Peuples iraniens

arsacides (IIIe s. av. J.-C.-IIe s. apr. J.-C.) Le dernier Empire : les Sassanides (IIIe-VIIe s.) Période post-islamique La domination arabe (642-748) et la « révolution abbaside » (VIIIe s.) Le califat abbaside et l'émancipation des peuples iraniens dans l'empire arabo-islamique(IXe-Xe s.) La domination turque (XIe-XIIe s.) Le déferlement mongol, timuride et turkmène (XIIIe-XVe s.) L'isolationnisme Séfévide (XVIe-XVIIIe s.) et Qadjar (1794-1921) Le mouvement constitutionnaliste (1906)

-C. C’est à peu près à cette époque que l’on trouve la première trace de l’existence des Kurdes dans des documents écrits. Ils sont donc l’un des premiers peuples autochtones de la région. Vers le début du 1er millénaire av. J.-C., des peuples iraniens, les Mèdes et les Perses, descendent peu à peu de la mer Caspienne vers le plateau iranien et la Mésopotamie. Tandis que les Perses s’installent au sud, dans le Fars, les Mèdes s’implantent dans les montagnes du Zagros. Ils apportent avec eux une

Extension urbaine dans le Caucase Les peuples qui vivent dans le Caucase parlent encore une bonne centaine de langues et dialectes différents appartenant surtout à la très ancienne famille linguistique des langues caucasiennes (60 à 70 langues), mais aussi aux familles indo-européenne, turco-mongole et sémitique. Article détaillé : Langues dans les pays caucasiens. Le Caucase est une des régions les plus composites du monde sur le plan ethnique. Des dizaines de peuples y cohabitent, les uns présents depuis

gens, selon de leurs mœurs, ont un calendrier distinct et ils commencent leur nouvel en par un jour spécial. En Iran, le 21 mars, le premier jour du printemps, c'est le premier jour de nouvel an iranien qui s'appelle Nowrouz. Nowrouz est la fête ancienne et la tradition iranienne. Chaque année, les iraniennes le célèbrent. Nowrouz est la nouvelle de l'avenir du printemps, du message de la beauté, de la nouveauté et de la nature. Il commence du premier Farvardin à 13 Farvardin qui est dit le jour de

aujourd’hui oui 1 30 ou non ? Je vais finir frigorifié à ce rythme-là. Ce soir-là, je suggérai à mon père une sortie à Djalalabad le vendredi suivant. Assis sur le fauteuil en cuir pivotant de son bureau, il s’arracha à la lecture d’un journal iranien et le reposa avant d’ôter ses lunettes que je détestais tant-il n’était pas vieux, loin de là, et il avait encore bien des années à vivre, alors pourquoi chaussait-il ces stupides lunettes pour lire ? 35 -Bonne idée, approuva-t-il. Depuis peu, il

il a parlé avec beaucoup d’émotion de ses souvenirs de guerre et de la fresque qu’il avait dessinée sur le mur de la mosquée de Khorramshahr. J’ai décidé de me rendre dans les régions d’Iran où la guerre avait eu lieu, et j’ai vu que de nombreux iraniens venaient eux aussi visiter ces lieux chaque année (en particulier pendant les vacances de Norouz [4]) et allaient à la mosquée de Khorramshahr pour regarder la fresque de Nâsser Palangi. Au cours de ce voyage, je me suis imprégnée de cette ambiance

chiffre de 86, alors que les exilés iraniens l'estiment en milliers. En 1963 et 1967, l'économie iranienne croît considérablement, grâce à une augmentation des prix du pétrole ainsi qu'aux exportations d'acier. Mais l'inflation augmente au même rythme. Faisant face à une opposition grandissante des leaders religieux, rejoints par les propriétaires de petites entreprises en 1975, le Shah tente un nouvel effort pour reprendre le contrôle de la société iranienne. Cet effort consiste à essayer de

Histoire et Civilisations Comparées Dans une Interview de Kimiai donnée à la revue Adineh en hiver 1986, le réalisateur iranien propose : " Si dans les oeuvres artistiques des peuples du tiers-monde il existe une violence contagieuse, si elles sont saturées d'exaspérations artistiques, nous devons en rechercher les raisons dans la dureté des conditions de vie de leur société, dans la réaction de l'artiste

------------------------------------------------- La révolution iranienne Introduction En général, les causes d’une révolution sont à chercher dans des facteurs objectifs : misère généralisée, oppression, abus scandaleux. Ces facteurs se trouvent toutefois réunis dans une centaine de pays sans jamais ou presque provoquer de révolution. Ils sont en fait la poudre qui ne peut prendre feu que par l’étincelle révolutionnaire, relevant cette fois du subjectif, d’une situation particulière. Dans le cas de la révolution iranienne, il semble que

fêter les 2500 ans de l'empire perse. En effet l'Iran se veut l'héritier de la perse, et le peuple iranien est fier de cet héritage, culturel, avec des arts, une poésie, et un artisanat qui ravit le moyen orient jusqu'à l'Europe, notamment du 16e au 17e siècle, comme le montre par exemple le roman épistolaire les lettres persanes de Montesquieu, publiées clandestinement en 1720. Par conséquent, les iraniens, ne sont pas des arabes. Ce sont des Perses avec une culture qui mêle des influences asiatiques