Peut On Désobéir Aux Lois

Eléments d’introduction et de problématisation du texte On a l’habitude de penser notre rapport aux lois comme de contrainte : parce que reçues comme des commandements, nous nous soumettons à elles pour, d’abord, éviter le châtiment, et par là nous les comprenons comme ce qui va à l’encontre de nos désirs ou de notre sentiment le plus naïf de libre-arbitre. Il semble évident que nous ne pouvons faire ce que nous voulons face à la rigueur de la loi ; et si elles nous obligent à les respecter, par

monde des morts. Antigone enterre donc son frère de ses mains mais elle est surprise par les garde puis amenée auprès de Créon qui veut la convaincre de ne pas recommencer. Cependant, elle préfère désobéir aux lois des hommes, d’autant plus si elles sont injustes, plutôt que de désobéir aux lois des dieux. Ainsi, elle est enterrée vivante et Hémon, fils de Créon, son fiancé, s’enfonce une épée dans le ventre à ses côtés dans la tombe. C. Comment est perçu l’Antigone de Sophocle? 

j.) + 10 à 12 (c.b.) + 27-34 (c.b.) Pour être libre, il faut avoir le courage d'être seul, mais pour assumer le fait d'être seul, il faut avoir les ressources émotionnelles pour le faire. À vrai dire, un individu "peut" se rendre libre, car la liberté est un processus. On peut donc devenir plus libre, mais pour cela, il faut, en quelque sorte, "tuer" ses parents au sens symbolique. Il faut savoir couper le cordon ombilicale, lâcher leurs mains, car c'est en risquant qu'on devient libre! Plus

autres États. L’industrialisation change rapidement le Massachusetts et Thoreau ne sera pas en accord de ce changement, car cela éloigne les vivants de la nature, la base de tout. Avec tout ce qui se passe proche de lui, il est évident que Thoreau ne peut suivre ce que le gouvernement veut qu’il suive. En effet, comment cité précédemment, Thoreau trouve que le gouvernement n’applique pas les actions qui sont communiqué au public par rapport à l’abolition de l’esclavage. Il parle pour ne rien dire, pour

été le nazisme. L’expérience semble donc être de bon sens en étant partie d’une idée ingénieuse, novatrice et dont l’objectif est d’inculquer le cours aux élèves.On peut y établir un parallèle fondé à partir des thèses intentionnalistes des historiens du nazisme sur le projet d’Hitler pour l’Allemagne suite à la première guerre mondiale. En effet celle-ci à laissé un pays déchiré, endetté et humilié. Les allemands

souverain est un autre des principes, par là, il faut comprendre que le pouvoir du Souverain (sous-entendu du peuple souverain) ne peut-être divisé en intérêt particulier, car celui-ci est contraire à l'intérêt général(qui est le but du contrat). Ce contrat prend, pour Rousseau, le relais à l'état de nature et à sa loi du plus fort. Pour lui, le droit du plus fort ne peut pas diriger une société car il est incompatible avec l'intérêt général, et donc avec le but même du contrat: "Le plus fort n'est

la scolarisation secondaire, occupation par les femmes de 30% au moins des sièges de parlement de parlement ou législature, exercice par les femmes de prés de 50% des emplois rétribués dans les activés autres qu’agricoles Quelles que soient les lois adoptées, l’évolution des droits des femmes est entièrement dépendante du comportement privé et surtout de celui des hommes, en fonction du niveau qu’atteint la culture patriarcale dans leur pays. Maintenant de formes de discriminations se manifestent

En effet, le devoir est toujours une obligation et donc une puissance morale qui s’adresse à notre liberté. Cependant, il est important de noter que le temps passe et amène avec lui une diversité des cultures, des croyances, des valeurs. Mais alors peut-on s’accorder sur des vérités morales ? Existe-il malgré tout une morale universelle et intemporelle valable pour tous ? Nous verrons que la moralité est devenue une entreprise personnelle, subjective. Puis nous étudierons la conception objective de

très difficile pour un être humain de ne faire appel que à sa morale, à ses sens ou à sa raison. Cependant la raison tient un rôle à part entière, elle peut être propre et/ou commune à chacun. Alors comment peut on la définir ? Qu’est ce que la raison ? Est-ce seulement être sage, raisonnable, ce cantonner à ce qui est logique, palpable, que l’on peut délimité, en bref une raison scientifique. Il est alors difficile, à ce stade de réellement donner une définition de la raison. C’est bien cela qui en

suivre l’ordre de la nature contre toutes les lois des hommes. » p. 53 misère de l’humanité en proie à l’opinion : « Je méditais sur le triste sort des mortels flottant sur cette mer des opinions humaines […]. » p. 63 « Je crois donc qu’une volonté meut l’univers et anime la nature. Voilà mon premier dogme, ou mon premier article de foi. » p. 65 « Si la matière mue [= si le fait que la matière bouge] me montre une volonté, la matière mue selon de certaines lois me montre une intelligence : c’est mon second