Pessimisme De La Rochefoucauld

mistaken for an author who wrote for money, writing as such became socially respectable and posed no such problems for those with private means, such as Descartes and Pascal. As the century progressed, nobles like Voiture, La Calprenède and La Rochefoucauld felt able to commit their thoughts to print without staining their honour as gentlemen by stooping to the ‘métier d’écrivain’. Even so, the distinction between the aristocrat who wrote for his own amusement and the author who published for money

fin ultime : - agis toujours selon une maxime que tu peux universaliser (si tout le monde faisait comme moi…) - ne traite jamais l’homme seulement comme un moyen mais toujours aussi comme une fin - critiques : le désintérêt n’existe pas (La Rochefoucauld, Nietzsche) ; la valeur vient des conséquences des actes - le beau est une satisfaction désintéressée (indépendante de l’existence de l’objet) donc universelle et nécessaire - c’est une finalité sans fin, sans concept, qui produit cette satisfaction

inéluctable de la décadence est en marche, prêt à broyer les siens, sa candeur naïve lui fait garder toujours un espoir inébranlable qui la sauve du délabrement intérieur qui mine son frère Thomas. Une vie sans espoir lui apparaît désespérée. Comme La Rochefoucauld, que le courtier Gosch cite si volontiers, elle est persuadée que « L’espérance, toute trompeuse qu’elle est, sert au moins à nous mener à la fin de notre vie par un chemin agréable ! » (Bud. 524) Et malgré tous les coups du sort, Tony restera

en raison de l’ascendance maudite de Phèdre et de la vengeance divine de Vénus qui la poursuit implacablement. Cette concupiscence dénaturée s’ouvre sur des perspectives barbares et laisse présager la chape mortuaire qui va clore la tragédie. Ce pessimisme peut être interprété comme une manifestation du jansénisme7 de Racine. 6 Ce terme qui n’est ni une expression d’antiphrase, ni un oxymoron, mais un peu les deux à la fois, pourrait être interprété dans un contexte janséniste. Employé trois fois

premier dans ses Fables (1668-1678). Boileau, émule d'Horace, écrit des Satires (1666-1668) qui trouvent un grand succès. Mme de Sévigné (1626-1696) mêle dans ses Lettres les « potins » de la Cour et des réflexions morales. Les Maximes de La Rochefoucauld (1664) et Les Caractères de La Bruyère(1688) donnent à la critique sociale une pulsion nouvelle et la transforment en satire. Ces deux ouvrages ouvrent la voie à l'esprit de réforme du siècle suivant. En revanche, l'époque classique semble se

1999, p. 287. du New York Times apprend que les « esprits de la communauté spéculative sont abattus ». Le vendredi 4, «que ce qui avait commencé comme une descente en pente douce avait tourné à la déroute ». Mais le lundi 7, « les nuages de pessimisme s'étaient évanouis ». Et le jeudi 10, « les spéculateurs à la hausse avaient la situation en main ». Hélas ! le mardi 15 octobre, le marché est de nouveau en baisse. Toutefois, le mercredi 16, le boursier peut se rassurer en lisant les prédictions

et sa femme Madeleine tenaient un salon rue de Grenelle où ils recevaient les peintres impressionnistes. À partir de 1876, ils reçurent le peintre Renoir qui fit leur portrait. Charles Chaplin (1825-1891) fit un portrait de la comtesse de La Rochefoucauld en 1878. Il est plus difficile en revanche d'identifier le portraitiste Cotte, peut-être Pierre Cot (1837-1883), ou de retrouver un portrait de la princesse de Sagan qui intervient souvent dans le roman dans le personnage de la tante de Mme de

Olivier Patru, il arrive à la date de 1656, qui vit paraître «le premier livre de génie qu’on vit en prose» : “Les provinciales”. Les étapes suivantes de la formation de la littérature classique sont marquées, selon lui, par les “Maximes” de La Rochefoucauld, les “Sermons” de Bourdaloue, supérieur à Bossuet, “Les caractères” de La Bruyère, “Les aventures de Télémaque” de Fénelon. Toutes ces œuvres ont d'autant plus d'importance aux yeux de l'historien, qu'elles sont des créations originales de ce siècle

freudienne pour évoquer le narcissisme de Nana, la névrose de Serge Mouret, l’Œdipe d’Émile Zola. Cette démarche si encadrée nous rappelle étrangement l’Éloge de Richardson et la fameuse phrase de Diderot : « Tout ce que Montaigne, Charron, La Rochefoucauld et Nicole ont mis en maximes, Richardson l’a mis en action240. » Cette phrase relève d’une conception servile de la littérature, comme si la philosophie donnait un cadre à la littérature pour être pensée. C’est le risque de toute forme dogmatique

Petit à petit le théâtre se perfectionne, de nouveaux genres apparaissent. Dans les textes qui suivent on va vous présenter certains courants, les plus intéressants. 2. Le classicisme On y distingue plusieurs figures, parmi lesquelles Racine et La Rochefoucauld dont le véritable intérêt est de revendiquer au nom d'un principe supérieur: plaire et toucher. La lecture des préfaces de leurs principales pièces montre qu'ils mettent au premier plan de leurs préoccupations des exigences tour à tour contradictoires