Peut On Faire Le Bonheur Dautrui

empathie (Descartes) PAGEREF _Toc185584887 h 3 4. Logique des concepts mentaux (Strawson) PAGEREF _Toc185584888 h 3 B. Autrui, mdiateur indispensable pour accder soi-mme PAGEREF _Toc185584889 h 4 1. La conscience de soi requiert la reconnaissance dautrui (Hegel) PAGEREF _Toc185584890 h 4 2. Autrui me permet de me connatre moi-mme (Sartre) PAGEREF _Toc185584891 h 4 3. Autrui est la condition de possibilit de la conscience elle-mme (Nietzsche) PAGEREF _Toc185584892 h 5 C. Autrui est la condition

devoir (seule action moralement bonne) Agir moralement=faire abstraction des interet pers. Et collectif & agir avec intention de se soumettre au devoir dicté par notre raison. LES cONSEQUENCEs de l’action ne sont pour rien dans la détermination de sa moralité.DEVOIRmoral= catégorique et non-conditionnel. Principe d’universalitsation :agir uniquement d’apres la maxime que l’on veux q’'elle soi une loi universelle. Devoirs stricte=faire ceci sans choix devoir large= liberté de choisir par la

conscience de toute une partie de notre attitude. A partir du moment o je ne matrise pas totalement mon comportement, je dois me demander jusquo va cette faille dans la conscience de soi si mon attitude peut, mme partiellement, chapper ma conscience, mes actes, mes penses et mme mon identit peuvent faire de mme. Comment pourrais-je alors avoir de faon absolue conscience de ce que je suis Car tre sujet, cest tre auteur de son identit, mais aussi de tous ses faits et penses. Ainsi, notre identit ne sest

est une bonne volont PAGEREF _Toc194758031 h 9 b. Acte conforme au devoir et acte par devoir PAGEREF _Toc194758032 h 10 c. La raison peut dterminer la volont PAGEREF _Toc194758033 h 10 d. Le respect est le seul mobile moral PAGEREF _Toc194758034 h 10 e. Consquences et difficults PAGEREF _Toc194758035 h 11 2. La forme de la loi morale universalit et respect dautrui PAGEREF _Toc194758036 h 12 3. Prsupposs, conditions, hypothses PAGEREF _Toc194758037 h 13 B. La critique du kantisme PAGEREF _Toc194758038

a aussi des prjugs, des interdits et des violences faites aux individus. Lhomme veut alors parfois se librer de sa culture et des limites quelle reprsente. Pb central lhomme peut-il acqurir les connaissances transmises par sa culture sans subir le poids et les contraintes des normes et des limites qui la dfinissent Ou Peut-on largir les limites de sa culture sans en perdre lidentit propre La culture nous libre du dterminisme naturel (par comparaison avec la condition animale) Rappeler lorigine animale

sur vous pour contrarier mes propos et enrichir ma planche car le sujet peut engendrer de la subjectivit toujours condamnable chez nous. SEMANTIQUE Ego racine grecque, Le mot ego est tir du pronom personnel latin (moi/je). Il dsigne gnralement la reprsentation et la conscience que lon a de soi-mme. Il est la fois considr comme le fondement de la personnalit et comme une entrave notre dveloppement personnel. A ce stade, on peut dj percevoir lambivalence de ce terme. Egosme et gocentrisme, deux mots

avec le projet de retrouver Cungonde et dacheter un royaume grce aux cents moutons chargs dor et de pierreries quils amnent. Mais en faisant route vers Surinam, colonie hollandaise, ils perdent leur richesse. Ils conservent cependant leur rve de bonheur. Cacambo dclare alors Nous sommes au bout de nos peines et au commencement de notre flicit. Cest alors quils rencontrent un esclave noir dont ltat pitoyable les ramne brutalement la ralit. Cette page est un violent rquisitoire contre lesclavage.

relations entre les individus, quelle place/ quel sens on accorde la notion dgalit pour def les rapport entre les individus. De la mme manire, quelle place et quel sens donne t on a la notion de libert. Quels sont les principes a partir desquels on va faire socit A partir desquels il y a un minimum dunit entre les individus grce auxquels ce nest pas la guerre minimum de confiance, respect. Grce auxquels il y a du lien social. Histoire Il sagit de chercher le contexte historique de chacune des ides dont

frquentation de la cour . La civilit se dfinit par un crmonial, des rgles qui sont de convention. La politesse ajoute lide de civilit quelque chose de noble, de fin, de dlicat. Civilit et politesse se distinguent comme le naturel et lartificiel. On peut parler dune politesse naturelle, tandis que pour pratiquer la civilit, il faut connatre les usages. Enfin, Littr oppose civilit et politesse, dune part, courtoisie, dautre part, laquelle implique des sentiments chevaleresques, cest--dire le culte

familiarisation avec lunivers du spectacle du XVIIe sicle nos jours. - Public Classe de 4me, trs htrogne. - Inscription dans la programmation annuelle Proposer cette squence en dbut danne permet, sil lon projette den faire travailler quelques scnes, dy consacrer davantage de temps, dorganiser des rencontres avec des professionnels du spectacle ainsi que des sorties culturelles. NB Ltude du Bourgeois gentilhomme a fait lobjet, en 2003-2004 dun vaste projet de mise en