Petit-Bourbon

(études des auteurs grecs et latins) et obtient une licence en droit et achète une charge de trésorier général à Caen. À partir de 1684, et grâce à Bossuet (1627-1704), il est sous-précepteur dans la maison du Grand Condé, auprès du jeune duc de Bourbon, petit-fils du prince ainsi que de Mademoiselle de Nantes, fille naturelle de Louis XIV et de Françoise de Montespan. À partir de 1687, son activité professorale cesse et il devient bibliothécaire chez les Condé. Il commence à rédiger Les Caractères (1688)

efficace). I. Du rétablissement de l'ordre sous Henri IV au temps des incertitudes (1589-1624) A. Henri IV, « roi de raison » : la pacification et la consolidation de l'ordre monarchique. 1. La conquête de son royaume par Henri IV, premier roi Bourbon (1589-1598) Henri IV est totalement légitime pour le trône (premier prince du sang). Il lui faut dans un premier temps affirmer cette légitimité en ce faisant roi de guerre. La guerre représente une valeur forte et positive de rendre la justice

fréquenta le collège des Oratoriens, puis fit des études de droit à Orléans. Devenu avocat, il acheta une charge de trésorier des Finances (1673) puis mena à Paris une vie modeste et simple. En 1684, grâce à Bossuet, il fut nommé précepteur du duc de Bourbon, petit-fils du Grand Condé, et, à partir de 1686, il en devint le secrétaire. Ce sont ces charges qui lui procurèrent l'occasion d'observer les mœurs de la cour. De ses observations, il tira les Caractères de Théophraste traduits du grec, avec les caractères

utérines 3 amants présumés (Artois, Coigny, Rohan.) Un registre encore poli et sobre; Ensuite voc' obscène. P.Aretino: Textes pornographiques. Amour avec la Polignac. MA a fuie la cour de Versailles composée de vieillards pour aller se réfugier au Petit Trianon avec des amis selectionnés selon ses goûts et qui ne faisaient pas forcement parti des plus anciennes noblesses de France. Dont Polignac ds Ma donna un titre, une charge, et placa tte sa famille. Rumeurs et commerages car cour se sent humilié

.. Blennorragie : tenue secrète, cette maladie le tenaille régulièrement depuis sa jeunesse (depuis mai 1655, époque de ses premières liaisons). Vapeurs et douleurs dorsales fréquentes : certaines (novembre 1647) attribuées à une attaque de petite vérole ; avec pustules sur tout le visage et d’autres parties du corps , suivie d'un début de « gangrène » des doigts de pied... Langueurs et fièvres variées : fièvres de fin 1655; fièvre typhoïde de juin 1658... Maux de dents : en 1685, toute

des études de droit à Orléans. Devenu avocat, il acheta une charge de trésorier des Finances en 1673 puis mena à Paris une vie modeste et simple. (Lucie) En 1684, grâce à Bossuet,Son temps libre lui permet d'être nommé précepteur du duc de Bourbon, petit-fils du Grand Condé dans la maison de Condé, et, à partir de 1686,a la mort de ce dernier, il en devint le secrétaire une position idéale pour ses observations. Ce sont ces charges qui lui procurent l'occasion d'observer les meurs de la cour.

font journalistes à l’occasion. • Les plus fortes ventes sont réalisées par des quotidiens populaires mais difficiles à classer politiquement (adoptent des positions mesurées pour ne pas heurter le lectorat), comme Le Petit Journal ou Le Petit Parisien (cf p.121 diffusion du Petit Parisien). • Mais des journaux d’opinion émergent également, comme le quotidien radical L’Aurore, Le Figaro, de centre-droit, L’Action française, d’extrême-droite, etc. le citoyen a dorénavant les moyens de lire le journal

août 1645. Ses parents sont des petit-bourgeois de Paris.  Après avoir obtenu une licence en droit, achète une charge, fort modeste, de trésorier général de France au bureau des finances de la région de Caen, ce qui ne l'empêche pas de vivre à Paris, d'une façon si discrète qu'on ne connaît pas grand-chose de sa personnalité. À partir de 1684, et grâce à Bossuet (1627-1704), il est sous-précepteur dans la maison du Grand Condé, auprès du jeune duc de Bourbon, petit-fils du prince. À partir de 1687

Ses parents, qui avaient huit enfants, étaient de petits-bourgeois parisiens vivant chichement d'un office de contrôle des rentes. Reçu avocat au Parlement de Paris, il n'exerça pas le métier paternel, mais acheta, grâce à un héritage, un office de trésorier des finances; il put ainsi mener une vie calme et solitaire et observer les hommes de son temps. À quarante ans, il entre dans la maison de Condé comme précepteur de M. le Duc (le duc de Bourbon). Les Condé ne sont pas gens d'humeur facile et régulière

naguère "faire ses humanités" ») et obtient une licence en droit et achète une charge de trésorier général à Caen. À partir de 1684, et grâce à Bossuet (1627-1704), il est sous-précepteur dans la maison du Grand Condé, auprès du jeune duc de Bourbon, petit-fils du prince. À partir de 1687, son activité professorale cesse et il devient bibliothécaire chez les Condé. Il commence à rédiger Les Caractères (1688) dès 1670. C’est un livre qu’il a maintes fois remanié et augmenté. La première publication