Peut On Vivre Seul

Commentaire d'un texte de Pascal sur le temps Niveau terminale Littéraire, Voici le texte : L'homme ne s'en tient jamais au temps présent. L'incapacité de l'homme � vivre au pr�sent, ne tient pas tant � une incapacit� de vivre l'instant qu'� une attitude de fuite : l'homme se noie dans le souci du lendemain, dans les projets, pour n'avoir pas � regarder le caract�re mis�rable de son existence. Nous ne tenons jamais au temps pr�sent. Nous anticipons l'avenir comme trop lent � venir, comme pour

apparence une évidence. Mais la formulation du sujet nous invite à une réflexion critique. « Vivre pour » suggère que toutes nos actions seraient des moyens dirigés dans la perspective d’une fin unique, le bonheur. Cela supposerait que l’on est en mesure de définir cette fin avec précision puisque c’est cette définition qui permettrait de déterminer quels moyens mettre en œuvre. Or un premier problème se pose ici : Peut-on définir le bonheur ? Le bonheur est subjectif, empirique, c’est un « idéal de l’imagination

l’exemple du coupe-papier nous met en rapport avec l’essence, qui précède l’existence, dans cet exemple l’artisan a pensé l’essence de l’objet avant de le faire exister. le seul être sur terre qui suit cet exemple c’est l’homme, en effet l’homme existe avant de se définir. L’homme est libre, et pour cause c’est lui tout seul qui se définit par ces actes et ce qu’il accompli tout au long de sa vie. Mais si l’existence, comme je le répète, dans le cas de l’homme, se traduit par l’ensemble des faits

passé ? Ceci revient à ce demander si nous devons tourner le dos à ce qui a été et qui n'est donc plus. Cette question pose immédiatement un problème puisque le passé étant un temps révolu l'homme n'aurait aucun intérêt à le ressasser. Personne ne peut en effet changer le passé, c'est ainsi, c'est daté et terminé. Ainsi, repenser longuement au passé serait une perte de temps, tout le temps passé à se remémorer ce qui est accompli bloque l'avancé vers l'avenir. Cependant, il s'avère difficile de négliger

si Dieu existait, ça ne changerait rien ; voilà notre point de vue. Non pas que nous croyions que Dieu existe, mais nous pensons que le problème n'est pas celui de son existence ; il faut que l'homme se retrouve lui-même et se persuade que rien ne peut le sauver de lui-même, fût-ce une preuve valable de l'existence de Dieu. En ce sens, l'existentialisme est un optimisme, une doctrine d'action. » Extrait n°1 : Le suicide (Le Mythe de Sisyphe, 1942) Il n'y a qu'un problème philosophique vraiment

Albert Camus I) Résumé de l'oeuvre Albert camus est un écrivain et philosophe français du Xxè siècle. Il écrivit un essai qui sera publié en 1942, intitulé Le Mythe de Sisyphe. Camus pose un problème philosophique sérieux qui est le suicide. On peut se demander si la vie vaut-elle d'être vécue, ou s'il vaut mieux mettre fin à ses jours. Pour l'homme, le suicide est la délivrance du poids de la vie. En effet la vie est absurde, elle n'a pas de sens. La vie nous apparaît comme un éternel recommencement

fr/PhiloSophie/logphil/notions/etatsoc/methode/sujets/dissert/marge.htm c'est vivre sans avoir besoin des autres soit en étant seul soit en étant en groupe ou en collectivité mais tout dépend du contexte parce que ça peut avoir plein de sens différent choix de s’isoler des autres et de se suffire à soi-même. Pour une communauté, c’est produire pour soi et ne consommer que ce que l’on produit. mais c’est aussi couper les échanges, la communication. en résumé vivre dans une bulle. vivre en communauté (communistes) groupe indépendant

milieu naturel ou à la société qui nous entoure l’adaptation pose toujours problèmes. Quelles sont les limites à poser pour vivre ensemble sans perdre toute notre individualité pour autant ? A ce sujet Blaise Cendrars a écrit : « Un être vivant ne s’adapte jamais à son milieu, ou alors, en s’adaptant, il meurt. La lutte pour la vie est la lutte pour la non-adaptation. Vivre c’est être différent. »Cette citation est paradoxale en cherchant à établir une réflexion chez le lecteur. Cendrars remet donc

L'homme ne s'en tient jamais au temps pr�sent. L'incapacit� de l'homme � vivre au pr�sent, ne tient pas tant � une incapacit� de vivre l'instant qu'� une attitude de fuite : l'homme se noie dans le souci du lendemain, dans les projets, pour n'avoir pas � regarder le caract�re mis�rable de son existence. Nous ne tenons jamais au temps pr�sent. Nous anticipons l'avenir comme trop lent � venir, comme pour h�ter son cours ; ou nous rappelons le pass� pour l'arr�ter comme trop prompt ; si imprudents

vote au suffrage universel direct. Malgré ces précautions, on peut déceler à travers cela une injustice qui va irréfutablement déséquilibrer cette harmonie tant recherchée. L’injustice va, malgré les différentes lois, creuser un fossé entre certaines classes sociales, ranimer une sorte de jalousie, voire même de haine envers les plus riches, les plus puissants (qui sont ceux qui gouvernent). Sera donc instauré un régime politique qui ne peut plaire à tous, et en favorise certains. L’harmonie est donc