Persistance rétinienne

Cinématographe invention crée par les frères Lumières B)Moyens Techniques. Le cinéma est basé sur le principe physiologiques de la persistance rétinienne, qui a été observés par Isaac Newton et le Chevalier d’Arcy. La persistance rétinienne est un défaut de l'œil, cumulé à celui de la capacité du cerveau de lier entre elles plusieurs images séparées, permettent la création d'un artifice reconstituant le mouvement. La première démonstration

représentent qu'une partie du modèle. Décomposition du mouvement par superposition d'image successive. Joseph Plateau est un physicien et mathématicien belge qui a découvert la synthèse du mouvement (XIXe siècle). Célèbre pour ses recherches sur la persistance rétinienne, il invente le phénakistiscope en 1832 et en tire des règles qui serviront de base à l'invention du cinéma. Ce "joujou scientifique" permet la synthèse d'un mouvement cyclique à partir d'une série de dessins disposés sur un disque percé de

moment où elle est éteinte. Par la suite, il sera racordé ou suturé à d'autres plans. La persistance rétinienne est la capacité ou défaut de l'œil à conserver une image vue superposée aux images que l'on est en train de voir. Elle est plus forte et plus longue si l'image observée est lumineuse. C'est un faisceau lumineux qui imprime sur la rétine. Une suite de mouvement fixe donne la persistance rétinienne. Au cinéma 24 images défilent en 1 seconde, le système Européen PAL accorde 25 images par

(droit et gauche) s'entrecroisent au niveau du chiasma optique et projettent vers le thalamus au niveau des corps genouillés latéraux. À partir de ceux-ci, les informations sont relayées vers les aires visuelles du cortex. Les photorécepteurs rétiniens cônes ou bâtonnets sont reliés par l'intermédiaire de neurones bipolaires aux cellules ganglionnaires dont les axones constituent le nerf optique. Ce cône ou bâtonnet contient un pigment chimique qui est modifié par la lumière, cette modification

déviation horizontale (appelée balayage) proportionnelle au temps écoulé • une déviation verticale proportionnelle à la tension que l’oscilloscope mesure Ces deux déviations évoluent donc dans le temps. La rapidité d’évolution de la tension et la persistance rétinienne (0,1 s) font que l’on voit sur l’écran la courbe représentant l’évolution temporelle de la tension mesurée. Trajectoire rectiligne uniforme Trajectoire parabolique Trajectoire rectiligne uniforme Canon à électrons Trajectoire des électrons

(droit et gauche) s'entrecroisent au niveau du chiasma optique et projettent vers le thalamus au niveau des corps genouillés latéraux. À partir de ceux-ci, les informations sont relayées vers les aires visuelles du cortex. Les photorécepteurs rétiniens cônes ou bâtonnets sont reliés par l'intermédiaire de neurones bipolaires aux cellules ganglionnaires dont les axones constituent le nerf optique. Ce cône ou bâtonnet contient un pigment chimique qui est modifié par la lumière, cette modification

Structure de la rétine: La rétine proprement dite s'étend du nerf optique à la pupille, son épaisseur est de 4 dixièmes de millimètre, puis elle diminue pour n'être plus que de 1 dixième dans le voisinage de la pupille. La texture des couches rétiniennes est fort complexe. Constituée presque essentiellement de tissus nerveux, la rétine embryonnaire se développe à partir du prolongement du nerf optique pour tapisser l'intérieur du segment postérieur de l'œil. La rétine est une fine membrane constituée

quel que soit enfin le procédé de restitution visuelle de l'animation. Fréquence de restitution : les images sont restituées à une fréquence régulière suffisante pour que le cerveau et l'inertie des phénomènes entrant dans la vision, dont la persistance rétinienne, jouent leurs rôles dans l'illusion. En cinéma la fréquence minimale était établie à 12 images par seconde. Mais pour éviter un papillotement désagréable la fréquence de 16 images par seconde s'imposa comme un minimum. Les fréquences standard

savoir 1 minutes d’angle. (Sachant que 1° correspond à 60 minutes d’angles) Ainsi, deux points séparés par une minute d’angle nous apparaissent comme un point unique. La persistance rétinienne : C’est le temps nécessaire pour que deux images successives représentent un mouvement continu. Le phénomène de persistance rétinienne est de l’ordre de 1/10ème de seconde. Le pouvoir de résolution : C’est la capacité pour l’œil à percevoir une même luminosité en fonction d’une puissance de lumière de

rapidement de nombreux sites Internet et revues sur ces illusions d’optique, mais comme ce thème était très large, nous avons choisi de développer le cas des illusions de contraste et de certains modes de fonctionnement d’illusions, c’est-à-dire la persistance rétinienne, l’inhibition latérale et les images rémanentes. Nous n’avons pas rencontré de grandes difficultés, bien que le fait de devoir changer de sujet au bout de quelques séances nous ait fait prendre du retard. A la première séance, je ne