Petite Digression 1766

la seconde moitié de sa vie, il se livra plus spécialement aux sciences exactes et composa Éléments de la géométrie de l’infini (1727), dont la validité scientifique fut contestée, notamment par Georg Cantor ; la Préface de l’analyse des infiniment petits du marquis de l’Hôpital. J. Bertrand a finement jugé Fontenelle comme écrivain scientifique : « Dans ses éloges, dit-il, il semble s’imposer la loi de n’être ni profond, ni sublime ; son âme, qui ne s’échauffe jamais, n’a pas pour cela grand effort

INTRODUCTION Les « observations sur la torture » est un ouvrage publié en 1776 par Pietro Verri. Il faut expliquer un petit peu le contexte d’où l’œuvre est issue pour mieux la comprendre. A cette époque là, la Lombardie est sous la domination des Habsbourg d’Autriche ; depuis quelques années, l’Autriche cherche à moderniser l’état lombarde encourageant des réformes à niveau économique et judiciaire. Milan était gouverné par un officier autrichien, qui promouvait les réformes voulues par l’Empereur

chapitres, il fut publié une nouvelle fois en 1748 sous son titre actuel. D’après Longchamp, secrétaire de Voltaire, c’est au cours des soirées mondaines données à Sceaux, chez la duchesse du Maine, que l’idée d’écrire des contes inspire à Voltaire ce petit roman, qualifié aussi de conte philosophique, qui connaît plusieurs éditions à partir de 1747. Il s’est par ailleurs défendu d’en être l’auteur, le considérant comme une simple « couillonnerie1 ». Cette œuvre est inspirée d'un conte persan intitulé Voyages

selon la chronologie des récits, et différents de l’ordre de parution. Quelques romans écrits par François Marie Arouet di Voltaire * « Essai sur les mœurs et l’esprit des nations, 1756 » * « Candide ou l’optimisme, 1759 » * « Petit digression, 1766 » * « traité sur la tolérance, 1767 » * « Le cri du sang innocent, 1775 » II – Résumé de l’œuvre Candide, un garçon naïf, est élevé au château de baron Thunder-Ten-Tronckh en Westphalie. Là, Pangloss lui apprend la philosophie

Dictionnaire philosophique portatif, 1764 Jeannot et Colin, 1764 De l'horrible danger de la lecture, 1765 Petite digression, 176 Le Philosophe ignorant, 1766 Traité sur la tolérance, 1767 L'ingénu, 1767 La Princesse de Babylone, 1765 Les lettres de Memmius

Haye (1773-1774) 1.8 Dernières années (1774-1784) 1.9 Après 1784 2 Œuvre 2.1 Roman, conte et théâtre 2.2 Encyclopédiste 2.3 Critique d'art 2.4 Correspondance 2.5 Traducteur 2.6 Contributions 3 Style 3.1 Dialogue 3.2 Commentaire 3.3 Digression 3.4 Mise en abyme 4 Idées 4.1 Religion 4.2 Morale 4.3 Art 4.4 Éducation 4.5 Politique 4.6 Sciences 5 Postérité et réception critique 6 Entourage 6.1 Écrivains et philosophes 6.2 Peintres 6.3 Famille 6.4 Liaisons extra-conjugales 6

fameuse illumination qui lui inspirera le Discours sur les sciences et les arts. Diderot lui-même n'est d'ailleurs pas étranger à certaines idées du texte5. C'est par son intermédiaire que Diderot rencontre Condillac en 1745. Ils forment à trois une petite compagnie qui se réunira souvent. Premiers écrits (1743-1749) Entre 1740 et 1746, Diderot déménage fréquemment sans jamais s'éloigner du quartier latin6. En 1740 on le trouve rue de l'Observance puis rue du Vieux-Colombier et rue des Deux-Ponts

est pourtant un trait constant. Un Protée interpelle, commente, s’exclame, décide sans appel, anime chaque page du DP. Tantôt il intervient à la première personne du singulier, tantôt il s’adresse à quelque interlocuteur, tantôt il met en œuvre de petits dialogues entre des personnages qu’il agite comme des marionnettes. Il acquiert le statut de personnage à part entière. L’adversaire, l’anti-Voltaire, est toujours dans une position d’infériorité. C’est un pédant (« Ame »), un mauvais philosophe (« Méchant »)…

Théologie, puis Droit) Il occupe différents emplois, mène une vie de bohème. Puis, curieux de toutes les formes de la connaissance, se consacre à L'encyclopédie dont il est, avec d'Alembert, le grand maître d'oeuvre. Il dirige les travaux de 1747 à 1766. Il dut affronter la censure, fit quelques mois de prison... Son oeuvre témoigne de l'évolution de la pensée philosophique. Il s'est essayé à tous les genres, théâtre, romans, roman épistolaire, critique, d'art... Son œuvre narrative est remarquable

l'ensemble de la société.    En 1763, il démissionna de son poste universitaire pour devenir le précepteur du jeune Henry Scott, troisième duc de Buccleuch, qu'il accompagna dans un périple en France, séjournant notamment à Toulouse et à Paris (1764-1766). Au cours de ce voyage, il rencontra Voltaire à Genève, D'Alembert et les encyclopédistes français, Helvétius, François Quesnay, ou encore Turgot, qui eurent sur lui une grande influence. De retour en Grande-Bretagne, Smith consacra ses dernières