Péjoratif

la scène d’exposition et l’éducation des femmes tournée vers le projet d’arnolphe. I Une scène d’exposition Le portrait d’Agnès dépeint par l’auteur au travers des mots prononcés par Arnolphe est dépréciatif, l’auteur utilise un vocabulaire péjoratif « une sotte » v1, il s’agit donc d’un blame en vers les femmes non cultivées. Molière met donc implicitement en valeur les Précieuses, femmes habiles. La naïveté d’agnès permet à Arnolphe de la preserver du «  mal », c'est-à-dire d’adultère et autres

l’abus de pouvoir de ceux qui gouvernent et leur impérialisme est pointé du doigt « le prince et son conseil concluent sans grande difficulté que cette province lui appartient de droit ». L’auteur utilise du vocabulaire excessif et un vocabulaire péjoratif. La Bruyère, quant à lui, dénonce la guerre en ridiculisant les hommes, se battant à mort pour de petites parts de terres, incapables de réfléchir « pour quelques morceaux de terres, sont convenus entres eux de se dépouiller, se bruler, se tuer »

Sémantique entre l’enfant riche et le pauvre.  Péjoratif : enfant pauvre et son univers, « charbon et les orties » (ligne 14), cela représente la pauvreté et le sauvage, la liberté du pauvre. La pauvre vit hors des cages, il est libre alors que le riche est surveillé. Il relaie le point de vue de la condition sociale. Il fait de l’enfant pauvre quelque chose de plus. Ils sont tous deux innocents : « marmots » : familier (ligne 16) « parias » : marginal donc péjoratif car rejeté par la société. Mais à la ligne

l’hypocrisie des personnages de Guy de Maupassant dans la nouvelle « Boule de Suif » se démarque également par le discours de ceux-ci face à Boule de Suif. D’une part, lorsque celle-ci n’est pas présente, les bourgeois se permettent de partager des noms péjoratifs à son insu alors que celle-ci se montre très aimable avec les autres, même si elle peut voir le jugement de certains sur leur visage, et va même jusqu’à partager son panier de provisions avec les autres. Cela montre la place médiocre que ceux-ci

Paradoxalement, dans Chant d'amour le poète utilise la nature pour comparer la beauté de sa bien-aimée mais il donne l'impression que la nature n'est pas à la hauteur de sa beauté qui elle est presque divine. C'est pour cela qu'il utilise un vocabulaire péjoratif « pâle verdure » ( v148), « une grotte obscure » (v152). Ce poète utilise donc le thème de la nature comme support pour exprimer ses sentiments, c'est une sorte de miroirs imparfaits de ses sentiments, l'amour (beauté), le désespoir, la nostalgie

moderne et libérale, très différente de la démocratie athénienne. Il est donc difficile de la comprendre. Hannah Arendt, Condition de l’homme moderne, Paris, Agora, Essai, 2002 (lire au moins le passage sur la Grèce antique) Statut du travailleur péjoratif et consacré aux esclaves. Pour être citoyen, il faut s’affranchir économiquement. Croyance en l’au-delà et donc a une certaine forme d’immortalité. Le citoyen est au centre de l’ordre politique et du logos = raison politique. Contemplation des vérités

des autres peuples par comparaison, en prenant un exemple précis : celui de l'organisation du travail où chez les Utopiens, le travail est planifié. La comparaison est un élément de l'argumentation. B. Lexique péjoratif et reprise du thème du grand nombre : * Lexique péjoratif : "inactive", "ronflent", "oisive", "trouve", "ceux qu'on appelle" (mise à distance et remise en cause de leur fonction, c'est méprisant), "valetaille", "lie de faquins", "inventent". * Thème du grand nombre

les romains, le barbare désigne le peuple qui ne parle pas la même langue qu’eux (grec ou latin). Par extension, ce terme désigne les étrangers c'est-à-dire les peuples qui n’ont pas une culture gréco-romaine. Le terme possède également un sens péjoratif qui est définit le barbare comme une personne violentes, sauvage et non civilisé. Nous étudierons dans un premier temps comment les Romains voyaient-ils les Gaulois et quels sont les stéréotypes véhiculés tout au long de l’histoire. Dans un deuxième

Les Regrets Du Bellay • Références à un passé malheureux Négations + interrogations « Las + interjection » Lexique péjoratif / Laudatif Strophes : passé et présent (victime, perte de l’inspiration) Le dernier mot du poète « s’enfuient » montre un poète qui devient étranger à lui-même. « Où est » = passé révolu « Las » = interjection Répétition anaphorique de « où » = adverbe Poème élégiaque = où le poète se lamente, écrit ses peines, douleurs, etc… Impression qu’il y a deux

par exemple, est surprenante pour deux raisons.  D'une part,  le narrateur nomme les personnages comme si nous les connaissions déjà et étions au courant des circonstances de leur première rencontre.  D'autre part, cette phrase annonce un portrait péjoratif de Bérénice « franchement laide »,  ce qui ne correspond pas à la scène de rencontre traditionnelle; nous sommes très loin du topo de la scène du coup de foudre. Toute intrigue amoureuse semble même exclue "elle lui déplut,  enfin" avec l'adverbe