Pédérastie

intéressant de retracer l'histoire de l'homosexualité pour rappeler que le combat ne s'arrétera jamais et qu'il est nécessaire de rester vigilant. Cette bréve étude permettra, en outre, de tordre le cou à certaines idées reçues. **** La Grèce antique: péderastie et rite initiatique. vant de parler de la Gréce et pour ne pas laisser penser que le probléme gay est purement occidental; il est bon de rappeler que les pharaons comptaient des jeunes garçons dans leurs harems et qu'au japon, les samourais,

comportements sexuels. Il faut comprendre qu’aucune autre civilisation n’a accordé une place aussi visible et officielle au termequ’on nomme l’homosexualité. L’extrait nous introduit à des pratiques très courantes en Grèce antique, on parle ici de pédérastie, rituels de passage vers l’âge adulte et homosexualité despersonnages connus (dieux, philosophes). Né le 3 octobre en France, l’auteur-Historien Maurice Sartre se passionne notamment par l’histoire du monde grec et du monde romain oriental,

L’homosexualité a indéniablement été présente à travers les différentes périodes de l’histoire. Par contre, la vision du peuple diffère selon l’époque et la société. En Grèce antique l’homosexualité n’est pas mal vue, au contraire. La pédérastie était un rituel important pour la transition vers le monde adulte. Il y a quelques nuances pour complètement conclure que l’homosexualité est acceptée en Grèce ancienne. Maurice Sartre, un historien, a écrit un texte : L’homosexualité en Grèce ancienne

un choc. (Synonyme : Bleu) Corridor (p.174) : Passage étroit, couloir qui relie les pièces d'un appartement. (synonyme : Couloir) Hagards (p.177) : Qualifie une personne qui a l'air effaré. Pédéraste (p.200) : Celui qui s'adonne à la pédérastie. (Pédérastie : Attirance sexuelle d'un homme pour les jeunes garçons)

est parfois vu comme l'une des passions néfastes que produit l'épithumia (ou « appétit »), mais aussi comme une « divine folie » qui est « la cause des plus grands biens pour les hommes »[3]. Cependant il pouvait se mêler à la philia à travers la pédérastie[4], qui liait un amant d'âge mûr (« éraste ») à un jeune aimé (« éromène »). L'agapê est l'amour du prochain, une relation univoque que l'on rapprocherait aujourd'hui de l'altruisme. Il se caractérise par sa spontanéité, ce n'est pas un acte réfléchi

les actions des Hommes en différenciant ce qui est bon et mauvais car rend honteux un acte mauvais effectué devant un individu qu’on aime. Phèdre établit que l’Etat serait inatteignable s’il composait son armée uniquement d’aimés et d’amants (cf. pédérastie) Seuls les amants acceptent de mourir pour autrui, amour = source de courage permettant reconnaissance des Dieux (cf. Alceste ressuscité, Eurydice refusé à Orphée, Achille récompensé pour avoir vengé Patrocle) 3. Discours de Pausanias Contredit

les hommes (parce qu'ils ont plus de vigueur et d'intelligence que les femmes) et les jeunes garçons que lorsqu'ils commencent à être intelligents : ils préfèrent leurs âmes à leurs corps. Pausanias enchaîne avec la diversité de jugements sur la pédérastie et les règles de conduites existantes suivant les Etats. A Lacédémone (Sparte) et chez les Béotiens (Thèbes), il est bien de céder aux vœux d'un amant. En Ionie et chez les Barbares au contraire, c'est considéré comme mal car on redoute l'association

que le paroxisme de ce culte. La relation entre ces deux personnes de sexe masculin répondait aussi à un rôle éducatif: si le plus agé pouvait admirer la beauté du corps du benjamin, en contre partie, il devait servir de modéle pour ce dernier. La pédérastie y est donc considérée comme un rite initiatique entre un adulte (le maitre) et un jeune garçon (l'éléve), d'un rite social de passage, où l'enfant élevé par les femmes s'émancipe pour devenir un homme. Les relations entre le maître et l'éléve étaient

nécessairement, des relations sexuelles avec une ou plusieurs de ces personnes. »1 L'homosexualité masculine était autrefois appelée en français sodomie, bougrerie, amour des garçons, amour grec, antiphysique,inversion sexuelle ou uranisme. La pédérastie, qui désigne, selon l'étymologie, l'attirance d'hommes envers les adolescents mâles, a fini par désigner aussi l'attirance entre les hommes d'âges semblables, ou encore l'acte de sodomie. Cet amalgame s'est poursuivi en ce qui concerne les relations

andre gide les faux monneyeurs Résumé Les Faux-monnayeurs Roman écrit par André Gide, publié en 1925. Ce roman, difficile à résumer, comporte des intrigues et des personnages multiples, qui s'enchevêtrent les uns les autres. Il est toutefois possible de dégager une histoire centrale autour de trois personnages, et plusieurs intrigues secondaires qui en partent ou y reviennent. Histoire centrale L'histoire centrale est celle de trois personnages, deux jeunes garçons