Peuple Phéaciens Odyssée

le retour d’Ulysse. Qu’elle le laisse partir ! Mais aucun | | |Immortel, aucun mortel ne l’accompagnera. Seul sur un radeau et subissant de nouvelles douleurs, il atteindra au bout de vingt jours la fertile Schérie, | | |terre des Phéaciens qui descendent des dieux. Ceux-ci l’honoreront comme un dieu et le ramèneront dans sa patrie. Ils le couvriront de plus de bronze, | | |d’or et de vêtements qu’Ulysse n’en aurait rapporté de Troie, s’il était revenu sain et sauf avec sa

prêtre entouré des guerriers, existence d'une aristocratie de grande famille princière. (tombes qui renferment une même famille princière) Concentration du pouvoir et donc concentration de la richesse (révélé par l'archéologie funéraire) Damos: le peuple libre. Cette liberté masque un attachement contraint à la terre du roi. (B) la mise en place de la religion Grecque: Zeus -Héra -Poséidon -Athéna -Artémis – Croyance dans l'au delà. Enterrement avec les é qui font la personnalité. Masque d'or

elle permet aussi de relier par la navigation, ce qui permet de voyager, de commercer, de partir à la découverte des paysages et des autres peuples. 3. Etude des « écritures » (stylistique) Comment est-ce écrit ? Pourquoi est-ce écrit de cette façon et pas d’une autre ? Qu’est-ce que l’épopée ? Qu’est-ce que l’Odyssée ? Pourquoi épopée et odyssée sont devenues des modèles dans l’écriture occidentale ? Pourquoi vont-ils servir de modèles dans la littérature ? Comment l’espace est-il

sont écartés ainsi qu’Enée retrouve son pilote, Palinure, qui est tombé de la poupe dans la traversée précédente et ne peut avoir de sépulture ; moins heureux qu’Elpénor, qu’Ulysse peut enterrer, il lui faudra attendre que des prodiges incitent des peuples voisins à lui élever un tombeau dans un lieu qui prendra son nom pour qu’il accède enfin à l’autre rive du Styx. La parenté du périple d’Enée et de celui d’Ulysse est manifeste : présence merveilleuse d’être légendaires et de monstres, passion pour

malgré toutes les recherches des courtisans. Le spectacle burlesque devient tragique par cette impuissance et cette chute magistrale. Topos de la fortune qui vient de l’antiquité : divinité antique qui préside à la vie des hommes et à celles des peuples : elle distribue les biens et les maux suivant son caprice. Poètes la représentent comme chauve, aveugle, debout, avec des ailes aux deux pieds, l’un sur une roue qui tourne, et l’autre en l’air; on lui a parfois donné un gouvernail pour exprimer

fidélité, comme en témoigne son attachement à Enkidu avant et après sa mort. Toutes ces qualités lui permettent de surmonter différents obstacles, notamment la peur (un obstacle intérieur), et d’accomplir des exploits. Porteur des valeurs de tout un peuple – ce qui explique son succès –, il est l’ancêtre des héros épiques que nous connaissons : Achille, Ulysse, mais aussi Roland ou les chevaliers de la Table ronde. u L es Gilgamesh questions dieux et les hommes 11. L’univers de l’épopée

auprès des navires, il arrive jusqu’aux nefs pour y mettre feu. L’Odyssée : (Homère, VIIIème siècle av. J.C.) Chants IX à XII : les « récits chez Alcinoos » [pic] (Début du récit d’Ulysse) « Ulysse révèle enfin son identité aux Phéaciens, et fait le récit du voyage de deux ans qu'il a accompli entre la chute de Troie et son arrivée sur l'île de Calypso. Il relate son départ avec une flotte de douze navires ; les vents les poussent vers Ismare, la cité des Cicones, qui ont participé

16], « sa terre natale » [l. 20] ; les étapes : « les cités de peuples nombreux » [l. 3], le pays d’« Hélios Hypérion », [l. 8], celui de la nymphe « Calypso » [l. 14]. 2 Ulysse a des compagnons, dont il est le chef : on comprend qu’il se sent responsable d’eux, qu’il essaie de les sauver et de faire en sorte qu’ils puissent rentrer chez eux. 3 Les deux adjectifs qualificatifs sont : – l. 3 : « nombreux » (qui se rapportent à « peuples ») ; – l. 4 : « grandes » (qui se rapportent à « souffrances »)

IV. Tout nom est ou bien un mot propre, ou un mot étranger (glose), ou une métaphore, ou un ornement, ou un mot forgé, ou allongé ou raccourci, ou altéré. V. J'appelle "mot propre" celui qu'emploie chaque peuple (104), "glose" (ou mot étranger) celui qui est en usage chez les autres peuples. On voit qu'un même mot peut être mot propre et glose, mais non pas dans le même pays. Ainsi le mot sÛgunon est un mot propre pour les Cypriens (105) et une glose pour nous. VI. La métaphore est le transfert

(103). IV. Tout nom est ou bien un mot propre, ou un mot étranger (glose), ou une métaphore, ou un ornement, ou un mot forgé, ou allongé ou raccourci, ou altéré. V. J'appelle "mot propre" celui qu'emploie chaque peuple (104), "glose" (ou mot étranger) celui qui est en usage chez les autres peuples. On voit qu'un même mot peut être mot propre et glose, mais non pas dans le même pays. Ainsi le mot sÛgunon est un mot propre pour les Cypriens (105) et une glose pour nous. VI. La métaphore est le transfert