Pension Vauquer Rastignac

locataire de la maison Vauquer. Il s’y installa après s’être retiré des affaires en 1813. Au début sa fortune lui permettait d’habiter le premier étage dans l’appartement le plus cossu de la résidence. Puis ses revenus disparaissant mystérieusement, le vieil homme du monter d’étage en étage occupant des appartements de plus en plus modestes. Les autres pensionnaires se moquent de son infortune et le soupçonnent de se ruiner en entretenant toutes les femmes du monde. Eugène de Rastignac : Jeune ambitieux

Dm du père Goriot 1. Le lecteur détient plusieurs informations sur Eugène de Rastignac, l’un des personnages du Père Goriot. On sait que Eugène vient d’une famille noble de la Charente qui cultive la vigne mais dont les revenus sont modestes : «  sa tournure, ses manières, sa pose dénotaient le fils d’une famille noble » (page ). Il a deux frères dont on parle peu dans le roman et deux sœurs (p48) qui s’appellent Laura et Agathe. Elles sont très attachées à leur frère. De même, sa mère est très

l’intrigue Une « pension bourgeois » est un hôtel où le service est simple, où les repas sont généralement pris à une table commune et où chaque locataire dispose d’un appartement ou une simple chambre. Ce qui est le cas de la pension présentée et décrite dans la première partie du roman, tenue par madame Vauquer. En effet Vautrin, Rastignac, Goriot, Poiret et les autres personnages y habitent bien. On sent bien cette habitude que les uns ont avec les autres dans la pension (par exemple Vautrin

personnages déjà utilisés, créant une « œuvre en concurrence avec l’etat civil ». De même, il s’agit d’un roman de formation, d’initiation, d’apprentissage : le lecteur suit la sortie de l’adolescence et la plongée dans la vie adulte de Eugène de Rastignac, dont la vie amoureuse et professionnelle est analisée. Au-delà de son caractère de formation, le roman, inscrit dans l’Histoire (Restauration), exploite le thème de la patérnité, incarné par le père Goriot et par Vautrin. Dernièrement, il décrit

mouvement littéraire du réalisme du XIXème siècle. Le roman se situe dans un contexte historique, l’époque de la monarchie de juillet (débuts de l'industrialisation française : 1830-1848). Honoré Balzac est né le 20 mai 1799. Très tôt il fut placé en pension, et l'indifférence de ses parents à son égard l'a beaucoup marqué. En 1818 il s'inscrit à la faculté de droit. Ses romans lui rapportent beaucoup mais en 1828 il fait faillite et est poursuivi par ses créanciers. En 1830 il commence la série de romans

- Mme Vauquer tient depuis toujours, à Paris, une pension. C'est une personne dont l'aspect physique correspond parfaitement avec l'aspect de sa pension et qui a à peu près cinquante ans. - Victorine Taillefer semble atteinte d'une maladie grave, a la taille trop mince et est pleine de grâce et de tristesse. Heureuse, elle aurait été charmante. - Eugène de Rastignac a la peau blanche, les cheveux noirs et les yeux bleus. Il a des sentiments forts, sincères et possède une honnêteté de coeur. D'un

 BALZAC “Le père Goriot” (1834) Roman de 270 pages À Paris, à la fin de l'année 1819, dans une pension bourgeoise, lépreuse et nauséabonde, de la rue Neuve-Sainte-Geneviève, vit un groupe de pensionnaires, où, à côté de figures banales et grotesques, s'entrevoient des âmes puissamment originales, dont la rencontre fait pressentir des drames poignants. Eugène de Rastignac, jeune noble débarqué de son Périgord natal et venu faire son droit et sa fortune à Paris, étudiant pauvre en attendant

déroule à Paris en 1819 à la Maison Vauquer, une pension sordide où vivent une dizaine de personnes qui sont de différents milieux sociaux. Eugène Rastignac, jeune étudiant provençal habite cette pension et vient à paris pour étudier le droit. C’est un homme ambitieux qui a très envie de réussir socialement. Le père Goriot, le plus âgé de cette pension reçoit régulièrement deux jeunes filles de la haute bourgeoisie qui sont en réalité ses filles. Eugène Rastignac rencontrera Vautrin, pensionnaire

Résumé À Paris, à la fin de l’année 1819, dans une pension bourgeoise, lépreuse et nauséabonde, de la rue Neuve-Sainte-Geneviève, vit un groupe de pensionnaires, où, à côté de figures banales et grotesques, s’entrevoient des âmes puissamment originales, dont la rencontre fait pressentir des drames poignants. Eugène de Rastignac, jeune noble débarqué de son Périgord natal et venu faire son droit et sa fortune à Paris, étudiant pauvre en attendant

de parution Paris Éditeur: Werdet Collection: Scènes de la vie privée Date de parution: 1835 Série: La Comédie humaine Eugène de Rastignac Venu de Charente pour étudier le droit à Paris. À la maison Vauquer, sise rue Neuve-Sainte-Geneviève, il rencontre Jacques Collin, alias Vautrin, qui excite ses mauvais penchants. Toutefois Rastignac, ambitieux mais humain, ne suit pas jusqu’au bout les conseils criminels de Jacques Collin. Ami d’Horace Bianchon (médecin), il aime une fille du