Paul Verlaine Mon Rêve Familier

justification Au commencement de ce module, J’avais des doutes parce que la poésie n’a jamais été mon point fort et en plus je suis pas trop poétique. Dans ce dossier, j’ai fait un commentaire comparé entre les poèmes : A une femme de Verlaine, Femme Noire de Senghor et le serpent qui danse de Baudelaire. J’ai essayé `a travers ce commentaire de faire découvrir que bien qu’ils aient la femme comme commun, leurs approches de la femme sont différentes mais qu’à la fin leurs conceptions

interdit à nos sondes, Comme montent au ciel les soleils rajeunis Après s'être lavés au fond des mers profondes? O serments! O parfums! O baisers infinis! Charles Baudelaire (1821-1867) Les Fleurs du mal (1857) 5 Texte 2 : « Mon rêve familier » 1 Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime, Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend. Car elle me comprend, et mon coeur transparent Pour elle

sentiments de malheur ou de désespoir qui viennent, la plupart du temps, de la nostalgie. Paul Verlaine, dans ses extraits de « Melancholia », écrit plusieurs poèmes se rappelant de son amour pour Elisa Moncomble. L’un d’eux est Après trois ans dans lequel il recrée une scène de rencontre qu’il eu avec elle trois ans auparavant ; « Rien n’a changé. J’ai tout revu … ». Dans ce cas, la poésie permet à Verlaine de revivre un moment qui lui était très cher, elle lui permet de se réconforter. Du Bellay

première fonction de la poésie, puisque les premières oeuvres - D’après moi, la poésie nous permet surtout de nous évader et de nous éloigner de la réalité ; j’ai rencontré cette fonction dans des poèmes comme « Mon Rêve familier » de Paul Verlaine, dans lequel le poète fait rêve d’une femme aimante et aimée. - Mais, je pense en même temps que la poésie sert aussi à nous rapprocher de la réalité en particulier pour la critiquer. En effet, lorsque j’ai lu « Le Manteau Impérial » de Victor Hugo

caractère authentique de part sa simplicité et son émotion. Ronsard cherche à séduire Marie en lui faisant lucidement partager son angoisse. Le poème prend une profondeur nouvelle quand on songe que Marie mourra jeune. Paul Verlaine- Mon rêve familier Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime, Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend. Car elle me comprend, et mon coeur transparent

pour ce faire le poète est à la recherche de rythme et d’effet sonore, par une musique « allitération assonance, rythme, rimes… ». Dans Mon rêve familier de Paul Verlaine le poète raconte qu’il fait tout le temps le même rêve où il y rencontre la femme de sa vie. Dans ce poème on peut voir dès la première ligne qu’il y a une allitération « je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant.» on remarque une répétition du son (é) ainsi que (en) ceci peut donc donner un coté plus musical au poème.

| | | |Féerie (pouvoirs magiques) : | |enfance : monde de rêve auquel l’enfance prête vie t qui, au fur et à mesure, va baigner dans la lumière | |( Enfant = je = interlocuteur privilégié et complice | |Aube : double pouvoir de métamorphose et de renaissance

inaccessible. →​ Vision idyllique de la beauté →​ La beauté de la femme lorsqu’elle est rapprochée de celle de la fleur Verlaine Poète de la deuxième moitié du 19ème ​ ​siècle. « Poètes maudits » → Vie très mouvementée en marge de la société. Finit sa vie dans la misère. La célébrité ne lui aura pas fait connaitre la richesse. « Mon rêve familier » → Femme inexistante →Femme idéalisée →​ RÊVE ​ inaccessible qui aboutie à un échec → Mère, amante, soeur donc inconnue et éloignée du monde réel. → Il s'agit

sociale, mais Il arrive aussi que le poète nous entraîne dans l'univers de ses propres rêves. Et l'on trouve dans cette subjectivité le génie personnel de chacun. Avec Paul Verlaine par exemple, la poésie se fait musique, légèreté et suggestion. Peintre certes, mais un impressionniste des clairs-obscurs et des demi-teintes, Verlaine nous invite à des « Fêtes galantes » et des « Romances sans paroles ». Grâce aux assonances, à la douceur des rimes féminines, aux répétitions mélodieuses, le lecteur

honoraient ta beauté, La Parque t’a tuée, et cendre tu repose. Pour obsèques reçois mes larmes et mes pleurs, Ce vase plein de lait, ce panier plein de fleurs, Afin que vif, et mort, ton corps ne soit que roses. Mon Rêve familier, Paul Verlaine Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D’une femme inconnue, que j’aime et qui m’aime, Et qui n’est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m’aime et me comprend. Car elle me comprend, et mon cœur transparent