Personnification Des Animaux

Dauphin (l’héritier de Louis XIV), il utilise souvent le monde animal pour dénoncer les injustices de son temps. La forme de la fable correspond parfaitement l’idéal classique de brièveté, et du « plaire et instruire ». (contexte littéraire et auteur). Le récit conte les ravages causés par la peste, vue comme un châtiment divin, puis se concentre ensuite sur la recherche d’un sacrifice afin d’arrêter l’épidémie. La fable garde l’univers animal généralement utilisé par La Fontaine, et se construit par

« nuées » placé à la rime + diérèse : insistance - « poussive » et « maigres » vocabulaire péjoratif -> insise sur le fait que les conditions de vie des animaux en hiver dures. 2) Un paysage flou - La lumière n’est pas vive : atténuée - image du sable affadit la luminosité - lune caché par les nuages : pertes de luminosité : personnification - « sans lueur aucune » complément du non ciel : dénotation de l’absence de lumière (paysage changeant, sombre) - champ lexical de la couleur : « cuivre

SEQUENCE N°1: POUVOIR ROYAL ET COURTISANS CHEZ LA FONTAINE Texte n°1 : Les Animaux Malades de la Peste (Livre VII, fable 1) Procédés Citations Interprétations Récit Situation initiale (v1-v14) + élément perturbateur (v18-v19) : Pb énoncé : ravage de la peste Péripétie 1 (v30-v33) : Discours & solution du Lion Montre l’exemple Péripétie 2 (v34-v44) : Discours flatteur & habile (ordre hiérarchique non respecté + pas de confessions) Péripétie 3 (v45-v49) : Confession des puissants Elément

hanneton ». Encore une fois,l'auteur cette fois le compare à un animal du à ces habits. Il rajoute qu'en cas de besoin,le ministre recevras toujours « quelques applaudissements de mains frénétique » ou que ces discours ne sont que « des panaches de fumée dont le vent forme et défait plusieurs fois les nœuds avant de tout dissiper ». Pour conclure cette première partie,l'auteur donne son avis sur le ministre à l'aide de comparaison animale ainsi que de moquerie sur le travail du ministre lui même

un hommage à la fille du poète, Léopoldine morte en 1843. “J’aime l’araignée et j’aime l’ortie” est un poème composé de sept quatrains, alternant des décasyllabes et des pentasyllabes et aux rimes croisées. Victor Hugo réhabilite dans ce poème un animal (l’araignée) et un végétal (l’ortie) généralement méprisés. Ainsi, en quoi cet éloge paradoxal peut-il être lu comme un art poétique? De la strophe 1 à 4, nous verrons l’amour du poète pour ces deux êtres ainsi que les raisons de cet amour, puis de

. Situation : La Fontaine, célèbre fabuliste et moraliste du 17ème siècle qui connait bien la cour et les animaux, la nature. Il était maître des eaux et forêts. C’est une poésie, une fable. C’est un texte narratif mais qui contient aussi une argumentation explicite (Vers 17 « je » et il y une morale). La Fontaine s’adresse aux lecteurs (vous). . Plan du texte : Vers 1 à 16 : les circonstances (mort de la lionne, organisation des obsèques). Vers 17 à 23 : 1ère intervention du moraliste qui

quarante-trois fables, courts récits en vers ou en prose destinés à illustrer, de façon plaisante en utilisant le symbole animal, une leçon ou une question morale. On retrouve ainsi dans la fable de La Fontaine comme dans la littérature classique les deux ambitions qui doivent animer l'auteur ; le devoir d'éducation : docere, et l'art de plaire et de séduire : placere. La Fontaine se sert des animaux pour instruire les Hommes. Avec la fable La Génisse, la Chèvre et la Brebis en société avec le Lion, écrite en

des dialogue peu commun : ce sont des dialogues entre animaux et non entre humain. Le fait que ces dialogues ne soient pas « normaux » ajoute au texte quelque chose d'intéressant, de différent, quelque chose de moins sérieux que ce à quoi on pourrait s'attendre. C'est tout d'abord en ça que La Fontaine en fait une fable embellie. Le dialogue en lui même est très intéressant car il comporte une figure de style : la personnification. Les animaux sont en quelque sorte humain, ils parlent ; de plus c'est

romantiques  du XIXe siècle; Victor Hugo, on apprend la maltraitance des animaux travailleurs par l’homme. On pourrait se demander comment Victor Hugo dans le poème montre que le cheval est condamné par l’homme ? L’étude se portera d’abord sur l’éloge du cheval, puis sur les défauts de l’homme en prenant pour exemple un roulier. Tout d’abord nous voyons que Victor Hugo fait l’éloge du cheval dans ce poème. En effet le cheval est un animal brave. L’adjectif au vers 23 « muet » nous montre que le cheval

est passée dans le langage courant, on parle de cliché. Ex : « albatros, vastes oiseaux des mers, […] ces rois de l’azur » (Les fleurs du mal de Baudelaire) - La personnification : La personnification représente une chose, un animal ou une idée sous les traits d’une personne/ d’un être animé. Ex : « homme-animal ; arbre-corps ; … » 2) Les figures par opposition : - L’antiphrase : L’antiphrase est un procédé qui consiste à exprimer une idée par son contraire. L’ironie repose