Pèlerinage

L’Église (4 à 5 heures) Sans omettre les évolutions, le XIIIe siècle est choisi comme observatoire privilégié. L’Église est présentée comme une structure et un acteur essentiels de l’Occident médiéval. Elle participe à son expansion (évangélisation, pèlerinages, croisades). L’enracinement social et les manifestations de la foi sont étudiés à partir des monuments et des œuvres d’art. • Carte : diffusion de l’art roman et de l’art gothique. • Repères chronologiques : la première croisade (1095) ; Bernard

Seconde 5Etude sur le document 3 Ce document est une retranscription par Foucher de Chartres du discours prononcé par le Pape Urbain II lors du Concile de Clermont (France) le 27 novembre 1095. Il s’agit d’un extrait de son livre « Histoire du pèlerinage des Francs à Jérusalem ». A la fin de son discours, le Pape appelle à la croisade pour délivrer Jérusalem.L’auteur de ce texte est Foucher de Chartres, né à Chartres en 1059. Il a assisté au concile de Clermont puis a participé à la croisade. Il

être le récit d'un voyage menant à un rendez vous amoureux devient un véritable pèlerinage dans lequel l'auteur célèbre l'immortalité de sa fille ? Nous nous intéresserons dans un premier temps à l'évocation du pèlerinage, puis, nous étudierons les sentiments ressentis par le poète. Enfin, il s'agira de voir que ce poème est un véritable hommage. I – Le pèlerinage 1 ) Évocation d'un voyage * Perçu comme un pèlerinage : Le poète va se recueillir et rendre un hommage. * Mouvement du poème : Départ

pensées » v5. Cette métaphore paradoxale est à la fois la métonymie d’une introspection. Elle représente la détermination du père. II/ Un pèlerinage (Ou un itinéraire déterminité pour rejoindre sa bien-aimée) a) Il s’isole (ou : verbes de mouvement et progression spatiale) Ce n’est pas qu’un simple déplacement géographique, mais un pèlerinage. Un pèlerinage est un voyage à pied incitant à une méditation aboutie, ce voyage est sacré pour Hugo. Il est acète, il ne s’agit pas de nourriture mais de

pratiquer la charité suivre les règles de morale obéir aux commandements prier régulièrement assister à la messe C) les pèlerinages - Jérusalem - Saint Jacques de Compostelle - Cologne - Rome ► Ces pèlerinages étaient dangereux. On faisait des pèlerinages pour purger une peine, se faire pardonner des pêchers. Ces pèlerinages se faisaient obligatoirement à pieds. Les pèlerins faisaient des détours pour voir d'autres lieux sacrés avec des reliques, on espère l'intercession

evenements qui ont marqué la vie de Victor Hugo. On comprend aussi, dans le dernier première personne et au futur de volonté et de certitude, dans un discours d'un distique, que le poete s’adresse à sa fille Léopoldine. Tous les ans il entreprend un pelerinage entre Le Havre et Villequier, le village de Normandie où elle s’est noyée et où elle est enterrée, afin de retracer la vie de sa fille morte quatre ans plus tot. Ce voyage vers le souvenir et la mort prend la forme d'un poème d'amour. Ce voyage

rituel du pèlerinage. Elle montre aussi comment les édifices religieux romans constituent des « Bibles de pierre », délivrant un enseignement religieux à ceux qui les fréquentent. REDIGER UN TEXTE CONSTRUIT ET ARGUMENTE Sujet : « Comment Sainte-Foy de Conques reflète-t-elle les croyances et la vue religieuse des chrétiens ? » _ Sainte-Foy de Conques manifeste le goût des chrétiens du XII siècle pour le culte des saints et des reliques, et pour le rituel du pèlerinage. Elle montre

importante est 1843 : une des filles de Victor HUGO, Léopoldine, s’est noyée le 4 septembre de la même année. « Autrefois » représente les années avant sa mort et « Aujourd’hui » les années après son décès. Dans ce poème, Victor HUGO imagine le pèlerinage qu’il fera sur la tombe de sa fille le lendemain, le jour de l’anniversaire de la mort de Léopoldine. En quoi ce poème répond-il à l’esthétique romantique ? En effet, ce voyage est à la fois à venir et symbolique pendant lequel le poète exprime

trois mouvements : le départ, le recueillement et l’arrivée. • A première lecture, on aurait pu penser que le poète partait en redonner pour retrouver sa campagne, ce n’est qu’en fin du poème au vers 11 et 12 que l’on découvre qu’il s’agit d’un pèlerinage. • Tristesse : -V.7 : Seul, Inconnu -V.8 : Triste, Nuit • Le poème décrit la journée du poète : -Vers 1 : « Demain, dès l’aube… »  Métaphore -Vers 9 : « Je ne regarderai ni l’or du soir qui tombe »  Métaphore • Pronom dominant :

augmentaient en nombre. La ville était un centre de pèlerinage grâce à la Kaabah fondée par Abraham, mais à l’époque elle accueillait le culte d’une multitude d’idoles des tribus et des peuples environnants. Les Koraichites virent une menace dans la nouvelle religion qui condamnait le culte rendu aux idoles, craignant qu’elle ne prive du respect qui les entourait en tant que gardiens du sanctuaire et des bénéfices qu’ils tiraient du pèlerinage annuel à la Kaabah. Bien qu’il existât en Arabie plusieurs