Péluse

a-t-il régné? -Comment a-t-il régné? -Son aventure. Pompée, dit le Grand, en latin :Cnaeus Pompeius Magnus, est un général et un homme d'Etat romain né en 106 av. J.-C. et mort à Péluse en Egypte en 48 av. J.-C. De 80 à 48 avant J.-C., Pompée participe à toutes les intrigues de pouvoir et aux grandes conquêtes de Rome. Plus de trente années de carrière de victoires suivit d'une lourde défaite .La Vie des hommes illustres , de

POMPÉE ET SYLLA 106 a.JC - 48 a.JC 136 a. JC – 48 a. JC Sommaire -BIOGRAPHIE -SYLLA -QUELQUES DATES BIOGRAPHIE Né à Pincenum (Italie) le 27/09/-106 ; Mort à Péluse (Égypte) le 28/09/-48 Pompée, également appelé Pompée le Grand, est un célèbre général et homme d'État de l'époque romaine. Bien qu'il ait été marié à sa fille, Julia, il deviendra le plus grand ennemi de Jules César lors de la guerre civile qui a débuté en 49 avant JésusChrist. Pompée voit le jour dans le Picenum, une région d'Italie

Pompée le Grand (Gnaeus Pompeius Magnus) est un général et homme d'État romain, né le 28 septembre de l'an 106 av. J.-C. dans le Picenum, (dans l'actuelle région des Marches), en Italie et mort assassiné le 27 septembre de l'an 48 av. J.-C. à Péluse, près d'Alexandrie, en Égypte. Il fut marié cinq fois et épousa notamment Julia, la fille de Jules César. S'étant couvert de gloire par sa victoire sur les pirates en Méditerranée puis par ses conquêtes en Orient, il conclut avec César et Crassus le

Dates D’ou viens t'il ? -Son CV -Sa carrière -Lien avec César -Sa mort Ses Dates Pompée (Cnaeus Pompeius Magnus) était un général et un homme d'état romain. Il est né en 106 av. J.-C. dans le Picenum, en Italie, et mort en 48 av. J.-C. à Péluse, près d'Alexandrie, en Égypte. D'où viens t'il ? Il est le fils du général romain Gnaeus Pompeius Strabo qui se fit remarquer lors de la Guerre sociale. Son curriculum Vitae À 23 ans, il hérita de l´armée de son père et s'institua de son

nous » : ils « n’ont le corps ni monstrueux ni prodigieux à notre égard » (l.5). Ils ne sont ni des monstres ni des prodiges, et pas non plus des animaux (voir l’insistance sur leur absence de poils lignes 30 /31 : « n’étant point naturellement plus pelus que nous le sommes en ce pays par deçà »).  Au contraire, il va montrer que les indiens sont physiquement en meilleure condition que les européens : il évoque leur robustesse, dans deux énumérations : « plus forts, plus robustes et plus replets, plus

société et furent même soumis à une condition particulière ! On apprend dans le document n°3 que la peste s'est manifesté plusieurs fois à travers le monde : - Au milieu du VIe siècle "La peste de Justinien" (de 531 à 580), elle toucha la Péluse, Alexandrie, la partie nord de l'Afrique, la Palestine, la Syrie, l'Italie, la Germanie,etc Dans certains parties de l'Europe, il y eut une importante baisse de population, les grandes villes devinrent vide ! - Entre le VIIe et le XIVe siècle il y

attendu la région chaude où ils habitent » l.22, et qu’il précise par le terme« basanés », bien connu de ses contemporains; il termine la série de ses remarques par leur pilosité et leur habitude d’épilation, par le réseau« velus », « poils », « pelus », « barbe », « sourcils », « cheveux », « tondus », « perruque »,des lignes 30 à 40, puis par une habitude de perçage de la lèvre à l’aide d’un« certain os bien poli ».Il a également évoqué l’habitude de nudité de ce peuple, en la ramenant à l’innocence

coutumièrement aussi nus qu’ils sortent du ventre de leur mère. Cependant tant s’en faut, comme aucuns pensent, et d’autres le veulent faire croire, qu’ils soient velus ni couverts de leurs poils, qu’au contraire, n’étant point naturellement plus pelus que nous sommes en ces pays par deçà, encore si tôt que le poil qui croît sur eux, commence à poindre et à sortir de quelque partie que ce soit, voire la barbe et jusques aux paupières et sourcils des yeux (ce qui leur rend la vue louche, bicle, égarée

périlleux retour vers Paris en 1799. Lorsque ce dernier s'arroge les pleins pouvoirs, Monge oublie ses visions républicaines, et sert aveuglément l'Empereur dictateur. En retour, il est nommé sénateur, grand officier de la légion d'honneur, Comte de Péluse. Sa santé décline peu à peu, et l'oblige à arrêter ses enseignements. Quand les défaites de Napoléon s'enchaînent jusqu'à celle de Waterloo en 1815, Monge assiste impuissant à la chute de l'empereur, fuyant un temps Paris. Peu de temps après la Restauration

coutumièrement aussi nus qu’ils sortent du ventre de leurs mères. Et cependant tant s’en faut, comme aucuns10 pensent, et d’autres le veulent faire croire, qu’ils soient velus ni couverts de leurs poils, qu’au contraire, n’étant point naturellement plus pelus que nous sommes en ce pays par deçà, encore si tôt que le poil qui croit sur eux, commence à poindre et à sortir de quelque partie que ce soit, voire jusqu’ à la barbe et aux paupières et sourcils des yeux (ce qui leur rend la vue louche, bigle