Personnification Des Animaux

Trompette. Pour autant, en déplaçant son point de vue sur des animaux, Zola ne se défait pas de sa portée critique. Il suscite simplement autrement l'empathie du lecteur. Problématique possible: Comment Zola, en personnifiant ces deux animaux, parvient-il à susci- ter l’empathie du lecteur et à dénoncer plus largement le travail dans les mines à son époque ? Enjeu de l’axe : Montrer par quels procédés Zola parvient à faire de ces animaux des personnages à part entière + le terme « bouleversant »

de deux mille ans avant notre ère. La fable est un court récit écrit plutôt en vers qu’en prose et ayant un but didactique (qui comporte un enseignement, qui cherche donc à instruire). Elle se caractérise généralement par l’usage d’une symbolique animale ou avec des personnages fictifs, des dialogues vifs, et des ressorts comiques. La morale est soit à extraire de l’implicite du texte, soit exprimée à la fin ou, plus rarement, au début du texte. Certain, comme Anouilh considère qu’ « écrire des fables

LECTURE ANALYTIQUE LES ANIMAUX MALADE DE LA PESTE INTRODUCTION : · 1ère étape : PRESENTATION DU TEXTE Titre du texte, titre de l'œuvre : à souligner, auteur, siècle biographie, genre · 2ème étape : PRESENTATION DU CONTENUE DU TEXTE De quoi s’agit-il? Les personnages, les lieux, Expliquer ce qu'il pose problème

comparaison,l'Homme à plusieurs espèces d'animaux comme dans les fables de la Fontaine, afin de juger et dénoncer le comportement de l'Homme. Il rapproche les actions humaines à celles des animaux. En effet, ligne 1, il le dit explicitement "L'homme est un animal raisonnable". La guerre des Hommes est comparée au combat des animaux. Or, ici, il démontre que l'animal est plus intelligent et moins cruel que l'Homme. Deux races d'animaux différentes, se battant pour ensuite se manger, cela n'interpellent pas l'homme

tout ce qui a trait au sacré et à la spiritualité s’inscrit dans l’éternité * L’image de la « sirène qui gémit » se rattache aussi aux légendes antiques : polysémie du terme qui s’inscrit à la fois dans la modernité et dans le mythe (par personnification du verbe). * Le lyrisme : présent dans le texte mais détourné : * Par l’énonciation à la seconde personne, « tu », qui met à distance le « moi » du poète d’autant plus que le « tu »  est ambigu : le poète s’adresse à lui-même mais

sue de Phèdre, Pilpey ou Abstimius --> 200 fables en latin. Pour cette fable, LF s'inspire d'Abstimius. LF s'affirme comme un scénariste du monde de la cour. Mmt important --> obsèques. Sous l'apparence animale, LF ne craind pas la cour. Ici, le lion représente Louis XIV. Ds ses fables, les animaux --> les hommes. Cette fable = 55vers --> récit d'une cérémonie + comme souvent 4 vers de morale à la fin. Hétérométrie --> distingue les différentes étapes du récit. Schéma narratif : ~ Octosyllabes :

abba ccd eed I Une description personnifiée de la nature métaphores 1) les traits humains de la nature *dans les quatrains les éléments évoqués sont la nuit, l'aube sous forme de personnification. nuit aube °amassait/un grand troupeau d'étoiles °traits humains : métaphores métaphores animales : "troupeau", "de ses tresses tout blondes" chevaux "rougissant"(les rougeurs du action des bergers : moutons soleil) °"ses noirs chevaux chassait" °"faisant grêler mille perlettes

concrétise peu à peu « un bruit » qui « s’approche » et devient plus claire ; on peut donc reconnaître « des rires », « des voix », « des pas ». De plus à l’aide de l’emploie des verbes « s’approcher », « emplir » ou « communiquer » Hugo crée des personnifications et des sens figurées. Il utilise ces verbes dans des cas un peu particuliers : il fait apparaître le verbe « s’approcher », utilisable surtout en rapport avec des personnes, sous forme « un bruit confus s’approche… », ou le verbe « emplir » sous

vieillard en se réveillant, il faut de la foi, de la foi dans l’art, et vivre pendant longtemps avec son œuvre pour produire une semblable création.　» À travers ce passage, Frenhofer nous fait une personnification de l’œuvre. La personnification est une figure d’analogie qui consiste à donner à un objet, à un animal ou à une idée des caractéristiques humaines. Dans ce cas, Frenhofer donne des caractéristiques humaines à son œuvre. Il parle d’un objet inanimé comme s’il était une personne. On vit généralement

| |accumulation |n.f. |RHET |Énumération qui crée un effet de profusion. |Effet de profusion. |  | |allégorie |n.f. |RHET |Personnification d'une idée abstraite ; mais |Effet didactique. |Métaphore continuée : | | | | |ce peut être aussi une métaphore continuée | |l'albatros dans