Peut On Vivre Sans Rêve

». Pages 96 et 97 (folio) Introduction Dans lalittérature et notamment dans celle du XIXe siècle, les personnages en proie au « mal de vivre » sont nombreux. Dans cet extrait du chapitre 9 de la première partie d’Emma Bovary, célèbre roman de Flaubert,l’héroïne qui avait déjà connu le désenchantement dès le début de son mariage mais qui « a touché son rêve » au cours du bal à la Vaubyessard retombe dans un état d’abattement encore plus grand.Ainsi ce passage est-il placé sous le signe de l’enfermement

ressortaient. -Moi c’est Victor. Qu’as-tu dans les mains ? La jeune fille reporta son regard sur ses mains elle ferma doucement les yeux pris une profonde inspiration et murmura -un rêve je croix. -un rêve ? s’étonna Victor , il brille tellement où l’as-tu trouvé ? -il m’appartiens … déclara-t-elle. -Ton propre rêve ? demande t-il surpris. -Oui et je vais devoir y retourner … murmura-t-elle . -Puis-je t’accompagner ? questionna-t-il. -Si tel est ton souhait. Dit-elle en lui tendant une de ses

tout s'écroule. Abandonné quand on est amoureux , se sentir seul même dans la foule . 13 - On fait des rencontres magnifiques puis l'on se quittent sur des mots pathétiques.. 14 - Il y a une chose plus triste à perdre que la vie, c'est la raison de vivre, plus triste que de perdre ses biens, c'est de perdre son espérance . 15 - Nous avions beaucoup de points communs, je l'aimais, et il s'aimait .. 16 - Tout me touche, me traverse et me détruit. ( Bernard Werber ) 17 - L'amour ça se commande pas

1 Synthèse « Rêverie » Introduction : L’homme a la capacité de s’abstraire partiellement du monde qui l’entoure par un état de rêverie ou de rêve éveillé. Quatre documents nous permettent d’aborder cette réflexion. Le premier est extrait de Rêveries d’un promeneur solitaire, ouvrage autobiographique dont l’auteur est Jean-Jacques Rousseau, célèbre écrivain philosophe du XVIIIe siècle qui s’est penché sur la nature humaine dans nombre de ses ouvrages. Le second est extrait du Livre de l’intranquillité

A DREAM, un film de Daren Aronofsky Résumé du film Harry Goldfarb, sa petite amie Marianne Silver et son meilleur ami Tyron C. Love, sont trois jeunes junkies rêvant d’un monde meilleur ainsi que d’une vie plus facile, en ayant assez de vivre dans la misère. Le trio, lors de sa quête, se trouve alors entrainé dans une spirale infernale de la vie qui les enfoncera chaque jours toujours plus dans l’angoisse et le désespoir. Sara Goldfarb, mère d’Harry est elle ce qu’on pourrait appeler une

semblant, tout le temps, toute la journée. J'ai l'impression que ma vie est un mensonge. Chaque pas hors de mon lit, chaque sourire, chaque éclat de rire et chaque "ça va, merci" est un mensonge. Alors non, ça ne va pas, j'ai même perdu l'envie de vivre. Je ne pensais pas qu'une personne puisse avoir un tel effet sur ma vie, je ne pensais pas que quelqu'un puisse un jour me manquer autant que toi actuellement, ou me faire autant pleurer, moi qui d'habitude ravale ma fierté et mes larmes en ne regardant

métro (une panne de métro) suscite des visions fantastiques angoissantes ; mais cet effroi est atténué par un humour qui détend l’atmosphère. Dans ce poème nous pouvons voir un récit remplit d’humour d’une expérience banale ainsi que l’irruption du rêve dans une atmosphère angoissante. Tout d’abord nous pouvons voir l’évocation d’un incident banal, (une panne de métro). Cet incident est précisé au premier et au dernier vers « le métro tombe en panne » (v.1), « le métro part » (v.27). Le fait

est un poème : « J’ai tant rêvé de toi » écrit en 1930 par Robert Desnos extrait de Corps et Biens. Celui-ci appartient au registre lyrique. Desnos cherche ici à faire ressentir au lecteur l’intensité et la tristesse de ses sentiments lorsqu’il est amoureux. En quoi se poème exprime-il le désespoir du poète suite à un amour impossible ? D’une part nous montrerons l’évocation d’un amour malheureux pour une femme inaccessible puis l’abandon progressif du poète au rêve. I- Le poète évoque ici

autrement : ‘la connaissance est-elle compatible avec le bonheur ’ou ‘la connaissance est-elle incompatible avec le bonheur ’ ? La connaissance est d’après Erasme incompatible avec le bonheur. En effet, à force de toujours vouloir connaître plus, on peut oublier les raisons pour lesquelles on a commencé à s’instruire. Ces raisons peuvent être multiples. On veut toujours savoir plus pour notre satisfaction personnelle, pour l’argent, pour le pouvoir, pour son orgueil, ou encore pour une renommé extraordinaire

quelque rêve nonchalant. Gais chérubins ! veillez sur elle. Planez, oiseaux, sur notre nid ; Dorez du reflet de votre aile Son doux sommeil, que Dieu bénit ! Car toute chose nous convie D'oublier tout, fors notre amour : Nos plaisirs, d'oublier la vie ; Nos rideaux, d'oublier le jour. Pose ton souffle sur ma bouche, Que ton âme y vienne passer ! Oh ! restons ainsi dans ma couche, Jusqu'à l'heure de trépasser ! Restons ! L'étoile vagabonde Dont les sages ont peur de loin Peut-être