Personnification Des Animaux

et la tomate). On les associe. C'est donc bien une métaphore. La personnification : c'est la représentation d'une chose ou d'un animal sous une forme humaine. En vérité, c'est un cas particulier de métaphore. Exemple : « Le temps a laissé son manteau / De vent, de froidure et de pluie » (Le Printemps – Charles d'Orléans, XVe siècle). Ici on parle du temps comme d'une personne qui peut porter un manteau. C'est une personnification du temps. La métonymie : il s'agit d'une catégorie particulière

: 2eme plainte, arrivée de la grue v 29 à 37 : 3eme plaintes, réponse de Jupiter de leur comportement irresponsable Astuce : L'art du récit est retranscrit par les procédés mis en oeuvre pour rendre agréable la fable rythme des vers, animaux, personnification, aspect théâtrale (cf préface) lie, avec corneille, Molière, Racine Strophes : - isométrique -hétérométrique Vers mêlés : alexandrins (12), octosyllabes (8), heptasyllabe (7) système de rimes : croisées, plates

Les Deux Coqs 1) Une parodie d’épopée * Jeu d’analogie entre les animaux et les héros épique. Jeu de rapprochement « Troie »(2), au « Xanthe »(5) un dieu du fleuve .Mais détournement des références mythologique Helene => devient « Helene au beau plumage » (9) => devient une poule épithète quasi homérique [Complément de la plupart des noms propres chez Homère : Ulysse aux milles ruses, Achille aux pieds légers] On a une transposition burlesque d’une rivalité épiques de basse-cour

elle met en scène deux animaux. - Vers hétérométrique : les vers de mètres différents (alexandrin, décasyllabe, octosyllabe) entraînent une diversité. - Variété ; souplesse, plaisir > rimes croisées, plates, embrassées. Cela fait plus « naturel » et « vivant » - Temps : utilisation du présent de narration, qui rend le récit plus vivant, et de l’imparfait pour les actions longues et durables. - Les animaux sont personnifiés : utilisation des Majuscules - Les paroles des animaux sont rapportées au style

large le début de la vie. « Aube » vient du mot latin « Alba » qui signifie blanche, et qui rappelle l'innocence, la pureté et l'enfance. Lecture du poème Annonce des axes I - Le silence, pas de mouvement (l.1 à 3). II - L’éveil du jour et des animaux par l’auteur (l.3 à 9). III - La course après le jour (l.10 à 13). IV - L’auteur attrape le jour … puis se réveille (l.14 à 17). Etude I - Le silence, pas de mouvement (l.1 à 3). - 1ère phrase = conclusion du rêve. 1er sens d’embrasser = prendre

pas simplement plaire et instruire. 1) Nous pouvons remarquer que la Fontaine représente ici les travers des humains en utilisant des animaux (technique courante chez la Fontaine) : -Le coq se donne des allures de héros alors qu’il est en réalité poussé par un instinct primaire, celui de se battre pour obtenir la femelle. On peut noter une personnification du coq qui insiste sur le fait que les travers qui lui sont attribués, sont ceux d’un être humain « pleura sa gloire et ses amours » -D’autre

deux termes sans outil comparatif. idem La métaphore filée consiste à prolonger la métaphore au moyen de termes appartenant au même champ lexical. La personnification donne des caractéristiques humaines à un objet, un animal. pour le rendre vivant et donc rassurant ou amusant ou inquiétant. La prosopopée cas particulier de personnification qui consiste à prêter la parole à un être inanimé, à une abstraction, à des disparus, à un être vivant. idem L'allégorie représente de manière imagée, concrète

l’absolutisme), avec sa cour et ses principes. L’intérêt d’utiliser la personnification des animaux est de pouvoir contourner la censure, car l’auteur ne dénonce pas de manière directe le roi et sa cour, il les remplace pas des animaux. En effet, pour critiquer sa société, il ne pouvait pas le dire ouvertement et directement, c’était beaucoup trop dangereux et cela aurait immédiatement été censuré ! Les animaux représentent donc les hommes de la cour et ont les mêmes « défauts » et « problèmes »

sur plusieurs phrases. Une métaphore usuelle et courante s’appelle un cliché : «  Les yeux sont le miroir de l’âme ». La personnification consiste à représenter une chose ou un animal sous les traits d’une personne. Ex : «  la mort, faucheuse impitoyable » L’animalisation consiste à représenter une personne ou une chose sous les traits d’un animal. Ex : « C’était […] la bête qui fonçait tête basse et muette [à propos de la Lison, la locomotive de La Bête humaine de

procéder qui est à la limite de la personnification. Pour mettre en évidence cet élément de réponse, nous pouvons relater la manière dont le narrateur décrit cet animal: " ses yeux profonds semblaient exprimer des pensées humaines et s'attendait à chaque instant au miracle de la parole ". Nous voyons ici que l'auteur évoque un être proche de l'humain, ce qui permet au narrateur de faire prendre conscience à son lecteur de l'importance que l'on peut porter à cette animal tout au long de cet apologue.