Paul Weick

comme l'Espérance est violente Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure Passent les jours et passent les semaines Ni temps passé Ni les amours reviennent Sous le pont Mirabeau coule la Seine La Chanson du Mal-Aimé A Paul Léautaud Et je chantais cette romance En 1903 sans savoir Que mon amour à la semblance Du beau Phénix s'il meurt un soir Le matin voit sa renaissance. Un soir de demi-brume à Londres Un voyou qui ressemblait à Mon amour vint à ma rencontre

Paul Marie Verlaine est un poète français, né à Metz le 30 mars 1844 et mort à Paris le 8 janvier 1896. Après que le père, Nicolas-Auguste Verlaine, a démissionné de l'armée, la famille Verlaine s'installe à Paris en 1851. Paul Verlaine suit des études secondaires en pensionnat et devient bachelier en 1862, il renonce par la suite à des études de droit et entre comme employé à l'Hôtel de ville de Paris en même temps qu'il fréquente cafés et cercles littéraires comme celui des Vilains Bonshommes

milieux littéraires modernistes et rejoint en 1922 l'aventure surréaliste. Paul ELUARD, de son vrai nom Eugène Emile Paul Grindel, est un poète français né le 14 décembre 1895 et mort le 18 novembre 1952. Il devient l'un des piliers du surréalisme en ouvrant la voie à une action artistique engagée. Louis ARAGON, poète, romancier et journaliste, né le 3 octobre 1897 et mort le 24 décembre 1982.  Avec André Breton, Paul Éluard, Philippe Soupault, il fut l'un des animateurs du surréalisme.

(Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux, le Paysan parvenu, 1735 ; Henry Fielding, Histoire de Tom Jones, enfant trouvé). De nombreux autres romanciers français ont subi l'influence du roman picaresque espagnol, notamment Charles Sorel (Francion) et Paul Scarron (le Roman comique). Par le caractère extrême de son réalisme, le picaresque anglais prend pour objet l'évocation des bas-fonds (déjà illustrée par Thomas Nashe dans le Voyageur malchanceux) et est particulièrement adapté à la notation du manichéisme

ARTS, ETATS, POUVOIR : Liberté, Paul Eluard INTRODUCTION - - • contexte littéraire : Le mouvement surréaliste naît dans les années 1920, et entend toucher tous les arts, de la littérature (Breton/ Desnos/ Aragon/ Eluard), à la peinture (Picabia, Ernst, Miro, Magritte), la sculpture (Arp), ou encore le cinéma (Buñuel/ Cocteau). Les surréalistes entendent se détacher de toutes les conventions, de tout contrôle de la raison, de toute préoccupation esthétique et morale. Mais l’oppression

représente le monde temporel . Un intendant aux vêtements orientaux Un serviteur de couleur qui tend une coupe aux mariés Un verre vénitien qui préfigure nos coupes de champagne Le couple d’époux Le concile de Trente (1545-1563) Le pape Paul III convoque en 1542 un grand concile œcuménique à Trente. Ce concile débute officiellement le 13 décembre 1545. Le pape lui donne pour objectif de revigorer l'Église catholique. Le mouvement va prendre le nom de Contre-réforme, par réaction à la

cette méthode » 1637 : Corneille «  le Cid » tragi-comédie 1640 : Corneille «  Horace » tragédie 1641 : P. Corneille « Cinna » tragédie classique 1650 : Gilles Ménage «  Origines de la langue française » - première grammaire française 1651-1657 : Paul Scarron « Le roman comique » pastiche du langage précieux. 1654 : Jean de la Fontaine : L'Eunuque, comédie 1657 : Cyrano de Bergerac « L’autre monde » un des premier œuvres de science-fiction, décrit le voyage sur la lune et le soleil 1662 : Molière

flatté, S'approcha. Mais sa vanité (Jean de La Fontaine) Le contre-rejet est un mot ou groupe de mots qui est rejeté au vers précédents. → Car elle me comprend, et mon cœur, transparent Pour elle seul hélas ! Cesse d'être un problème. (Paul Verlaine) L'enjambement est une phrase qui déborde le cadre du vers et se poursuit sur le vers suivant. → En quelque endroit que j'aille, il faut fendre la presse D'un peuple d'importuns qui fourmillent sans cesse. (Nicolas Boileau) C)

la nature. Il fit une seconde fugue, à Charleroi, le sept octobre dans le but de détenir un poste de journaliste. Suite à son échec, il décida de retourner à Douai pour y recopier ses poèmes connus sous le nom de Cahier de Douai et les remettre à Paul Demeny (auteur des Glaneuses et l’ami d’Izambard). Toute la famille s’inquiétait pour lui, mère décida alors de faire appel à la police pour le retrouver. Retourné à Charleville, l’école étant fermée, il en profita pour dévorer des livres à la bibliothèque

auteur-compositeur-interprète québécois. Fils d'un marin pêcheur et d'une institutrice de campagne, il étudie à Rimouski, puis à Québec. Inspiré par les œuvres de poètes tels que Pierre de Ronsard, Victor Hugo, Émile Nelligan, Arthur Rimbaud, Charles Baudelaire, ou encore Paul Verlaine, Vigneault devient lui-même poète et conteur. Dans ces écrits, il décrit abondamment les gens et le pays de Natashquan, dont les particularités émanent notamment du fait que jusqu'en 1996, le canton est resté inaccessible depuis la route,