Pessimisme

principaux thèmes de ses œuvres sont liés à la vie quotidienne de son époque et aux différentes expériences de la vie de l’auteur, et bien sûr se combinent les uns aux autres : - La Normandie - La guerre de 1870 - Les femmes et la famille - Le pessimisme - La folie, la paranoïa, la dépression Maupassant est un auteur incontournable du XIX siècle. Aujourd’hui encore, nous n’avons pas fini de lire ses œuvres, les adapter et les apprécier.

vraies pour nous aujourd’hui, comme elles le furent pour les anciens. L’humour et l’humanité des fables leur conservent à jamais cette vivante gaieté, durable comme elles.  | Ses œuvres qui sous l'apparence d'un scepticisme amusé révèle un pessimisme profond. Il a également su dépeindre ces combats passionnés où l'idéalisme et la pureté se fracassent contre le réalisme et la compromission. Sa première pièce, l’Hermine (1932), lui offre un succès d'estime, et il faut attendre 1937 pour qu'il

historique. De ce fait, il semble que la vision de l’homme offerte dans cette œuvre soit bien sombre. Et l’on peut même se demander si elle ne serait pas tout à fait pessimiste. Pour le vérifier, nous verrons tout d’abord quels éléments confirment le pessimisme de cette pièce. Ensuite nous montrerons que cette tragédie possède des personnages positifs. Enfin nous rappellerons que la liberté des personnages est toujours ménagée par Racine et que la vision de l’homme qu’il propose n’est jamais figée.

témoigner de la violence de la guerre . Les populations sont alors très marquées par la violence et les atrocités qui se sont déroulées durant les combats et qui ont mobilisé des millions de soldats. Cela donne des toiles imprégnées de réalisme et de pessimisme, comme Invalides de Guerre jouant aux cartes. • Ce tableau relate aux populations civiles les horreurs commises pendant la première guerre mondiale de 14-18. Otto Dix est un peintre traumatisé par la guerre

de ce mouvement, mouvement qui se popularisa surtout à Port-Royal. Cette doctrine est caractérisée par son caractère pessimiste (comme on pourra le remarquer dans La Princesse de Clèves, roman d'analyse écrit par Mme de Lafayette, dans lequel le pessimisme janséniste est très présent) car elle met l'accent sur la faiblesse et la corruption humaine, et donne une représentation du monde au centre de la rédemption : l'homme ne peut être sauvé du péché originel que par la grâce de Dieu. Blaise Pascal

« moraliste » mais laisse au contraire le soin au lecteur de tirer ses propres conclusions, rendant ainsi la critique plus persuasive et plus efficace. On mettra ce discours en relation avec d’autres textes modernes, marqués eux aussi aussi par une forme de pessimisme et d’absurde, comme Rhinocéros, d’Eugène Ionesco, qui met en scène un personnage luttant contre l’uniformisation du monde moderne -, ou encore le roman de Georges Perec paru dans les années soixante, Les Choses, montrant un jeune couple fasciné

total, il serait contraire à la bienséance, et s’il était excessif il serait faux. Or Candide sonne juste comme le cristal. Il permet le sourire et l’humanité se sauve par là du désespoir. »Il veut dire par là que VOLTAIRE refuse de sombrer dans le pessimisme pascalien ; et qu’il préfère peindre la condition humaine en utilisant toutes les ressources de la fantaisie et de la satire. En effet VOLTAIRE semble penser que grâce au sourire le lecteur peut soutenir la lecture de la ronde infernale des désespoirs

au progrès, aux bienfaits de la science ; il pense que l`humanité est capables de s`améliorer moralement. Et son »socialisme » humaniste prône la conquête par les plus défavorisés de leur propre destin. Il y a évidemment une contradiction entre pessimisme et optimisme et cette contradiction donne au cycle des Rougon-Macquart une tension particulière. Il faut souligner que Zola évoluant au cours de la rédaction du cycle, l`optimisme finira par l`emporter : dans le dernier roman de la série, Le docteur

et Jean, ce sont surtout les contes et les nouvelles qui ont assuré la postérité littéraire de Guy de Maupassant. Brillant élève de l'ecole réaliste et naturaliste, disciple de Zola et admirateur de Flaubert, Maupassant se caractérise par son pessimisme et sa peur de la mort.

avoir su si bien dire les choses avec les mots qu'il fallait, on ne peut s'empêcher de garder une note d'espoir à chacune de ses fins de roman. Un espoir, caché, enfoui au plus profond de nous, qui refuse de se déclarer perdant, de s'adonner à ce pessimisme, et qui donne envie d'en tirer des leçons sans avoir connu au préalable son expérience à lui. Maupassant est finalement un homme qui a très bien compris son époque, et qui en a été tellement la victime qu'il en est tout simplement mort. Mort de