Peut On Discuter Des Gouts Et Des Couleurs

"Des goûts et des couleurs on ne discute pas." Cette expression participait à l’enseignement dès le Moyen-Age, de la philosophie et de la théologie. Cependant Paul Valéry répondra à cette citation par cette phrase : « Il faut disputer des goûts et des couleurs. D'abord parce que toute dispute se réduit à cette espèce, et qu'il faut que l'on dispute. » La notion des goûts et de jugement amène  à différentes théories à des prises de position à analyser Mais qu’est-ce que le goût ? Sens propre

Peut-on discuter des gouts et des couleurs Les œuvres d’arts obligent à percer le monde réel et à descendre au fond de nous-même. Les plaisirs sensibles, la joie et la tristesse se transforment avec les œuvres d’art et qui apportent un plaisir intérieur sans jamais nous détourner de notre vie. 1/ L’art sert-il à quelque chose ? Ou bien s’agit-il d’une activité superflue, au regard, à la production de nourriture ? 2/ L’art est-il vital ? L’art n’est pas une besoin vital. MAIS ! Pourtant depuis

sont donc par exemple les couleurs, les sons les odeurs, les sensations de toutes sorte. La discussion désigne l’acte par lequel des personnes échangent paroles et arguments, en soumettant à autrui leurs opinions, leurs idées, leurs gouts, mais aussi la réflexion par laquelle on peut se mettre d’accord. La problématique Les gouts et les objets sur lesquels ils portent sont-ils d’une nature telle qu’aucune discussion sur eux n’est possible Que veut on dire par on ne discute pas veut on dire simplement

qu’on ne peut discuter des goûts ? Le goût est lié aux tendances, aux préférences qui se manifestent dans le genre de vie et les habitudes de chacun. Ceci laisse ainsi penser que les goûts d’autrui sont différents des nôtres. Cependant, nous pouvons nous demander si les goûts doivent être purement personnels ; ou si, au contraire, ils peuvent être partagés, s’ils peuvent évoluer ou encore changer avec le temps. Est-il alors vrai qu’on ne peut discuter des goûts ? Est-il vrai que l’on ne peut en faire

Objet d’étude : Des goûts et des couleurs, discutons-en Cette séquence de début d’année, adressée à des élèves de seconde baccalauréat professionnel accompagnement, soins et services à la personne, ne visait aucunement l’exhaustivité du programme concernant cet objet d’étude. Il s’agissait, avant tout, d’amener les élèves à interroger leurs goûts et à s’ouvrir à ceux d’autrui, dans une démarche de dialogue et de respect. Une autre séquence, centrée sur l’expression de l’amour et de la fuite du

d'un objet en tant qu'elle est perçue en lui sans représentation d'une fin. » Analyse : • La sensibilité est ce qui fait le lien entre la perception et l’aperception. Par les cinq sens externes, nous percevons le monde à travers ses sons, ses couleurs, ses odeurs etc… L’aperception nous renseigne sur l’état de notre conscience. Elle répond à ces questions : qu’est-ce que je ressens en ce moment ? Suis-je apaisé, triste ou en colère ? Quelles sont mes pensées, mes centres d’intérêts ? Or la perception

populaire : « on ne discute pas des goûts et des couleurs ». Est-il vrai que l’on puisse discuter des goûts ? Serait-il légitime d’en discuter ? Et (question sous-entendue) : l’accord des goûts peut-il être atteint ? Tout d’abord, on constate que le gout es un terme équivoque (il appartient à la fois à l’ordre de la physiologie et à l’ordre du spirituel). La question « peut-on discuter des goûts ? » pourrait alors se reformuler ainsi : « peut-on discuter des gouts gustatifs ou des goûts esthétiques 

n’existe pas car nous sommes les créateurs du beau. Chacun est libre est souverain dans son jugement. Analyse : « sans concept » : on ne peut pas justifier le beau. On ne peut pas démontrer la beauté. La beauté est peut-être indémontrable voire inexplicable. On rappelle que le beau relève d’un jugement esthétique (=jugement dont le principe déterminant ne peut-être que subjectif) Kant dit qu’il faut distinguer le beau et l’agréable. « Cette chose est belle » la bonne définition est : « Je

faire (grec ancien) Il existe une distinction entre l’artiste et l’artisan Apprendre à du domaine du savoir /acquis Percevoir est inné, par la perception je suis en contact avec la réalité extérieur. L’enfant n’apprend pas à percevoir. Percevoir peut aussi être la réalité intérieure, percevoir ses émotions etc. Nous sommes face a un paradoxe : apprendre/percevoir Il semble absurde de se demander si la perception nécessite un apprentissage. Par exemple l’œnologue apprend à percevoir le vin, il

définitions possibles Interagir ? Partager les mêmes attributs ? Partager la même position relative ? De l’utilité des groupes sociaux Des définitions interdépendantes. Des constructions analytiques : les groupes sociaux existent-ils (vraiment) ? Peut-on faire du groupe un acteur collectif ? 2. Classes sociales et dynamique révolutionnaire A/ Pour Marx, qu’est-ce qu’une classe sociale ? B/ Les deux versions de la chute du capitalisme. La définition marxienne de la classe sociale Quelques