Personnification De La Foret

utilisée, ce qui montre que ce réveil est calme, silencieux. Ccl : avant le passage du poète à travers la forêt, la nature est donc morte, puis s’éveille peu à peu silencieusement. II) Quête amoureuse. Tout en étant un texte narratif narrant l’éveil de la nature, Aube peut être lu comme le récit d’une quête amoureuse. Rimbaud poursuivant une femme, personnifiée par l’aube. - Personnification : « son immense corps » « déesse » => Le poète ne cours plus après l’aube mais après une femme. - «

Arthur Rimbaud - Aube Introduction: Au 19e siècle, la poésie s'épanouie avec des poètes tel que Baudelaire, Verlaine ou Rimbaud. Dans le poème en prose intitulé Aube issue du recueil illuminations, l'auteur évoque la naissance du jour dans une foret et compare la quête de l'aube à une quête amoureuse. LECTURE En quoi s’agit-il d’une course amoureuse / d’un poème novateur ? Dans une première partie nous allons tenter d’étudié le poème a travers la magie du conte puis nous aborderons le traitement

caractérisations). V.3 «il aura neigé» évoque le v6 // v.6 «de neige et de fruits mûrs» évoque le v.4 * * On retrouve cela dans la dernière strophe (v.15 a 17) qui réorchestre tous les éléments descriptifs : on reprend l’évocation de l’automne, de la «forêt», des «lisières lointaines». On a donc à faire à un tableau morcelé et fragmentaire qui fonctionne par reprise de termes. b) Le motif de la chute La saison de l’automne est associée au motif de la chute : les feuilles tombent. On retrouve

"constamment", "à chaque instant", "sans fin", "inlassablement". Vivant par les couleurs o couleurs flamboyantes: "feuillages d'or", "si mordoré", "cramoisis", "arcs-en ciel", "multicolores". L’arbre lui-même qui semble vivant: o personnification avec utilisation répétée de « il…il ». o Création d’une existence humaine: "sa jeunesse", "son adolescence", o Attribution de caractéristiques physiques: "poils", "bras", "mains", "corps" , Arbre comparé à un saltimbanque:

de Saint-Denys Garneau traite aussi du manque de liberté dont il souffre. Au début du poème, le poète affirme : «Dans la maison close, cernée de forêts Forêts noires pleines De vent dur» (vers 5, 6 et 7) L’auteur utilise le procédé de personnification puisqu’il donne une caractéristique humaine à la maison en disant qu’elle est cernée de forêts. La maison représente la culture au Québec. Le mot «cernée», qui possède une connotation péjorative, illustre la situation de la culture, c’est-à-dire

TPE: LA FOUDRE L’Histoire : Pendant l’antiquité, les gens faisaient une personnification de la foudre en les comparants à des divinités surtout dans la mythologie. Pour les grecques, c’était Zeus et pour d’autre comme les peuples germaniques, c’était Thor. Suite a ses personnifications, personne n’a cherché d’explication à cet élément apparaissant dans le ciel. Néanmoins les Gaulois plantaient une épée dans la terre lors d’orage, ce qui en faisait un paratonnerre. Au Moyen-âge, on faisait appel

romaine. Le mot nymphe signifie, d'une façon générale femme. Dans la mythologie gréco-romaine, il sert à designer un ensemble de personnifications, qui, sous une forme gracieuse et animée, expriment la vie de la nature champêtre, les sources vives et jaillissantes, la végétation luxuriante des forêts, l'ombre fraîche des grottes, la verdure fleurie des prés. Ces personnifications sont des divinités d'ordre inférieur, mais leur généalogie les rattache aux grands dieux, à Zeus ou à Oceanos, qui, tous deux

celle-ci. Ce poème très visuel est composé à l’aide du discours descriptif essentiellement. En effet la richesse de la description est forgée par de nombreuses expansions du nom : épithètes liées la plupart du temps « ciel bleu » v2 ; « lointaine forêt » v7 ; « grands blés mûris » v9 etc… mais aussi compléments du nom : « Roi des étés » v1 ; « nappes d’argent » v2 ; la coupe du Soleil » v12 etc… et propositions subordonnées relatives « où buvaient les troupeaux » v6 ou « dont la lisière est sombre »

partie descriptive à l'imparfait (c'était l.1, j'avais l.3, je voyais l.7) du paysage, la forêt. Il réserve tout un paragraphe à cette description, ce qui rend ce paysage inquiétant et mystérieux. Cette nature agitée fascine le narrateur. Il use amplement des personnifications dans ce paragraphe car il associe les éléments agités de cette forêt à des êtres humains : je voyais courir les nuages l.7, la forêt s'inclinait l.10, gémissements de souffrance l.11. Les éléments de la nature qui s'animent

“croissance” (l.7), l'effet de confusion provoqué par l'énumération des participes à la ligne 13. C'est ce développement sur l'exubérance des plantes qui aboutit à la métaphore “brousaille colossale” (l.17), et la comparaison “impénétrable comme une forêt” (l.18), qui excite l'exaltation de l'auteur. L'auteur suscite l'admiration du lecteur pour le jardin qu'il décrit, nottament par l'emploi d'adjectifs qualificatifs tels que “admirable” (l.5), “splendide” (l.6) et “vénérable” (l.7). D'autre part