Peuple

national socialiste d’Hitler, archétype de barbarie. Comme si un maximum de culture avait engendré un maximum de barbarie. Notons que lorsque l’on emploie le terme de barbarie on fait référence au comportement violent et déshumanisé et non aux peuples étrangers au sens historique du terme. Ce n’est donc pas un concept antique ou moyenâgeux mais un concept toujours actuel qui pourrait même remettre en cause l’aspect positif du progrès. La notion de mal. Au cours des siècles on a eu tendance

livrant à une étude comparative des états connus. C’est une étude historique et géographique. Bodin développe la théorie des climats : la position géographique conditionne les gouvernements et le caractère de ses habitants. Il montre que le destin des peuples est tributaire de l’action de leurs dirigeants et des institutions qu’ils ont su se donner. Il se concentre sur la France, il dégage plusieurs principes. La France est une communauté chrétienne qui est organisée politiquement, la noblesse jure fidélité

nous sommes » (ligne 35-36)  Renan explique que la nation ce construit par les faits de nos ancêtre quelles qu’en soit leurs natures. Renan explique cependant que lorsque les faits sont de nature de défaite, deuil, ils unissent d’autant plus les peuples en nation  « oui, la souffrance en commun unit plus que la joie. » (Lignes 54-55) en effet, c’est dans la défaite que l’on apprend. C’est faits « imposent des devoirs, ils commandent l’effort en commun » (lignes 56-57) -Le passé amène donc le fondement

opératoire par Rousseau afin de mieux réfléchir sur l'être humain en société. Dans un même ordre d'idée, Tocqueville dans De la Démocratie en Amérique créer une société entre démocratie et despotisme afin de montrer « l'espèce d'oppression, dont les peuples démocratiques sont menacés ». Quelle espèce de despotisme les nations démocratiques ont à craindre ? Pour Tocqueville, cette forme de despotisme « indolore » pour les hommes, dans le sens où ceux-ci ne se rendraient pas compte du caractère autoritaire

de l'identité djiboutienne, car une entité étatique ou quasi-étatique sans identité, c'est une coquille vide appelée à se dessécher.  La République De Djibouti s'est formée avec les colons .Djibouti , c'est l'héritage repris et développé par les peuples de la corne d‘Afrique , de la péninsule arabique et de l‘islam, dont par une étrange alchimie a fleuri la tribalocratie. Et le fait d'être a-tribal ne suffit pas à nier cette réalité. Bien des choses dans notre culture et notre vie quotidienne, calendrier

l’identification de la nation et de l’état se trouve dans le principe des nationalités .De ce principe a été déduit celui de la souveraineté nationale : le pouvoir réside dans la nation . Le principe des nationalités trouve un prolongement dans le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. Ce droit consacré dans l’âpres second guerre mondiale par la charte des Nations-Unies est lié au mouvement de décolonisation , ce principe a permis de mener a bien un certain nombre de décolonisation et de conduire les nouveaux

de leur sens de l’engagement, de la fidélité à la parole donnée, de l’éthique professionnelle et de la citoyenneté.  Ouverture culturelle : Cette journée de talent a permis aux élèves à découvrir les cultures et les religions des différents peuples et aussi à porter intérêt à la culture artistique. 4

la fois comme objet de la g ographie politique et sujet de la g opolitique), mais aussi les r gions ou les grandes organisations intergouvernementales qui, le cas ch ant, jouent un r!le important. Autres acteurs, non institutionnels ceux-ci, les peuples (notion g n rale regroupant toutes les formes de groupes humains organis s et diff renci s de la tribu la nation), et enfin un certain nombre de structures de nature politique, militaire, conomique ou m diatique. Dans le monde contemporain, de plus

la plupart des pays européens, la création d’un état est venue donner à la nation la concrétisation juridique et politique d’une histoire souvent déjà riche. Le principe des nationalités trouve un prolongement dans le droit des peuples à disposer d’eux même. Certains peuples se sont vus reconnaitre ce droit, sans pouvoir le mettre en pratique par l’obtention d’un territoire et/ou la création d’un Etat. Par exemple la Palestine n’a obtenu que récemment, après de longues années de luttes, un territoire

concernant les réserves indiennes s'adressant à un large public. L'auteur inclus bien le point de vu des autochtones au sujet des réserves : «Pour de nombreux Indiens, les réserves représentent la dernière preuve tangible qu'ils étaient les premiers peuples du Canada. Elles entretiennent un sentiment d'indianité et permettent l'existence des croyances spirituelles, des valeurs et un dialecte communs» (MCHUE, 2010 ; p.2). On y répertorie aussi plusieurs changements en ce qui concerne les réserves au niveau