Personnification De La Foret

immobile (« je m’assieds », vers 2) alors que la nature est en mouvement. En effet, le vers 4 nous dit « le tableau changeant se déroule à mes pieds », ce qui donne l’impression au lecteur que le poète est ancré et regarde la vie défiler. La personnification du fleuve dans les vers 5 et 6, qui « gronde », « serpente » et « s’enfonce », vient renforcer cette sensation de mouvement. Nous pouvons aussi remarquer une métaphore des paysages qui sont représentés comme des « tableaux » dans les vers 4

sagesse et la dignité des animaux sauvages, et la leçon qu’ils ont à donner aux hommes. Le poème a été publié dans le recueil posthume Les Destinées en 1864. Notes Première strophe : Landes: région de France assez sauvage, célèbre pour ses forêts de pins. Les grands ongles marqués : les traces des ongles du loup Loup-cervier : pas vraiment un loup, mais Vigny l’utilise dans ce sens. Deuxième strophe : me prenant à : commençant à le coucher : l’abri Les questions

compagnons : la nature comme consolation et refuge. La nuit, il voyait un morceau de ciel, les étoiles et les rayons de la lune. Il entendait le gémissement des chouettes et assis au coin de la galerie, il entendait l’obscurité murmurer. À travers de la personnification du vent sont décrits les bruits qu’il faisait (le vent courait et se plaignait). Le drame intérieur du poète dont la nature se fait l’écho. À quatre heures du matin, le père entrait en claquant la porte et le poète décrit sa voix (ses cris) comme

hospices). La nature est donc mystérieuse. La métaphore se prolonge ensuite avec la personnification des "piliers". L'unité du monde est ainsi représentée par les images superposées de la Nature, univers végétal, et du temple, architecture de pierre au caractère sacré. La métaphore est celle de la "forêt-cathédrale", fréquente dans le courant romantique (cf. "Le génie du christianisme", 1802, Chateaubriand). En effet, les forêts ont été les premiers temples de la divinité, et les hommes en ont repris leur

D’après Chassignet l’eau n’est jamais la même. Il compare l’eau qui n’est jamais la même puisque elle ne reste au même endroit, avec l’homme qui porte un nom tout au long de sa vie. « Carrière » peut faire penser à la carrière d’un homme > personnification. * Texte de registre didactique. Plan possible : 1. La représentation de l’eau * Ondante * Fluer * Flots * Tours * Couler * Passé * Il s’agit d’une eau vivante (non stagnante) * Perpétuel > flots sur

"s'enfuit", "passeront" répété à la césure, en chiasme sonore ; "je passe" et "je m'en irai" marquent une idée d'évolution (...) Sommaire: Introduction I) Le temps A. Enchaînements chronologiques B. Le lexique II) La nature A. Personnification B. La nature échappe au temps III) La condition humaine A. Le poète B. Le tragique C. La tonalité lyrique, mélancolique Conclusion Poème étudié: Le soleil s'est couché ce soir dans les nuées ; Demain viendra l'orage, et le

1er quatrain = évoque deux entités : nature et homme : - la nature est personnifiée : majuscule + mots « vivants », « paroles » « observent » « regards familiers ». - l’homme présenté comme un voyageur provisoire : « l’homme y passe à travers des forêts de symboles ». → le quatrain met donc en valeur un lien particulier et inversé entre l’homme et la nature : - ce lien est marqué par un effet de symétrie : 2 vers pour la nature, mise en valeur dans le 1er hémistiche, 2 vers pour l’homme (également

comme une forme de connaissance intuitive, la voie royale pour parvenir au secret du monde. L’exercice de la poésie devient une activité essentielle, un sacerdoce.Dans ce texte,la nature est sacrée mais aussi symbolique .elle y est presenté par des "forets de symboles"v3.Puis, On peux voir dans les quatrains un champ lexical lié a la confusion avec "confuse"v2 "se confondent"v5 "tenebreuse et profonde"v6 .Cette confusion est precise avec la repetition de on tres present dans le second quatrain avec

vie. -« camps d’ombre » est métaphorique → mot « camps » : de vastes étendues sombres qui quadrillent le bois ou aussi l’armée. -les animaux encore endormis constitue dans l’esprit de l’enfant une armée prête à s’éveiller-Tout enfant a peur de la forêt nocturne. B-Puis le réveil . - mouvement de l’enfant provoque l’éveil de la nature → réveille « les haleines vives et tièdes »,-« haleine » fonctionne comme une synecdoque, partie désignant un tout beaucoup plus vaste.- Il s’agit

Si le réel est symbolisé par le pot de chambre de la Bonne, en revanche, l'imaginaire est le monde du feu : quand elle rencontre le Pompier, la Bonne raconte un poème qui décrit un embrasement généralisé (7) : pierre, château, forêt, hommes, femmes, oiseaux, poissons, eau, ciel, cendre, fumée, et même feu, prennent feu successivement. C'est le réel qui est détruit. Elle est devenue folle. La recherche de l'identité, du soi, ne débouche que sur la folie. Promiscuité, solitude L'imaginaire