Peste Camus Tarrou

Né en 1915 à Mondovi, en Algérie Française dans un quartier pauvre, Albert Camus est l'auteur de La Peste, publié en 1947. Orphelin de père et élevé par sa grand mère, il n'a eu aucune éducation et abordait un langage vulgaire durant son enfance. C'est grâce à une bourse obtenue par son instituteur que Camus pourra aller au lycée pour acquérir et apprendre à apprécier la langue française. Il intègrera plus tard le parti communiste pendant deux ans, deviendra journaliste puis sera exilé en France

Plan détaillé pour la lecture analytique n°4 « La confession de Tarrou » p227/229 (Il s'agit simplement d'organiser convenablement les éléments de l'analyse linéaire réalisée en classe : le plan est succinct, reportez-vous au cours pour plus de détails, notamment pour les références au texte) Problématique : Quelle lecture symbolique peut-on faire de ce passage ? I) Une confession à valeur argumentative a) l'énonciation – discours direct (guillemets, passé composé, pronom personnel « je » + marques

Jean Tarrou est un personnage essentiel du livre puisqu’il livre des commentaires des faits, des réfléxions écrites, qu’il est très engagé dans la lutte contre la peste et il est le confident de Rieux. Il tient des « carnets » dont le narrateur s’inspire pour faire le récit des événements . Ces carnets permettent d’apprendre aux lecteurs certains éléments qu’il était difficile au narrateur de connaître ou de mention-ner. Tarrou permet d’apporter un point de vue différent ou complémentaire du point

la peste , Albert Camus ,p261-262 " la mort de Tarrou" intro: cette mort fait partie des toutes dernieres mort du roman, c'est une mort "privilégiée": elle a un impact sur Rieux, elle le prive d'un certain nombre d'attaches. on peut citer un passage avant la mort où Tarrou parle :"je n'ai pas envie de mourir et je lutterai mais si la partie est perdue ,je veux faire une bonne fin" "et un passage où Rieux parle: "pour devenir un saint il faut vivre ". Tarrou ne veut pas que son ami le voit mourir

Exposé sur un personnage de « La Peste » d’Albert Camus : Tarrou 1) Présentation du personnage : Jean Tarrou est un homme encore jeune, de silhouette lourde et d'un visage massif et creux. Il a des yeux calmes et gris barrés d'épais sourcils. Il est fumeur, il fréquente les danseurs espagnols d'Oran. Bien qu'il n'y habite que depuis quelques semaines il est bien connu parmi les Oranais. Ceux-ci le décrivent comme bonhomme, toujours souriant, comme "ami de tous les plaisirs normaux sans en

commenter : « Les confidences de Tarrou » : p.250, à partir de « Je n’ai pourtant gardé…. », jusqu’à… « le plus abject des assassinats ». Problématique : en quoi cet extrait est-il révélateur de la dimension symbolique de la peste, de La Peste ? 1/ Le récit d’un souvenir fondateur a) Les trois temps de la prise de conscience de Tarrou Décomposition du texte en 3 temps = les 3 § de l’extrait : Ø 1e = une révélation : la figure humaine de l’inculpé (Tarrou = comme hypnotisé : « je n’eus

La Peste : les confidences de Tarrou I) b. suite Il y a de nombreux verbes au passé composé traduisant la leçon qu'il a tirée, inscrivant son état d'esprit actuel dans une continuité. Il y a des adverbes de temps : "depuis", "cela fait longtemps" ... Deux verbes traduisent la leçon qu'il a tirée de l'expérience "je n'ai pas changé", "j'ai continuité", "j'ai appris", "je sais". Tarrou reste fidèle à ses convictions. Il établit un lien entre la situation actuelle "cette épidémie" et la leçon

d’étude croisés : Le personnage de roman, du XVIº siècle à nos jours La question de l’homme Durant la Seconde Guerre mondiale, Albert Camus rédige un roman allégorique dont l’action se déroule dans les années 1940, à Oran, en Algérie, lors d’une épidémie de peste. Dans l’avant-dernier chapitre, alors que l’épidémie dévaste la ville, le docteur Rieux et son ami Tarrou s’accordent un bain de mer, pour oublier un instant les difficultés auxquelles ils sont confrontés en soignant chaque jour les habitants

La Peste (la confession de Tarrou ) , Albert Camus (1947) De «Depuis, je n'ai pas changé » à «c'est-à-dire la paix.» (p227-229) 1 5 10 15 20 25 30 35 40 45 « Depuis, je n'ai pas changé. Cela fait longtemps que j'ai honte, honte à mourir d'avoir été, fût-ce de loin, fût-ce dans la bonne volonté, un meurtrier à mon tour. Avec le temps, j'ai simplement aperçu que même ceux qui étaient meilleurs que d'autres ne pouvaient s'empêcher aujourd'hui de tuer ou de laisser tuer parce que c'était

Mon cher fils, Je t'écris cette lettre afin de t'exprimer de sincères excuses. J'aurais aimé être le père modèle que j'avais imaginé être pour toi. J'aurais aimé pouvoir effacé les erreurs que j'ai pus commettre et ainsi ne t'inspirer ni honte, ni dégoût lorsque tu repenses à l'homme que j'ai pus être … Je me rends compte que je n'ai pas vécu comme un saint et j'aurais aimé ne pas être un mauvais homme, au moins à tes yeux. Je t'avouerais que, aveuglé, je n'imaginais pas être cet être que tu as