Peut On Justifier La Vengeance N

d’un mythe tragique fondateur par Sartre, celui des Atrides. Sacrifice d’Iphigénie qui permet aux navires grecs de gagner Troie. Vengeance de Clytemnestre, puis d’Oreste et Électre. L’assassinat de Clytemnestre se déroule hors-scène et Électre seule imagine l’accomplissement de la vengeance. - mouvements : l. 1 à 13, les doutes d'Électre à propos de son désir de vengeance ; l. 13 à 20, l’héroïne retrouve sa fermeté et réaffirme sa résolution.- unité du passage : Électre, héroïne tragique, tiraillée

primordial a la compréhension des événements ainsi que d'avoir remis en ordres ces lettres pour respecter l'ordre chronologique ( travail d'organisation) Le but de cette préface qui est en contradiction avec l'avertissement de l'auteur , est de se justifier tout dabord les différents rôles du rédacteur( sélectionner, organiser les lettres , ses critères de sélections, et ses annotations), de ce qu'il n'a pas pu faire ( a en croire ce qui est écrit il était « soumis » , donc sous surveillance ) donc

arbitrairement par chaque individu. Dans une telle situation, on ne pourrait plus vraiment parler de justice mais de vengeance. Dans le système basé sur la vengeance règne la loi du Talion « œil pour œil, dent pour dent » On ne peut pas parler de justice, si le jugement d’un conflit n’est pas arbitrait et résolu par un tiers neutre et impartiale. Aucune justice véritable ne peut se baser sur les passions des individus mais seulement sur le jugement réfléchit d’un représentant officielle de la

montre la relativité des jugements et critique l’ethnocentrisme européen. Il observe, compare leurs mœurs et tente d’acquérir une objectivité optimale et de se libérer de ses préjugés. Comment lorsqu’on est sensible aux barbaries sévissant dans son pays peut on considérer celles que l’on considère être le fait des barbares ? L’expression « l’autre monde » place le débat du coté des barbares. Cette fois ci, ce sont les conquis qui affublent les Portugais de cette appellation. Montaigne déplace le problème

va donner à celui-ci une valeur qui le rendra digne d'une princesse. Le roi est mécontent du fait que le comte ait refusé réparation. Don Sanche, amoureux de Chimène, justifie le comte, mais le roi le fait taire. On apprend que, à l’issue du duel, le comte est mort. Chimène vient demander justice au roi, tandis que don Diègue justifie son fils et réclame d'être puni à sa place. Elle affronte don Diègue, l’accuse et il riposte. Rodrigue est-il coupable ? Chimène l'emportera-t-elle ? La décision est

montre la relativité des jugements et critique l’ethnocentrisme européen. Il observe, compare leurs mœurs et tente d’acquérir une objectivité optimale et de se libérer de ses préjugés. Comment lorsqu’on est sensible aux barbaries sévissant dans son pays peut on considérer celles que l’on considère être le fait des barbares ? L’expression « l’autre monde » place le débat du coté des barbares. Cette fois ci, ce sont les conquis qui affublent les Portugais de cette appellation. Montaigne déplace le problème

ou les sirènes mais aussi d'autres épisodes concernant la guerre de Troie comme le déroulement de la construction du cheval de Troie qui ne sont pas évoques dans l'Iliade. Le récit est repartis en 24 chants et peut être divisée en 3 parties: la Télémachie, Récits d'Ulysse et vengeance d'Ulysse. Le chant I commence par le plaidoyer d'Athéna qui devant les dieux et bien sur Zeus, va demander qu'Ulysse puisse revenir chez lui, a Ithaque. Athéna fait référence a la guerre et a la chute de

exceptionnelles, si bien qu’un héros peut désigner un personnage extraordinaire, mais aussi, uniquement le personnage principal du roman. En effet certains auteurs considèrent que le héros peut être n’importe qui, ainsi Zola a déclaré : «  Le premier homme qui passe est un héros suffisant » Le héros peut-il vraiment être le premier homme qui se présente ? Nous montrerons qu’un héros n’est pas qu’un être extraordinaire, puis qu’il peut être banal, enfin nous montrerons ce qui justifie le choix de l’auteur.

L'Illusion comique : Acte III, scène 6 (Monologue de Lise) I Commentaire suivi Si l'importance d'un personnage de théâtre peut se déterminer par le rôle qu'il joue dans l'intrigue aussi bien que par le temps de sa présence sur scène, nul doute alors que Lyse, dans L'Illusion comique de Corneille soit le troisième personnage influent après Clindor et Isabelle. Le monologue qui la montre en train de délibérer avec elle-même à l'acte III, scène 6 en est une preuve. Du choix qu'elle est en train de

  II-    L’aveu de Phèdre n’est pas une libération pour elle, mais un moment où elle expose sa honte. Son amour est interdit, et doit rester secret parce qu’il est un crime ; la nature criminelle de ce sentiment justifie que Phèdre lui livre un combat.   A- L’amour comme crime   A aucun moment, Phèdre ne se réfère clairement aux liens familiaux qui l’unissent à Hippolyte, mais les v.294 à 296 insistent sur ce lien de parenté : Phèdre « affecte » l’attitude que pourrait adopter