Pendjab

aussi étendu qu'à la fin du règne d'Aurangzeb, mais l'Inde est plus misérable qu'au temps d'Akbar. Des révoltes éclatent dans la seconde moitié du xviie siècle, auxquelles le fanatisme de l'empereur donne une coloration religieuse : les sikhs du Pendjab se soulèvent, ainsi que les Rajputs du Rajasthan et surtout les Marathes du Deccan (Sivaji commence sa carrière en 1647 et fonde le royaume marathe en 1674). 7. Le xviiie siècle Les traits marquants de ce siècle sont le déclin de l'empire moghol

donc son point de vue, et les décisions du gouvernement à propos de la décolonisation, soit qu’elle se fera au plus tard en juin 1948. Les doc 2 et 3, respectivement un article de presse issu du Times, écrit par un envoyé spécial britannique au Pendjab donc en Inde, ainsi qu’une carte sont des témoignages de la partition de L’Inde en 2 états et des violences civiles qui ont marquées cet événement. Enfin le document 5 est une photo daté de septembre 1947, ou l’on observe Gandhi, symbole de pacifisme

fidèles soit 80% de la population). L’islam comprend 150 millions d’adeptes soit 14% de la population. Les chrétiens sont 25 millions, soit 2.5% de la population. Les sikhs sont 18 millions soit 2% de la population et sont surtout présents au Pendjab (région divisée entre le pakistan et l’Inde). Le boudhisme est en plein essort avec 7.5 millions de personnes soit 1% de la population. Le principal problème en rapport avec la religion est le fait que l’Inde et le Pakistan se disputent la région

respect de ses principes, décréta une « hartal », cet à dire un jour de deuil. Le 6 avril 1919, l’Inde s’immobilisait, les magasins étaient fermés, les gens restaient chez eux. Malheureusement, des émeutes éclatèrent, la plus tragique eut lieu au Pendjab. Le 13 avril, un général anglais tira sur un rassemblement sans somation, tuant 1516 personnes. Désormais Gandhi allait mener une lutte sans merci pour obtenir la décolonisation de l’Inde. En juillet 1919, il lança le mouvement de non coopération

grandes religions tels que l’hindouisme, le bouddhisme, le jaïnisme et la religion sikh. Un peu plus des quatre cinquièmes de la population sont hindous, soit +/- 82% de la population. 12% de la population musulmane, 2% (principalement dans le Pendjab) appartient à la religion sikh, 2% est chrétienne, dont plus de la majorité est catholique. Le bouddhisme, quant à lui, est apparu en Inde et s'y est développé, mais aujourd'hui, moins d'un centième de la population est bouddhiste. Le jaïnisme a également

Le principal défi agronomique est là, se lon M. S. Swaminathan, un des pères de la « révolution verte ». Le 6 janvier, devant le Congrès de la science indienne, il lançait l'alerte : « Dans les qu inz e à vingt prochaines années, la région Pendjab - Haryana [coeur de la « révolution verte »] va devenir une zone d'insécurité alimentaire. Cela est dû largement à des rai sons écologiques. » Et de regretter « l'abus de pesticides, la diminution des nappes phréatiques, la pollution et la monoculture

avec un résident anglais qui surveille tout. (Hyderabad aussi grand que la France) En 1945, il y a environ 400 millions d’Indiens avec une espérance de vie de 32 ans, répartis entre 320 hindous et 80 millions de musulmans surtout présent dans le Pendjab (nord-ouest)[2] et le Bengale (nord est)[3]. Notons qu’il y avait seulement 170'000 Anglais présents dont moins de 60'000 dans la police et l’Armée[4], 4'000 dans l’Administration et 60'000 dans le privé. Dès lors, nous pouvons constater que c’est

et à effectuer des travaux d’irrigation. Mais la révolution verte n’a favorisé que les riches paysans, gros propriétaires et suffisamment aisés pour investir. Les régions les plus faciles à irriguer et les plus avancées ont été choisies comme le Pendjab, plaine du Gange. L’Inde est un vaste Etat qui connaît une forte augmentation de la population. Or, cette population connaît des difficultés liées à une mauvaise gérance des terres cultivées. En effet, la « Révolution Verte » permet à l’Inde

Problèmes de l'environnement (doc 3 et 4) De nombreux problèmes environnementaux sont apparus suite à la Révolution verte • Manque de surfaces irriguées • Surexploitation des nappes d’eau (plus de 25% dans les régions du Rajasthan, de Tamil Nadu, de Pendjab et Haryana) • Fragmentation des exploitations agricoles • Epuisement des sols (mauvaise utilisation des engrais)   2   3) Quels peuvent être les fondements d’une révolution « doublement verte » qui permettrait à l’Inde de développer

« par 3,6 ». Ils étaient ainsi de 9 q/ha en 1960/61 et de 25 q/ha en 1997/98. Les rendements du riz ont été multipliés « par 2,8 ». L’évolution des rendements est variable en fonction des régions. Les plus touchées par la Révolution verte sont le Pendjab, l’Haryana et l’Uttar Pradesh. Par extension, le Bihar et, plus largement, le nord-est de l’Inde ont été touchés par la Révolution verte. D’autres régions ont été aussi concernées par des progrès agricoles comme le littoral oriental. A l’inverse,