Pere Goriot Intervention Du Narrateur

équipe (acteurs, scénographes, costumiers, éclairagistes…) pour définir ses choix d’interprétation de l’extrait Antigone et donner ses consignes pour que la scène devienne, au cours du spectacle, une grande scène d’affrontement. Vous rédigerez son intervention. Page 9 sur 37 Sonia LE PAPE – 2009-2010 HACHETTE Annales Bac 2008 HACHETTE Annales Bac 2007 NATHAN Annales 2007 Les scènes d’exposition (corpus 9, p. 328) - Molière, Le Tartuffe, I, 1 (extrait) - Marivaux, Les Caprices de Marianne, I, 1 (extrait)

(Héraclès) accomplit les 12 travaux Achille aux pieds ailés Jason et Thésée, Persée conjuguent l’intelligence et la force : Thésée tue le minotaure, devient roi d’Athènes Le héros doit avoir une origine et une mort particulière Ex : Thésée a pour père Poséidon et pour mère une mortelle Hercule meurt en s’écorchant Achille meurt sur les remparts de Troie Le héros a des attributs Ex : le bouclier d’Achille Le cheval d’Alexandre(Bucéphale) Excalibur Hercule et sa massue Le héros a des privilèges

alors que normalement, on est dans une gare pour aller dans un endroit précis. Cette métaphore est à rapprocher de celle du deuxième paragraphe, dans laquelle le monde est comparé à un théâtre où Jean Dézert tient le rôle d’un « figurant ». 4. Le père de Jean Dézert est seulement « sous-directeur ». Cela peut sembler être un détail, mais cela montre néanmoins qu’il s’agit d’un personnage toujours caractérisé par le moyen, le médiocre. L’image burlesque d’un individu qui « compt(e) les réverbères

dramatiques (ex. : d'Artagnan). Dans le roman moderne et contemporain, le personnage est devenu une conscience qui construit le récit à partir de sa propre expérience du monde. Le « il » du roman traditionnel a laissé place au « je qui est à la fois le narrateur et le personnage (ex. : Marcel dans A la recherche du temps perdu, de Marcel Proust). Dans une oeuvre, il n'est pas toujours aisé de distinguer le personnage principal des personnages secondaires. En effet, l'importance d'un personnage ne se mesure

corrigés et exemples de mise en pratique Séquence Séquence Séquence Séquence Séquence Séquence Séquence Séquence Séquence Séquence 1 : Le récit (1) : chronologie et durée ........................................................ 2 : Le récit (2) : narrateur et point de vue .................................................. 3 : Le roman : présence des personnages ................................................. 4 : Le théâtre : du texte à la scène ...................................................

classes sociales, les aristocrates ne sont plus les seuls à être dignes de vivre des aventures romanesques. Au niveau formel, les caractéristiques du genre se stabilisent : découpage en chapitres, utilisation du passé de narration, présence d’un narrateur omniscient. Tous ces critères vont permettre, au XIX° siècle, au roman de s’imposer comme un genre majeur. IV. Le XIX° siècle : l’apogée du roman 1. Quelques romans romantiques… Les romantiques écrivent peu de romans : ils préfèrent la

alors comprendre le projet d’un roman qui met en scène la faillite du récit moralisateur qu’il devrait être en principe ? Si le roman met en scène des héros parfaits, qui vivent des passions extrêmes, on remarque souvent dans le récit des interventions discrètes de la narratrice qui disqualifient l’intrigue avec ironie. Par exemple, dans l’épisode de la lettre du vidame de Chartres recopiée par la Princesse et le Duc, toutes les réflexions de la jeune femme sont soudainement dénaturées par

Pour cela, il est nécessaire que le narrateur délègue la responsabilité de la description à un personnage. Il s'agit de faire en sorte que l'action conduise le personnage à observer un objet, à le décrire pour autrui ou à s'en servir. Ce procédé est particulièrement fréquent dans la littérature réaliste, notamment chez Zola. Prenons le début de Au bonheur des dames. On a là un exemple net de la façon dont la narration construit une situation de regard. Le narrateur raconte l'arrivée à Paris de Denise

castrat, mais de contrat » (XXXIX) ; l’objet même du récit étant en définitive sa narration. C’est à la réfutation de cette thèse que se consacre l’exercice, conventionnel, de C. Bremond et T. Pavel : « L’objet qui veut que la négociation entre le narrateur et la jeune femme soit un troc (une nuit d’amour contre une belle histoire) trahit aussi bien l’esprit que la lettre du texte », p. 254. Selon eux, Mme de Rochefide, à prendre au sérieux dans ses aspirations à l’idéal, est un double de Sarrasine

se poser pour étudier une nouvelle (ou un extrait) : Les mouvements du texte : comment l’écriture et les personnages évoluent-ils ? Y a-t-il un événement perturbateur ? Quel est-il ? Les problématiques de l’écriture : en sait-on autant que le narrateur ? L’auteur paraît-il du côté des personnages ? Le cas échéant : peut-on déceler une intention d’auteur ? S’il s’agit d’un extrait : Au début d’une nouvelle : à quoi certains éléments placés au début de la nouvelle servent-ils pour la suite du texte