Personnification De La Foret

découverts, Tertres vineux et forêts verdoyantes, Rivages torts et sources ondoyantes, Taillis rasés et vous bocages verts, Antres moussus à demi-front ouverts, Prés, boutons, fleurs et herbes roussoyantes, Vallons bossus et plages blondoyantes, Et vous rochers, les hôtes de mes vers, Puis qu’au partir, rongé de soin et d’ire, A ce bel oeil Adieu je n’ai su dire, Qui près et loin me détient en émoi, Je vous supplie, Ciel, air, vents, monts et plaines, Taillis, forêts, rivages et fontaines, Antres

de mon cœur. » J. RACINE « L’amour est à nos cœurs ce que les vents sont à la mer. » L. DAMOURS • Rapide comme l’éclair. • Belle comme le jour. • Métaphores annoncées : « Je me suis baigné dans le poème de la mer. » A. RIMBAUD « Sa chevelure, forêt aromatique, mer d’ébène, noir océan. » «La littérature : un coup de hache dans la mer gelée qui est en nous. » F. KAFKA « Les lois sont des toiles d’araignées, à travers lesquelles passent les grosses mouches et restent les petites.» BALZAC • Métaphores

l’expliquer Trouver les effets produits Trouver un exemple littéraire pour faciliter la compréhension et la mémorisation Par analogie | COMPARAISON | D’insistance | GRADATION | METAPHORE | HYPERBOLE | PERSONNIFICATION | REDONDANCE | ALLEGORIE | PLEONASME | Par substitution | METONYMIE, | Utilisant la syntaxe | ANAPHORE | SYNECDOQUE | PARALLELISME | PERIPHRASE | ASYNDETE | Par opposition | ANTITHESE

personnage consiste à se rendre dans le château et de ramener à son ami les trois paquets de lettre se trouvant dans la chambre de son épouse morte.2) a) Le personnage a parcouru son trajet avec joie et bonheur car il se baladait dans les prairies et la forêt en s amusant . b) A la vue de la lettre, il éprouve un sentiment d étonnement et de surprise car il s est aperçu que cette dernière était cachetée . Il prend cela pour un manque de confiance de la part de son ami . 3) a) Le jardinier était stupéfait

nuit ; Puis l'aube, et ses clartés de vapeurs obstruées ; Puis les nuits, puis les jours, pas du temps qui s'enfuit ! Tous ces jours passeront ; ils passeront en foule Sur la face des mers, sur la face des monts, Sur les fleuves d'argent, sur les forêts où roule Comme un hymne confus des morts que nous aimons. Et la face des eaux, et le front des montagnes, Ridés et non vieillis, et les bois toujours verts S'iront rajeunissant ; le fleuve des campagnes Prendra sans cesse aux monts le flot qu'il donne

"piliers" désigne en réalité le feuillage et les troncs d'une forêt. L'utilisation du champ lexical de la religion en tant que comparant permet à Baudelaire de dresser une première correspondance verticale entre le monde terrestre et le monde supérieur en créant un lien mystique entre la Nature et le divin. L'homme quant à lui est présenté comme Éphémère. Le verbe "passer" au vers 3 montre la fugacité de sa présence. Lors de sa traversée dans "la forêt de symbole", il semble avoir des difficultés à déchiffrer

* Figure de style => « amplification » pour convaincre de lecteur. * Accumulation => de lieux géographique : * Voire ligne 1 à 5 * Figure de style : « personnification » : * Les iles polynésiennes qui sont noyés. (ligne 1) * L’Asie toute entière prend le visage d’une zone maladive… (Ligne 3) * La forêt américaine ou mélanésienne avant même d’en pouvoir détruire la virginité,… (ligne 5 à 6) Ces pour faire révolté le lecteur a ces faites. * Il dénonce : * une production

mélodieux. Dès le début,Lamartique nous fait pars que le poème romantisme ce déroule dans une foret "Salut bois couronnés d'un zeste e verdure" (l.1) Dans ce texte on retrouve beaucoup le champs lexicale de la mort et du deuil, "deuil de la nature" (l.3),"la nature expire "(l.9)," l'espoir évanoui "(l.14). Pour rendre cela plus flagrant, Lamartine utilise de nombreuse personnification,il évoque des " bois couronné" (l.1),"sentier solitaire ",soleil pâlissant "(l.7) Il semble aimer

exprime aussi l’éternité d’action qui échappe au temps. La caractérisation du temps, permanence et caractère éphémère se retrouvent dans la relation qui l’unit avec la nature et l’Homme. B) Le temps et la nature a) Une nature personnifiée La personnification s’exprime à travers certains verbes et certaines comparaisons. Les verbes « c’est couché » (v. 1), « viendra » (v. 2), « passeront » (v. 5), « prendra » (v. 12) et « donne » (v. 12) sont sans doute couramment utilisés pour désigner des actions

assimilant la nature à une succession des forêts dont les symboles seraient les arbres. Ce glissement est tout à fait naturel, logique : dans un temple grecque, une église, ou même une mosquée, on parle d’une forêt de colonnes. Dernier état de la métaphore du temple, les forêts de symboles sont une alliance insolite du concret et de l’abstrait. Le nature est également présentée comme un espace infini, immense, ainsi que le suggèrent les pluriels « forêts de symboles », les adjectifs « long », et