Petite lèvre

leur cœur et il s'endorme pour ne plus jamais se réveiller. Mais lui, il était si différent, il m'a vue, je n'aurais pas du le secourir mais son beau sourire m'a fait changer... Je n'ai jamais eu de pitié, je ne dois pas en avoir. Depuis que je suis petite, le monde pour moi est différent, les enfants m'évitaient et les rares qui s'approchaient mourraient vite de la suite de mes bisous d'enfant. Seule ma mère n'avait pas peur, je la croyait folle à lier quand elle me parlait de mon père. Un bel étranger

encore pour montrer que l’on ne travaillait pas), une petite bouche et de fins sourcils étaient de mise. L’usage du cosmétique se diffuse avec la Renaissance car les femmes se recouvraient le visage, le cou et la poitrine d’épaisses couches de maquillage ce qui permettait à la fois de valoriser le haut du corps et de le protéger de l’air et du soleil. De plus, les femmes se mordillaient les lèvres pour se les faire rougir. - Les seins étaient petits et pointus. - Le ventre était fin et lisse

la main qu il tenait entre les siennes.  Moi, je suis tout à vous, Gwennola, précieux trésor que Dieu a mis sur ma route. Je vous promets amour et fidélité... Mais il faut que je vous confesse  comme je viens de le faire à vos parents  une petite tromperie  oh ! pas bien terrible ! Elle le regarda avec étonnement, mais sans inquiétude, car il souriait avec une douce ironie.  Une tromperie ?  Oui, chère Gwennola. Je ne m appelle pas Franz Wolf, mais Franz-Josef, archiduc d Autriche

avoir été disposées pour elle seule ». Mais ce qui définit avant tout la jeune femme c'est son sourire. Par exemple la jeune femme « rend [le] salut […] avec un sourire », « elle passe de longues heures à sourire », « sourire », « puis sourire », « la petite institutrice gardait son sourire », « ce sourire de 20 ans », « un beau sourire », « son joli sourire à ne plus en finir » ( p. 54 ; 57 ; 64 ; 65 ; 69 ; 86 ). C'est « un vrai rayon de soleil », elle sème le bonheur et apporte joie de vivre autour

absolument inconnu. II L’assesseur de collège Kovaliov s’éveilla d’assez bonne heure et fit avec ses lèvres « brrr... », ce qu’il 67 [pic]faisait toujours en s’éveillant, quoiqu’il n’eût jamais pu expliquer pourquoi. Il s’étira et demanda une petite glace qui se trouvait sur la table. Il voulait jeter un coup d’oeil sur le bouton qui lui était venu sur le nez la veille au soir ; mais, à sa grande surprise, il aperçut à la place du nez un endroit parfaitement plat. Effrayé, Kovaliov se fit apporter

le timbre soigneusement, pas sens dessus dessous, tout droit, juste au bon endroit, avec amour, voilà. Oui, parfaitement, c'était une preuve d'amour. Elle regardait la lettre de loin, sans la lire. Ainsi, lorsqu'elle était une petite fille ,elle considérait le biscuit Petit-Beurre avant de le manger. Non, ne pas lire, attendre encore. Elle est à ma disposition, mais il faut que je meure d'envie de la lire. Regardons un peu l'adresse. Il a pensé à moi en écrivant mon nom, et parce qu'il a dû mettre

d’une voix douce,-Vous êtes très gentil, c’est la première fois qu’un homme me dit ça, merci beaucoup. Un grand sourire me parvenu aux lèvres et je repris,- Mais ce n’est rien mademoiselle, je constate juste les choses ! Après ricanement et quelque petit compliment de ma part, Cannelle et moi avions beaucoup discuté, de tout et de rien, bien apparemment ma compagnie ne lui déplaisait pas et au contraire ! Grâce à notre discussion nous trouvâmes le trajet moins long et ennuyeux.Nous arrivâmes à destination

Le système des personnages: sidi Mohamed: le petit de six ans (le narrateur). Lalla zoubida: la mère du narrateur , femme de Maalam Abdessalam. Lalla aicha: l'amie de Zoubida, femme de Moulay Laarbi. Maâlam abdesslam: la père de Sidi Mohamed.Tisserand, mari de Lalla Zoubida. Lalla Kenza: la voyante. Rahma: voisine au 1er étage. (la mère de Zineb, fille que sidi Mohamed déteste). / et femme de Driss Aouad. Fatma Bziouya: apprenti de Mr. Abdesslam. (1er étage) My laarbi: mari de Lalla.Aîcha(

à tomber alors j'soigne leurs plaies quand j'envoie Des mandats et des mandats mais, là, j'ai pas fait d'maille dans c'mois Donc quiconque me doit des thunes va payer sinon l'bitume Cognera sa tête très fort, j'veux pas qu'on m'prenne pour une petite pute Les mecs du quartier d'en face me pompent tous les nerfs Ils m'pensent faible mais ils savent pas que, même seul-tout, j'les baise Ils m'doivent des sous, ils m'prennent pour qui ? Depuis des mois, j'patiente Ils profitent que j'sois sans

J'aime que vous soyez ici. Il fronce les sourcils et consulte sa montre. - Il est tard. Il relève la tête pour me regarder. - Vous vous mordez la lèvre, dit-il d'une voix rauque, en me dévisageant d'un air songeur. - Désolée. - Ne vous en excusez pas. C'est simplement que ça me donne envie de la mordre, moi aussi, cette lèvre. Fort. Je m'étrangle... comment peut-il me dire des choses pareilles et s'imaginer que je n'en serai pas troublée ? - Venez, murmure-t-il. - Quoi ?