Peut On Vivre Sans Oublier

L'oubli peut-il être un bienfait (sujet IEP 2012) ? L’oubli peut-il être un bienfait ? C’est une question faussement troublante, car la réponse est absolument évidente et certaine : c’est oui ! Même si a priori l’oubli est une défaillance de la mémoire, donc un handicap. Reprenons : Il faudra distinguer l’oubli individuel et l’oubli dont le sujet est un peuple ou une communauté. En ce qui concerne l’oubli individuel, il est ni bon ni mauvais, mais lié au fonctionnement de la mémoire

de sentir, de ressentir… toutes ces actions humaines qui font que l’on se sent vivant. Que l’on se sait vivant. On peut prendre pour exemple le fait que les femmes enceintes disent « avoir une vie » en elles : elles ont conscience que l’être porté est vivant et celui-ci dès sa naissance, en aura conscience aussi. C’est donc la biologie qui nous permet dans un premier de « savoir vivre ». La respiration, la croissance… sont autant d’objets scientifiques qui permettent de démontrer qu’un individu est

définir la notion de « bonheur ». Ainsi cet extrait répond donc à la question suivante « L’oubli est-il une condition au bonheur ? », question à laquelle l’auteur répond à l’affirmative en disant qu’il est possible de vivre sans souvenir, mais qu’il est cependant impossible de vivre sans oublier, la recherche du bonheur passe donc nécessairement par l’oubli. L’auteur décrit dans un premier temps ce qui permet selon lui correspond au bonheur, dans une deuxième partie, il démontre sa thèse grâce à des exemples

et ses nuits. Certains pourraient dire qu'elle est heureuse: elle est revenue du camp de la mort, elle a un mari et un fils. Mais en réalité, elle ne peut pas l'être, puisqu'elle est morte de l'intérieur. En effet, en partant d'Auschwitz, elle y a laissé sa vie, tout ce qu'elle est y est resté à tout jamais : ses souvenirs, son passé, etc. Elle ne peut plus se souvenir de sa vie d'avant, puisque sa vie a réellement commencé là-bas. Elle ne comprend pas pourquoi certaines de ses camarades, plus fortes

Paragraphe A : Dans le parcours de notre vie, on a tous eu des incidents qu'on aimerait tant oublier, des personnes qu'on souhaite tant qu'elles disparaissent... Parfois, on aime tant tout effacer, redevenir une page blanche, oublier tout, et recommencer à zéro* Je crois qu'on ne peut jamais oublier son passé qu'il soit bon ou mauvais. Je pense aussi qu'on ne pourra pas vivre sans avoir un passé car c'est lui qui détermine le présent et le futur.* Qui n'a pas de passé , n'aura pas de futur....Notre

Dans le parcours de notre vie, on a tous eu des incidents qu'on aimerait tant oublier, des personnes qu'on souhaite tant qu'elles disparaissent... Parfois, on aime tant tout effacer, redevenir une page blanche, oublier tout, et recommencer à zéro* Je crois qu'on ne peut jamais oublier son passé qu'il soit bon ou mauvais. Je pense aussi qu'on ne pourra pas vivre sans avoir un passé car c'est lui qui détermine le présent et le futur.* Qui n'a pas de passé , n'aura pas de futur....Notre passé est

âme à la musique ? Pas seulement ! Parlez-en aux amateurs de nature sauvage, qui rêvent de partir visiter la forêt amazonienne, dans le Pantanal ou les chutes d'Iguaçu, sans oublier les 8 000 km de côtes spectaculaires. Célèbre pour son incontournable carnaval, Rio de Janeiro est la parfaite incarnation de la joie de vivre. Les plages de Copacabana et d'Ipanema, rendues mythiques par les chanteurs de bossa-nova, ainsi que les clubs de sambas de la ville attirent les voyageurs du monde entier. Le

Faut-il vivre au présent ? Qu’est ce que le temps ? Personne n’est capable de l’expliquer facilement et brièvement. Pourtant, nous vivons tous dans le même temps, mais nous le vivons différemment. Nous avons conscience de vivre dans le temps. C'est ce qu'on appelle la temporalité de l'existence humaine. Mais à quel temps vivons-nous ? Puisque le passé n'existe plus, que le futur n'existe pas encore, ne vivons-nous pas au présent ? Mais, comme le faisait remarquer Saint Augustin, « Si le présent

La dissertation: sujet n° 1: "La route du bonheur est peut-être la route de l'oubli." (Yasmina Reza). "Tous les hommes sont d'accord sur le fait de bien vivre et de réussir à être heureux. Par contre, concernant la nature du bonheur, on ne s'entend plus" (Aristote, Ethique à Nicomaque, I, 2, 1095, a. 20). Tous cherchent le bonheur, mais tous ne le cherchent pas de la même manière, ni au même endroit. Yasmina Reza, une femme de lettres française du 20ème siècle, née une dizaine d'année après la

est encore un tel instant. U est ce temps non banal qui interrompt la banalité. Lorsqu'un instant privilégié est atteint, le temps ordinaire, quotidien est coupé, par un temps d'exception. Mais en même temps l'instant privilégié, une fois donné, ne peut connaître qu'une dégradation ou une chute. C'est ce point culminant qu'on appellera « bonheur » il accomplit un processus, précède une chute, et est entre les deux. Mais le bonheur tend vers autre chose que l'instant privilégié. Car nous n'aspirons