Peine De Mort Platon Aristote

parce qu’il y trouve un plaisir ou que le masochiste s’offre à ses sinistres machinations par goût de jouissances morbides, en revanche l’équivalence entre « être méchant » et « être malheureux » ne nous saute pas aux yeux. Si nous n’avons pas de peine à reconnaître qu’un homme puisse édifier son bonheur au prix d’actes moralement condamnables, nous comprenons bien moins qu’il faille le dire malheureux sous prétexte qu’il fait le mal. Tout l’enjeu du paradoxe socratique est pourtant de fonder

(permis VS interdit) cela relève du culturel et donc de l’appris. Plus de comportements appris que ce que l’on croit ? Une faille radicale entre l’être de l’animal et celui de l’homme ? Heidegger : « Philosopher, c’est apprendre à mourir » (idem Platon et Sénèque) §3. Le droit changeant Des systèmes juridiques relatifs, liés à des conditions d'émergence spécifiques du point de vue historique, géographique, culturel, politique ? Les institutions varient-elles davantage que le contenu

 TRAVAIL DE RECHERCHE CANDIDE La question de l’Homme au XVIIIº siècle I- L’époque Le XVIIIº siècle est accordé de commencer en 1715, année de mort de Louis XIV puisqu’elle définit la fin d’une monarchie absolue et le début du siècle « éclairé ». La France au XVIIIº siècle connaît trois différentes périodes: La Régence avec le duc d’Orléans de 1715 à 1723, époque de libération des mœurs, des libertinages. La France se trouve dans une légère crise économique héritée du monarque précédent Louis

Sommaire I-Introduction II-Historique sur la peine de mort III- Aspect moral et culturel IV-Aspect judiciaire et politique V- Aspect religieux VI- Aspect économique VII-Conclusion et avis personnels VIII-Bibliographie II-Origines, historique et évolutions de la peine de mort La peine de mort fait parties des premières sanctions pénales, étant appliqué depuis l’Antiquité. Elle a été retrouvée dans des textes juridiques datant de -1750 av. J.-C (le Code d’Hammourabi). Beaucoup

œuvres ont été mal conservées. Deux auteurs ont été considérés comme les maîtres de la pensé grecque : Aristote et Platon, ils dominent du point de vue du nombre de leur œuvre et de leur idées. Leur influence est telle qu’ils sont à l’origine de deux méthodes de raisonnements opposées. • Platon aime le raisonnement abstrait aussi va-t-il inventé une méthode déductiviste et mathématique. • Aristote lui préfère l’observation concrète, il crée la méthode qui s’inspire des sciences naturelles elle repose

Selon Freud, toute névrose provient d’une rupture d’équilibre entre le surmoi, le ça et le moi, qui se manifeste par un sentiment d’angoisse : – le « ça » est totalement inconscient  ; il correspond à la part pulsionnelle (libido et pulsion de mort) ; – le « moi » est conscient ; la part inconsciente est chargée de se défendre contre toutes les pulsions du « ça » et les exigences du « surmoi » ; – le « surmoi » désigne l’instance psychique inconsciente, exprimant la puissance des interdits

jeu. Selon Freud, toute névrose provient d’une rupture d’équilibre entre le surmoi, le ça et le moi, qui se manifeste par un sentiment d’angoisse : – le « ça » est totalement inconscient ; il correspond à la part pulsionnelle (libido et pulsion de mort) ; – le « moi » est conscient ; la part inconsciente est chargée de se défendre contre toutes les pulsions du « ça » et les exigences du « surmoi » ; – le « surmoi » désigne l’instance psychique inconsciente, exprimant la puissance des interdits intériorisés

tournons-nous vers l'inauguration du discours philosophique, dans l'Athènes du Ve av. J.C. Celui avec qui nous allons parler, ou plutôt, dialoguer, c'est Socrate. A- Socrate ou l'invention du concept Historique rapide : Socrate est né en 470 av. JC et mort en 399 (condamné par sa cité à boire la ciguë, sous prétexte qu'il porte atteinte aux fondements de la cité, qu'il est corrupteur de la jeunesse, etc.). Fils d'une sage-femme et d'un sculpteur de pierres. Particularité : il n'a rien écrit (ne pas oublier

de chercher et de connaître. Pratiquer le questionnement philosophique, c'est poser et creuser les grandes questions et interrogations humaines comme, par exemple, la question du bonheur, la question de l'amour, la question du mal, la question de la mort, la question de Dieu, etc.. Le cours de religion catholique inscrivant dans son programme ces grandes questions humaines, il rendra les élèves capables de pratiquer le questionnement philosophique. On apprendra dès lors à - développer une problématique

c'est la pratique qu'en fait Socrate, dans les dialogues de Platon (où l'on trouve un usage abondant du mot), qui fixera le type de recherche et de questionnement en quoi consiste encore aujourd'hui la philosophie. Le terme est composé des mots « amour » (philos) et « sagesse, savoir » (sophía), la « philosophie » signifiant ainsi : « amour de la sagesse » ou « amour du savoir ». La philosophie est à plusieurs reprises définie par Platon comme étant en opposition avec les désirs « humains » : philo-hèdonos