Penser Nous Rend Malheureux

moins d'argent que les autres psychiatres. En outre, il commence à douter de son travail parce qu'il ne peut pas comprendre ce qui rend les gens heureux ou malheureux. « Hector se pose des questions » 2 Dans le Chapitre « Hector se pose des questions » du roman « Le voyage d’Hector ou la recherché du Bonheur », il s’agit des patients qui sont toujours assez malheureux. Hector vit dans une grande ville, où la plupart des gens vivent dans la richesse et l'harmonie. Cependant, il ya aussi des gens qui

c’est quelque chose d’inconscient. Ils ne se rendent donc pas compte qu’ils cherchent l’agitation et le divertissement. Cette recherche du divertissement est le fait de “ divertir “ entendu en sons sens de “ détourner “, être diverti de penser à ce qui rend malheureux et donc de détourner son esprit de pensées insupportables. ( ligne 3-4: “ … le divertissement et l’occupation au-dehors, qui vient du ressentiment de leurs misères continuelles ) Sur la base de ces considérations, le divertissement peut

indépendants, et c'est à ce moment là que nous pourrions nous trouver dans une situation de satisfaction de joie de bonheur. En adoptant cette façon de penser et ce comportement nous nous trouverions dans un modèle qui serait plutôt sociétaire en effet nous favoriserions l'individu par rapport au groupe car nous agirions pour nous même sans penser aux intérêts d'autrui. De plus nous avons pu apprendre aussi grâce au discours de Glaucon cité dans l'ouvrage de Platon « La république » que l'homme

personnes qui ne daignent même pas nous répondre quand on leur parle. On s'inquiète pour elle, on cherche ce qui ne va pas, on fait tout ce qu'on peut. Alors qu'eux, ne daignent même pas savoir comment nous allons. C'est dans ces moments-là qu'on se rend compte que les gens que nous sommes censés aimer nous font plus de mal qu'autre chose. Je n’aurais jamais cru qu'on pouvait se faire du mal en s'aimant trop. Mais peut-être que si. La vraie raison pour laquelle je m'accroche à toi comme une

y a de plus injurieux à la Divinité n’est point de n’y point penser, mais d’en mal penser. » (ici = d’en penser non correctement, de formuler des théories fumeuses ou fausses. Mais par voie de ricochet, cela revient à injurier Dieu). p. 69 « Il est donc vrai que l’homme est le roi de la terre qu’il habite […]. » p. 70 « je puis aimer le bien, le faire ; et je me comparerais aux bêtes ! Âme abjecte, c’est ta triste philosophie qui te rend semblable à elles […]. » p. 70 « Le tableau de la nature ne

vengeant pas. »… -le système de balancement : « L’un m’anime le cœur, l’autre retient mon bras » ; « L’un me rend malheureux, l’autre indigne du jour. » (renforcé par l’alexandrin équilibré par la césure régulière à l’hémistiche 6//6). -le système d’écho : certaines formules sont reprises ou répétées au fil du monologue : L’un m’anime le cœur, l’autre retient mon bras »/« L’un me rend malheureux, l’autre indigne du jour. » ; « O Dieu, l’étrange peine ! » (v.298)/ « Dieu, l’étrange peine ! » (v. 308

à se procurer » à condition de – – – – – savoir ce qui nous rend malheureux revenir à l'essentiel se délivrer des croyances, des préjugés car c'est ce qui constitue un obstacle au Bonheur. Avoir des connaissance car c'est l'ignorance qui suscite la crainte, on a peur que de ce que l'on ne connaît pas, que ce de ce qu'on l'on ne maitrise pas. La peur se transforme en angoisse et à partir de là au lieu de penser par lui même l'ignorant va s'attacher à des superstitions qui vont accentuer

sans que leur santé, leur honneur, leur fortune et celle de leurs amis soient en bon état, et qu'une seule chose qui manque les rendrait malheureux. Ainsi on leur donne des charges et des affaires qui les font tracasser dès la pointe du jour. - Voilà, direz-vous, une étrange manière de les rendre heureux ! Que pourrait-on faire de mieux pour les rendre malheureux ? - Comment ! Ce qu'on pourrait faire ? Il ne faudrait que leur ôter tous ces soins; car alors ils se verraient, ils penseraient à ce qu'ils

et que nous appelons le bien. Nul ne veut être malheureux, nul ne veut le mal. Dans cette première approche il apparaît donc que le « nul n’est méchant volontairement » , ce que nous admettons sans difficulté. Nous ne doutons pas que le sadique fasse le mal parce qu’il y trouve un plaisir ou que le masochiste s’offre à ses sinistres machinations par goût de jouissances morbides, en revanche l’équivalence entre « être méchant » et « être malheureux » ne nous saute pas aux yeux. Si nous n’avons

simples. Fais ce que tu aimes faire sans penser au monde autour de toi. Parce que les gens auront toujours quelque chose à dire que tu fasses une bonne action ou non. En résumé, ne te soucie pas des critiques. Tu ne peux pas plaire à tout le monde. Surtout ne te cherche pas d’ennuis pour rien. Une bonne solution pour oublier tes problèmes pendant quelques instants est de tenir occupé. Quand tu es très occupé, tu n’as pas le temps d’être malheureux. Alors, lorsque tout est noir dans