Personnages De La Main Coupée

une admirable structure.. Mille plaisants chiffres d’amour... une amitié sans seconde... l’éclat qu’il me lance... l’excellence... grains d’or... un vrai régal de prince ». Les périphrases « le cristal, que l’art humain / A fait pour couronner la main », « ce panier rempli de vert », « Pomone, qui préside aux fruits » donnent l'impression qu'on ne veut pas désigner directement la chose et donc, d'une certaine manière, la sacralisent. b) Le style héroï-comique De plus, Saint-Amant élève une chose

crocs et dans le corps une gueule de jaguar fermée On y voit aussi un personnage , tête à l’envers et qui tient un sceptre dans une main à 4 doigts : c’est un huari, personnage mythique mi dieu mi homme qui représente une puissance de la NaturE . il a une tête de félin de laquelle sortent ➢ le règne végétal ➢ le règne animal ➢ l’homme : personnage à 5 doigts en bas et à droite : un jaguar à tête coupée : c’est un symbole de fécondité, car de sa tête sortent les semences de

l'oeuvre : - Le thème le plus récurrent est celui des chemins de fer, du train. Il revient beaucoup lorsque l'on parle des pensées des personnages ; un train passe, le personnage regarde à sa fenêtre le train passer, on parle également beaucoup du chemin de fer qui « coupé un endroit en deux. «  A La Croix-de-Maufras, dans un jardin que le chemin de fer a coupé, la maison est posée de biais, si près de la voie, que tous les trains qui passent l'ébranlent ; » ou « Le pays n'est qu'une suite ininterrompue

répondant à la problématique. Dans le texte « L'école des femmes » de Molière, l'auteur veut nous présenter un personnage qui est très machiste. Derrière une très fausse générosité, Arnolphe se montre très négatif et machiste dans sa façon de considérer l'éducation des femmes. Arnolphe se prend pour une personne qui agit de la meilleure des façons, mais en faite c'est plus un personnage faux et à double face. Il a un caractère borné, autoritaire, possessif, par exemple à la ligne 64 « En femme, comme

Candide ou l’Optimisme, Voltaire, 1759 I- Les personnages et leur évolution : 1- Candide est un jeune garçon, assez naïve. On le comprend avec une phrase « Les mœurs les plus douces. Sa physionomie annonçait son âme. » lignes 2-3. Avec un jugement juste envers les autres ce qui le montre naïve avec la phrase « Il avait le jugement assez droit, avec l’esprit le plus simple ; c’est je crois, pour cette raison qu’on le nommait Candide. » Un optimisme est une personne qui a une attitude qui consiste

zaïmph, car il s'agit du symbole de la puissance de Carthage. Elle devra faire usage de ses charmes si cela est nécessaire. Chapitre 11: « Sous la tente » Salammbô, au cours de sa mission, s'offre à Mâtho et met la main sur le zaïmph. Puis elle rejoint son père, qui donne sa main à Narr'havas, ce dernier s'étant rallié aux troupes puniques. Chapitre 12: « L'aqueduc » Les mercenaires assiègent Carthage de nouveau. Spendius fait couper l'approvisionnement en eau de la ville en détruisant l'aqueduc

dix-neuf, il évoque les conditions des esclaves par le discours du nègre : « Quand nous travaillons aux sucreries, et que la meule nous attrape le doigt, on nous coupe la main ; quand nous voulons nous enfuir, on nous coupe la jambe », ici Voltaire parle des supplices infligés aux esclaves. Voltaire veut donc, grâce à la rencontre entre son personnage, Candide et le nègre, montrer à ses lecteurs ce qui était ordonné à ces pauvres personnes. Voltaire ne veut pas laisser ces faits dans l’obscurité, il préfère

indirect » qui caractérise les autobiographies « classiques ». Certes, le premier paragraphe ne présente ni les tirets ni les guillemets du dialogue : il s'agit bien d'un début qui ressemble à une autobiographie ordinaire, qui présente le portrait des personnages qui ont marqué l'auteur, ici Kolia. Mais brusquement il y a irruption d'un interlocuteur, d'une autre voix que celle du narrateur, par le biais des tirets du dialogue qui va se dérouler en répliques successives séparées par des « blancs» qui ressemblent

Cela m’a permis d’être directement plongé dans la pièce quand celle-ci a démarrée. Et puis la pièce a commencée, et ce fut très amusant de voir la façon dont le metteur en scène avait adapté cette pièce. Cette muraille de sac de sable avec des personnages qui surgissent de ce mur sans arrêt, je trouvais cella très bien pensé. De plus la bande son qui nous venait à l’oreille, rythmait bien la pièce. Mais celle-ci aurait peut-être du être un peu moins hurlante. Au fil du temps, le spectateur va vite

Description du tableau : - Les personnages qui composent le tableau sont un taureau, une mère et son enfant, un cheval, un guerrier coupé en deux, une femme transformée en torche, une autre femme qui tend une lampe, une troisième femme au corps allongée, un oiseau. -Les objets qui composent le tableau sont une lance (dans un cheval), une épée fendue, une lampe a huile, une ampoule électrique, une fleur, une table, une fenêtre, le carrelage et une autre fenêtre. - Les personnages du tableau adoptent des