Peintures Orphée

les matins du monde ? La Légende : Orphée, poète et chanteur mythique de Thrace, fils du roi Œagre et de la muse Calliope savait par les accents de sa lyre (sorte de guitare) charmer les animaux sauvages et émouvoir les êtres inanimés : avec ses mélodies, il envoute tout le monde. Apollon lui transmit des dons multiples. Sa femme, Eurydice lors de leur mariage, fut mordue au pied par un serpent. Elle mourut et descendit au royaume des Enfers. Orphée put, après avoir endormi de sa musique

être élu des dieux, ils l'on choisi. L'archétype du poète, Orphée, est représenté avec sa Lyre ( ce qui montre que la poésie est également liée à a la musique), qui est un cadeau d'Apollon. Il a également le langage universel, ce qui fait de la poésie un art essentiel. Grâce à ce langage, son chant, Orphée charme le monde animal, végétal, minéral : tout est sensé être habité par la vie et donc sensible au langage poétique. Orphée conditionnera l'image futur du poète la représentation que les

celui-ci est représenté de différentes formes. Les « Géorgiques IV » [485-503] de Virgile, est un poème antique, racontant la descente aux Enfers d'Orphée, afin de chercher son aimée Eurydice, morte. En effet, après la mort de celle-ci, le poète Orphée avait obtenu la permission d'aller la chercher dans le royaume des morts, à la seule condition qu'il ne se retourne pas et ne regarde jamais en arrière. Les « Géorgiques IV, est un poème de la Pléiade du XVIème siècle, extrait du recueil Premier

» v9 II. Les différentes images que Gérard de Nerval se donne de lui-même A. Gérard de Nerval se cherche à travers les poètes, les Dieux et à travers les légendes, les héros historiques médiévaux 1. À travers les poètes : à Virgile : v6 ; à Orphée : v12 et v13 2. À travers les Dieux de la mythologie gréco-latine : Amour v9: fils de Vénus ; Apollon v9 : Dieu des arts ; de la beauté et de la poésie. 3. À travers les personnages de légendes du Moyen-Âge : v2 :« Le prince d’Aquitaine » ; v9 :

pardonner le vol de ses troupeaux, ce dieu au génie inventif en fit cadeau à son demi-frère Apollon, auquel le nom de la lyre, instrument favori dont il jouait merveilleusement, fut désormais attaché. Rien d'étonnant à ce que le fils présumé d'Apollon, Orphée, ait hérité du don magnifique de charmer la nature et toutes les créatures grâce à sa lyre.Ainsi par son étymologie même, le mot lyrisme confère à la poésie lyrique un rapport avec le chant et la musique : elle rythme l'émotion (rythme régulier ou

reconstruite Gérard de Nerval est celle d'un homme brave prêt à affronter les dangers pour retrouver son amour disparu comme l'a fait Orphée pour ramener à la vie son épouse Eurydice. Il se considère comme un héros, un dieu et il s'assimile à cette figure mythologique.Il se dit vainqueur à deux reprises de « l'Achèron », fleuve des enfers (vers 12 ), et comme Orphée il joue de la lyre (vers 13).

L'orphisme L’orphisme est un mouvement religieux qui s’est développé en Grèce à partir du sixième siècle avant JC. Il a été instauré par Orphée, qui aurait vécu avant Homère. Orphée est souvent décrit comme le maître des incantations ou un enchanteur d’origine thrace. Les adeptes de l’orphisme sont appelés les Orphéotélestes. Ceux-ci sont des individus à part, qui vivent éloignés des cités ; ils sont considérés comme des purificateurs, initiateurs à leur religion. Dans un premier temps, nous

identifie 2 questions rhétoriques qui permettent au poète s’exprimer 1 plainte. Le poète répète l’adv interrogatif « que » pr déplorer son manque d’inspira° par comparaison à ses illustres prédécesseurs. - Ainsi la harpe Thracienne est 1 référence à Orphée, fils de Calliope & d’Olagre, roi de Thrace. O. est le prince des poètes & le 1er représentant de la poésie lyrique ds l’Antiquité. La personnification de l’enfer v.2 « réveille de l’enfer paresseux » contribue à faire de celui-ci 1 créature animée

subjectivité »1. Si le mot « poétique » a dans son acception quotidienne le sens d’harmonieux et de sentimental, c’est à l’importance de la poésie lyrique qu’il le doit. Celle-ci, orientée vers le « moi » du poète, doit son nom à la lyre qui a appartenu à Orphée et Apollon et qui, dans l’Antiquité, accompagnait les chants qu’on ne distinguait pas alors de la poésie mais ne doit pas se limiter à la petite musique personnelle du poète chantant un des thèmes traditionnels et à priori poétiques comme l’amour

y parle des Muses qui lui apportaient la « liberté », la « postérité » et «l’immortalité » par leur inspiration, Baudelaire explique que sa muse n’est pas celle dont il rêve. Elle a les « yeux creux », son teint reflète « la folie et l’horreur », elle est laide et macabre .Le poète se plaint de sa muse qui ne l’inspire que des idées noires ; Il la compare à un « succube », un démon qui sous les traits d’une femme charme les hommes dans leurs rêves et leurs procure des visions érotiques et au marais