Paul Verlaine Nevermore

Paul Verlaine, Jadis et naguère, « Art poétique », 1874 Intro. Oeuvres maîtresses : Poèmes saturniens 1866 / Fêtes galantes 1869 / Romances sans paroles 1874 > oeuvre marquée du sceau de la poésie de Baudelaire en qui Verlaine reconnaît un maître (Verlaine, comme Baudelaire et Rimbaud, font partie de ceux que l'on qualifie volontiers de poètes maudits <=> volonté de vivre en dehors des conventions sociales / refus de l'ordre bourgeois, de l'autorité (les 3 poètes sont fils de militaires

réalité en rendant poétique ce qui ne l’est pas. La poésie à a voir avec la réalité quotidienne car elle s'appuie parfois sur une personne, un lien ou un objet réel. En effet, la poésie peut décrire un lieu tel que dans « L’auberge » de Verlaine où il décrit cette auberge , «  mur blanc, toit rouge », « grand chemin poudreux », il décrit aussi le propriétaire «  l’hôte est un vieux soldat ». Ensuite dans « Venus Anadyomène » de Rimbaut, il y décrit une vieille femme sortant de son bain,

du voyage qu’il oppose à la vie de citadin monotone dans les « auberges grises ». Les bohémiens voyagent, ils sont en mouvement perpétuel et sont affranchis des contraintes sociales que Rimbaud trouvaient trop pesantes, tout comme Apollinaire. Verlaine a également repris le thème dans son poème Grotesques, où il met en évidence la réaction de la société face à ces nomades qui vivent libres. Lors de ses premières fugues, Rimbaud se retrouve dans la campagne, loin des contraintes de la ville. Il

Paul Verlaine «Mon rêve familier » Poème saturniens: Titan père des olympiens. Saturne (romain) Ou Cronos (grec) sa femme et Réa Cronos a peur que ses enfants le détrônent donc il les mange. Zeus est sauvé par sa mère réa et oblige son père a recraché ses frères et sœurs et l’enferme dans le tartare. Sature: dieu mélancolique pour Verlaine le poème recueille saturnien est marqué par le parnasse car il y a un travail sur la forme en utilisent le sonnet (2 quatrains: ABBA, 2

Vous présenterez les thèmes qui permettent de rassembler ces quatre poèmes. Paul ELUARD, Paul VERLAINE, Petrus BOREL ainsi que Charles BAUDELAIRE sont quatre auteurs qui dont partis du Modernisme ou plus précisément, de l'époque du Romantisme. Dans chacun de leur poème, l'amour est le thème principal «toi que j'aime a jamais» de P.Eluard, «que j'aime et qui m'aime» de P.Verlaine, «je n'ai que la soif des amours» de P.Borel ainsi que «je plongerais ma tête amoureuse d'ivresse» de C.Baudelaire

Santos ,car ce poème évoque le printemps qui renferme les souvenirs de l'auteur,qui elle vieillit avec le temps . En second, un poème de Voltaire qui malgré l'époque ,évoque la vieillesse de l'amitié qui est présente de nos jours . Le texte de Paul Verlaine raconte l'histoire deux spectres évoquant le passé . Celui de Max Elskamp représente un homme de cent ans nostalgique. Guy de Maupassant aborde l'imaginaire ,le temps qui passe par l'intermédiaire d'un aïeul ,il illustre le temps qui défile jusqu'à

sentiments : description, absence intégration des sentiments/ Prose= unité bloque mais aussi averse car £ du + grand au + petit= rend la pluie différente. * Baudelaire : Spleen : parle de la pluie pour parler de son mal être : cf symbolisme * Verlaine, Ariette III : pluie= rythme de musique (mêmes mots et même sons repris + mêmes rimes donc reprise de rythme) * Apollinaire : la pluie sous forme de calligramme : nouvelle représentation de la pluie par les mots mais representation en dessin

Explication de Walcourt de Verlaine Walcourt est le premier des « paysages belges » dans le recueil Romance sans paroles. Sous une forme originale, il évoque le voyage avec Rimbaud, en train et se présente comme une succession de vues rapides et joyeuses. I) Une forme originale II) Des impressions dynamiques et gaies III) Des thèmes verlainiens I) Une forme originale - quatre quatrain de quatre vers : une forme parfaitement régulière et « carrée » qui peut faire penser aux fenêtres

Sans lueur aucune. On croirait voir vivre Et mourir la lune. Corneille poussive Et vous, les loups maigres, Par ces bises aigres Quoi donc vous arrive ? Dans l’interminable Ennui de la plaine La neige incertaine Luit comme du sable. Paul Verlaine, Romances sans paroles (1874) Décembre Le hibou parmi les décombres Hurle, et Décembre va finir ; Et le douloureux souvenir Sur ton coeur jette encor ses ombres. Le vol de ces jours que tu nombres, L’aurais-tu voulu retenir ? Combien

des formes pour mieux s’en affranchir. Dans "À la louange de Laure et de Pétrarque", Paul Verlaine se rit des sonnets en démembrant leurs nombreuses règles. Son poème, choquant au premier abord, regorge denouveaux mots. Le vocabulaire ecclésiastique utilisé met le lecteur sur la voie de l’ironie. Le poème devient selon la volonté de Verlaine, lourd pour qui le lit sans y percevoir la moquerie. Verlaine se plie à la contrainte pour mieux la critiquer. c) La recherche du mot juste justifie