Personnification Des Animaux

complexité de sa propre création rejette toujours le titre réducteur et encombrant de chef de file du réalisme. Dans La Légende de Saint Julien l'Hospitalier,Flaubert cherche à nous montrer que Julien est un homme cruel, obsédé par le meurtre des animaux et le combat, profitant de la vie d’un époux heureux et comblé. Comment les sentiments sont-ils exprimés dans ce conte extraordinaire et mystérieux ? L'histoire se déroule au Moyen Âge, en Occident. Julien est le fils d'un noble seigneur et

s'écriait" L.13, "admiraient, et fuyaient" L.17) et du passé simple (pour la vivacité des successions d'actions : "Entassa" "Égorgea" "Fit" L.8/9/10) désignant un narrateur extérieur à l'histoire. Tout cela, plus la versification du poème, plus la personnification de d'animaux (que j'en parlerai plus loin) permettent de déduire que ce récit est une fable. Mais Victor Hugo va plus loin dans l'écriture de son texte : il pastiche sur les Fables de la Fontaine, en particulier il prend pour référence la fable

morale est vraie pour tous les « pays » et toutes les époques. En effet elle met en avant des comportements humains qu'elle critique. Elle critique également la société d'Ancien Régime mais sous forme de personnification afin d’éviter la censure. La fable est donc un récit fantaisiste ( animaux qui parlent ) mais qui a un sens plus profond = leçon de vie, modèle, exemple à méditer. Comme le Conte, la fable n'est pas réservée aux jeunes lecteurs. Du côté de l'imaginaire: 2ème interrogation: Comment

bien après qu'elle ait commencé à « déplaire » que le miroir -personnification- la convainc) La méditation du narrateur se développe : présent de vérité générale (v75), métaphore des « ruines » III. Continuité entre l'humain et l'animal La Fontaine suggère la parenté entre humains et animaux, ce qui justifie son goût pour l'écriture de fables au delà de la convention des animaux qui parlent, La Fontaine utilise des personnifications : le Héron fait un « régime », carpe et brochet sont « commère »

traits humains : On semble entendre des moteurs vivants grâce à des personnifications « vivaient, halètement », les objets deviennent vivants encore grâce à des personnifications « ventre, auteurs, s’inclinant ». On remarque dans ce texte une orientation fantastique. En effet, la ville s'anime, se réveille. Elle passe d'un état mécanique à un état animal. La ville "murmure", "ronronne", "halète", elle émet des bruits animaux et devient une bête. Le trolleybus, avec "son ventre", "sur son dos,

La ferme des animaux (George Orwell) -Nom de naissance: Eric Arthur Blair George Orwell est un écrivain anglais né le 25 Juin 1903 à Motihari (En Inde britannique à l'époque) et mort le 21 Janvier 1950 à l'âge de 46 ans à Londres. -L'écriture du livre fut achevé en février 1944 mais les éditeurs refusait le livre car il critiquer l'URSS et l'Allemagne Nazie alors que la 2nde Guerre Mondiale n'était pas finis. Il sera donc publié en août 1945 (fin de la guerre), 1947 pour la traduction française

styles : comparaison, métaphores, personnification des objets, … Les poètes utilisent souvent des personnifications pour faire parler des objets ou des animaux comme dans les fables de la Fontaine par exemple. CONCLUSION Le poète, par sa description des lieux et le langage utilisé peut faire ressortir certains aspects du monde et de la société de l’époque. Mais la poésie peut aussi permettre la création de nouveaux espaces en faisant parler des objets ou des animaux

Analyse linéaire : Les animaux malades de la peste, Jean de la Fontaine Intro : Les fables de Jean de La Fontaine est un recueil de courts récits écrit entre 1668 et 1694. Ce dernier est un écrivain du mouvement classique. Constituant l’une des plus grandes œuvres classiques de la littérature française, ces fables sont des histoires issues du registre poétique et de l’apologue (courte fable) prétant à l’animal les qualités et les défauts de l’Homme pour représenter la société du 17ème

47 - "une flute lugubre" page 49 plan: I. La violence et la cruauté de l'Homme: 1. un fonctionnement mécanique et instinctif, une absence de conscience 2. Animalisation de l'Homme 3. L'isotopie de la violence II. La place de la Nature : 1. Personnification de la nature 2. Le lézard, une métonymie de la nature? 3. les signe d'une "réaction" de la nature III. Emergence d'un questionnement philosophique sur la vie: 1. La multiplication des questions 2. de la gêne a la prise de conscience 3. un

immobile » (l.5), « paraissent avoir perdu la vie » (l7). L’opposition entre «ils sont pressé » et « le nombre réglementaire n’est pas dépassé » crée un effet anormal. Le narrateur utilise une personnification pour le fouet : « c’est le fouet qui fait remuer son bras » (l.9) et une autre personnification animale en ce qui concerne l’omnibus «dévore l’espace » (l.13) et « il s’enfuit » (l.13). On est toujours hors de la réalité terrestre. Seul le sens de l’ouïe est présent dans cet extrait pour caractériser