Personnification Des Animaux

Fables choisies mises en vers furent publiées à Paris chez Denis Thierry ou chez Claude Barbin de 1668 à 1693. Composées de douze livres répartis en deux recueils, cet ouvrage regroupe plusieurs centaines de textes courts mettant souvent en scène des animaux ; les récits sont, sauf rares exceptions, suivis d’une morale qui indique la portée critique à apporter au texte. L’auteur lui-même se plaisait à dire : « Je me sers d’animaux pour instruire les hommes ». La fable, et l’apologue en général, est un

du sucre » >Métaphore : « Délayant en bailli » >Comparaison : « Comme de éponges » >Hyperbole : « Le ciel bas et chargé d’eau semblait crevé, se vidant sur la terre » + « des ruisseaux débordent, remplissant les rues ». >Personnification des maisons : « Ronflement, buvaient et suaient » 400053492500L’auteur amplifie un obstacle qui au début était mineur (pluie symbole des larmes) d)Les personnages -« Jeanne » : 1er mot du texte en majuscule >C’est le protagoniste -Portrait

repos et de recueillement. Pour certains romantiques du XIXe siècle, elle est aussi l'incarnation la plus tangible de Dieu ; sa complexité et sa splendeur en font une preuve de l’existence d’un créateur divin. D'autres, grâce au procédé de la personnification, voient en elle une vie et des sentiments, qui varient selon l'état d'âme de son spectateur. Un même paysage pourra donc exprimer plusieurs sentiments ou pensées. Néanmoins, pour la plupart des romantiques, le spectacle de la nature reconduit

et regrette que ses proches ne soient pas avec elle pour vivre ses derniers moments. Joséphine Linc Steelson a sentit la tempête en se levant le matin elle la caractérise par une personnification «  sa sent la chienne ». Elle parle ensuite de toutes les tempêtes qu’elle a connu en utilisant une autre personnification «  des petites et des vicieuses » . Joséphine a connu de nombreuses tempête mais elle qualifie celle qui arrive de « garce » ce qui montre bien qu’elle sera plus forte que toutes celles

« rassemble » et « ensemble » permettent au lecteur de se rendre compte de la volonté de proximité du poète avec Mary. Lamartine fait aussi par de sa fidélité, il compare en effet son union avec un couple « de cygnes amoureux » qui se trouve être des animaux très fidèles. Aussi, dans le vers 5, de la strophe 4 le poète utilise le subjonctif pour témoigner son souhait de finir sa vie aux cotés de sa bien aimé, « qu’elle étende ma couche à côté de la tienne ». De la même façon dans la strophe suivante,

fondamentales à un journal intime. Il y a la date de l’écrit ainsi que la formule de politesse, « Chère Kitty ». Comme je l’ai déjà dit, elle a établi un lien avec ce personnage fictif qui lui servira de confidente. On peut donc parler d’une personnification du journal. Elle utilise de façon considérable le champ lexical de la peur comme : «  horreurs »  ; «  épouvantable »  ; «  terrifiée »  ; «  affreuses »

montrerons comment il est aussi une critique sociale. Avant tout, la fable ressemble surtout à un conte. Premièrement, la mise en scène des animaux permet d’infantiliser l’histoire et de la rendre plus agréable et plus rassurante. On peut trouver des personnifications comme « Dame Baleine » et « Dame fourmis ». En effet, les contes pour enfants personnifient les animaux en leur donnant un caractère particulier de façon à ce que l’on puisse les reconnaître facilement. Il est donc amusant de retrouver certains

ou Marie Daubrun. Le poète est désespéré, seul, en détresse et malade. Il tente à travers ces vers de restituer l'intensité de sa souffrance et de son désespoir. Annonce du plan : Dans un premier temps, nous étudierons la personnification de la souffrance avec la personnification de la douleur et son impression d'apaisement. Nous nous pencherons sur la notion de plaisir importante dans ce sonnet pour les oppositions et les effets de contraste entre le poète et la foule. En second lieu, nous analyserons

attitudes contrastées pour enfin préciser la prise de conscience de la misère. Zola dresse dans cet extrait un tableau pathétique de la classe ouvrière par de nombreux procédés. Il installe d’abord un univers sordide appuyé par la personnification de la famine qui devient un personnage symbolique: «  Gervaise souffrait encore des faims qu’elle entendait râler autour d’elle » (l.1-2), « La faim ne le faisait même plus sortir » (l. 11-12). Le champ lexical de la faim est très présent dans

Elle met en relation un comparé (ici le volcan) et un comparant (le loup) à l'aide d'un outil de comparaison ( « tel, comme, ainsi que, pareil à, ressembler à... »). La PERSONNIFICATION: Elle permet d'attribuer des comportements humains à un animal, un objet ou à un élément naturel. Etude de la personnification du volcan dans le texte: les verbes d'action: se réveilla, toussa, éructa, l'étouffa, bava, tira la langue, se rendormit. Les noms: la quinte (de toux), le chapeau, la bouche