chaque époque nous retrouvons ses propres représentations de la Madone et une liberté croissante dans les choix de l’artiste. En partant d’une œuvre du Caravage qui fit scandale en 1606, nous allons étudier différentes représentations de la Vierge à l’enfant au cours de l’Histoire, comparant diverses visions face à ce sujet intemporel

surprenante. Une nouvelle forme de provocation est trouvée lorsque le hasard est introduit comme principe fondateur dans la réalisation des œuvres. Tristan Tzara, en poésie, interpelle son auditoire sur la nature incertaine du langage en déclamant des compositions hasardeuses ; Jean Arp et Sophie Taeuber, dans leurs créations faites de papiers collés, expérimentent ce concept fondé sur la spontanéité et le refus de toute intention esthétique préexistant à l’œuvre (Jean Arp, Carrés disposés selon les lois

ses fulgurances et ses révoltes, Paul Verlaine, avec une œuvre plus longue, est associé à la musicalité, au lyrisme mélancolique et à une sorte d'impressionnisme avec son art de la nuance. LE THEATRE AU XIXeme SIECLE : Le texte de théâtre connaît cependant un nouveau souffle avec le drame romantique qui s'impose durant une décennie de 1830-1840 en revendiquant, comme Victor Hugo dans la Préface de Cromwell en 1827, une esthétique de la sensibilité, de la liberté et de la vérité avec le rejet des

« incanter » dans Les Sapins d’Apollinaire, qui, « graves magiciens //Incantent le ciel quand il tonne », ou « aube » associé aux Soleils couchants par Verlaine), par les connotations comme l’Inspiration derrière la figure féminine dans les Pas de Paul Valéry (« Personne pure, ombre divine,/ Qu’ils sont doux, tes pas retenus ! ») ou par des réseaux lexicaux tissés dans le poème comme la religiosité dans Harmonie du soir de Baudelaire. Le poète dispose d’autres ressources encore comme la place dans

planète retourna l’univers. | | |Dans la forêt il y a un arbre. | |D’après un poème de Paul Eluard |Dans cet arbre il y a un trou. | |Titre : Dans Paris il y a… |Dans ce trou il y a une noisette.

JURA   /   du  25  novembre  au  13  décembre  au  THÉÂTRE  MONFORT  (Paris)  /  les  07,08  janvier  à   ESPACES   PLURIELS,   PAU   /   16   janvier   au   THÉÂTRE   PAUL   ELUARD,   CHOISY   LE   ROI   /   les   20,  21  janvier  à  LA  PASSERELLE,  SCÈNE  NATIONALE  DE  ST  BRIEUC  /  les  27,  28,  29,  30   janvier  au  CDN  DE  SARTROUVILLE

guerre et au système culturel et social qui y aboutit, le mouvement Dada proclame un mépris rageur pour les valeurs en place, y compris celle de l’art. Après avoir fait table rase de toutes les croyances, l’artiste dada découvre le principe de la liberté absolue en art. (MAN RAY, NOIRESETBLANCHES)  Dada, l’un des mouvements les plus marquants de l’avant-garde historique L’esprit Dada, inextricablement lié au contexte historique où il apparaît, à la montée du nihilisme annoncée par Nietzsche, est

Tristan Tzara, Jean Arp, Hugo Ball, Richard Huelsenbeck, Hans Richter, Marcel Janco - A Berlin : George Grosz, Raoul Hausmann - A Hanovre : Kurt Schwitter - A Cologne : Max Ernst, Hans Arp, Johannes Theodor Baargeld -A Paris : André Breton, Paul Éluard, Louis Aragon, Philippe Soupault, Francis Picabia Les différences du courant selon les villes -A New York, l’esprit Dada se manifeste en 1915 lors de l’arrivée de deux peintres français : Marcel Duchamp (1887-1968) et Francis Picabia (1879-1953)