Penser Sans Préjugés

touché. J’ai eu un préjugé certes sur une personne en situation précaire habillé en costume. Je ne pensais pas qu’il était en situation de précarité. Par la suite il s’est ouvert et m’a signalé qu’il était en situation de précarité. J’ai était surprise et j’en ai conclu qu’il ne faut pas juger les personnes avant de les connaitre. Malgré ma documentation sur le bénévolat et les préjugés le fait de voir la réalité en face cela a fait changer sur le coup ma façon de penser en général. Par ailleurs

BERTRAND Charly TS3 Q'u'est ce que penser par soi-même ? Pascal, dans ses Pensées, présente le fait que « Penser fait la grandeur de l'homme ». En effet, la pensée caractérise la façon d’être et le caractère de l’être humain. Par définition, la pensée est une activité psychique, qui recouvre les processus par lesquels sont élaborés, en réponse aux perceptions venues des sens, des images, des sensations, des concepts que l'être humain associe pour apprendre, créer et agir. C'est aussi, une représentation

 I) Penser les catégories et inégalité sociales  Le retours des classes sociales Un declin paradoxal ( def Marx et Weber + Bourdieu) : notion de classe sociale mobilisée dans les analuuse scientifiues mais aussi discours politique et médiatique ( nottament la gauche avec la classe ouvriere ) Groupe= conscience d’interet commun, defense… Cette perte Travaux de Beau et Pialoux 1997 : defaut de reprensentation po qui va entrainer l’invisibilité de la classe ouvrière Un retour recent (

ORGUEIL ET PREJUGES, Jane Austen Parition : 1813 par Egerton Auteur : Jane Austen - Traducteur : Pierre Goubert L'INTRODUCTION : Jane Austen est une romancière anglaise du XVIII et XIX ème siècles. Elle est est née le 16 décembre 1775 à Stenvenson ( un petit village au sud ouest de Londres ). Jane Austen décrit dans ses oeuvres le mode de vies de ses contemporains à travers ce qu'il semble être des histoires d'amours. « Raisons et sentiments » et « Orgueil et Préjugés » ont été ses

L’apparition de la philosophie avec Socrate au V siècle avant Jésus Christ a débuté une recherche, une questionnement sur sois. D’abord le terme de sujet est apparut. Pour les philosophes, le sujet signifier un individu conscient de lui même, capable de penser et d’agir. De même celui-ci est un ‘’je’’ ou ‘’un moi’ qui est principe de ses pensées et des ses actes. Par opposions à l’objet qui est une chose sans consciente de sois et incapable de se déterminer par elle même. Le sujet pour Socrate comme précise

phénomènes et facultés mentales comme la perception, l'affectivité, l'intuition, la pensée conceptuelle, le jugement ou encore la morale et l'adjectif « libre » pouvant se définir comme ayant le pouvoir d'agir selon sa volonté, nous pouvons donc penser qu'un esprit libre est un esprit pouvant se juger lui-même, s'abstraire du réel, à varier ses idées et à savoir se prendre lui-même pour objet de réflexion. Nous verrons dans une première partie si d'un esprit libre entraine des actions libres et

démontrer en toute rigueur. > Intensité du sentiment ne constitue pas une preuve de validité du raisonnement. - nos certitudes = barrières intellectuelles qui recouvrent plusieurs formes: 'préjugés dérivés du sens commun' jugements hâtifs sur l'apparence des choses, dans lesquels interviennent des sentiments > ex: préjugés raciaux, xénophobie > peur de l'autre, de 1'inconnu ... ) inculqués par notre éducation; 'des croyances habituelles au temps ou au pays'(= l'évolution des sciences et des techniques confondue

réitérés s’opèrent en vue d’une meilleure perception de la réalité. Notre conscience, donc, est davantage d’accord à celle-ci, évitant d’être en proie à des erreurs ou des illusions. Pour Spinoza, la meilleure façon d’écarter l’illusion c’est de penser sous forme de démonstrations mathématiques, c’est-à-dire d’élaborer des textes extrêmement logiques, rigoureux, structurés et parfaitement cohérents. Son système est totalement clos sur lui-même, ce qui lui vaut des interactions complexes entre chaque

appuyant sur le livre que nous étudions que les préjugés « représentent eux-mêmes quelque chose de politique », quelque chose qui « fait partie intégrante du domaine des affaires humaines » (page 50). Ils jouent ainsi, « un grand rôle » (page 51). Ils préservent l’homme du risque de penser (pages 54-55) et dissimulent en leur sein, « un jugement qui a été formulé dans le passé » (page 52). Le préjugé se distingue du vain bavardage et de la bêtise car le préjugé perdure, il est ancré dans le passé, tandis

d’un culte pompeux, pour lui donner une constante gravité et imprimer à tous un profond respect ; ce qui, pour le dire en passant, a parfaitement réussi chez les Turcs où la discussion est un sacrilège et où l’esprit de chacun est rempli de tant de préjugés que la saine raison n’y a plus de place et le doute même n’y peut entrer. Mais si le grand secret du régime monarchique et son intérêt principal, c’est de tromper les hommes et de colorer du beau nom de religion la crainte où il faut les tenir