Phedre De Racine Question Et Réponses

la question de la moralité du theatre au 17ème siècle À la fin du XVIIe siècle, un vaste débat anime la France sur le danger moral des passions théâtrales. La querelle sur la moralité du théâtre soulève plusieurs questions : d’où vient que le spectacle de la douleur soit au théâtre source de plaisir, et comment se fait-il que nous puissions éprouver de la compassion pour des êtres imaginaires ? Le théâtre n’était-il pas une école de mensonge par opposition à un art oratoire au service de

spectateur de se trouver dans une situation ordinaire et familière. Une question se pose alors : le théâtre est-il un miroir de la realité? Pour y répondre, nous donnerons en première partie, les arguments et les exemples, démontrant que le théâtre s’inspire en effet de la réalité. Nous verrons en deuxième partie les changements effectués. Nous finirons avec une conclusion, qui nous permettra d’apporter une réponse à la question posée. Pour Introduire cet axe, analysons l'intéressant du vocabulaire

ou deux mots ; si elle très longue, on l'appelle alors une tirade . Une tirade est destinée à expliquer, ou bien à convaincre, à pe rsuader  L'enchaînement entre les répliques peut se faire selon différents procédés : - un jeu de questions et de réponses ; - un dialogue vers par vers ou par répliques très courtes (cela s'appelle la stichomythie ) - la reprise d'un mot, d'une exp ression déjà prononcé(e) ; - l'interruption.  La tirade d'un personnage seul en scène s'appelle un

incurable …). • Procédés : lexique de la fatalité, du désespoir, de la mort, de l’inéluctable (=inévitable), de la domination. Syntaxe expressive, rythme de phrase saccadé, apostrophe, antithèse, interjection. • Ex : Les tragédies de RACINE (Phèdre) ; Œdipe Roi de SOPHOCLE. 3. Le registre lyrique La lyre : instrument de musique que le poète utilisait en chantant ses poèmes. • But : créer une intimité entre le locuteur et le destinataire par l’expression poétique des sentiments

choisir une métaphore de la part de novarina n’est pas anodin. Une métaphore est une création, un choix. La métaphore appel l’interprétation multiple. C’est une façon pour lui de se dérober, de déplacer le problème. C’est une réponse qui est en elle-même littéraire : on pose une question sur la littérature et l’auteur répond avec un style littéraire. - Formulation lapidaire : formule fracassante qui permet de se tirer d’une situation - Formulation paradoxale : il ne fallait pas prendre cette phrase

(La Fontaine) Allégorie Représentation concrète d’une idée abstraite -La Marianne pour la République -La colombe pour la paix Anacoluthe rupture de construction. « Vous voulez que ce Dieu vous comble de bienfaits / Et ne l’aimer jamais ? ». (Racine) Analepse En narratologie, c’est un retour sur des événements antérieurs au moment de la narration. Anaphore Répétition de(s) même(s) terme(s) en début de plusieurs phrases, de plusieurs vers, de plusieurs propositions Il n’y a pas d’amour

imparfait * Focalisation (point de vue) : qui décrit ? | Genres: | de la description utilitaire à la description littéraire (souvent intégrée dans un autre type de texte). | 6. Textes explicatifs et informatifs Caractéristiques : | * Réponse à une question ou à un problème énoncé au point de départ. * Présence d'annonces qui font apparaître le plan de l'exposé ainsi que de reprises et d'organisateurs textuels logiques destinés à guider le lecteur ou l'auditeur | Genres: | la plupart des

passions, de deux manières : d'abord en montrant les dégâts que peuvent provoquer les passions : dans les tragédies, les passionnés se font tuer, tuent ou se suicident (comme dans Phèdre où cette dernière s'empoisonne à cause d'un amour illégitime), deviennent fous, tel Oreste à la fin d'Andromaque de Racine (hors de la scène, par respect de la règle des trois unités) ; ensuite, les dramaturges comptent sur la « catharsis » (du grec κάθαρσις : purification), ou purgation des passions :

trop liée à la vie collective de la cité-Etat. Lorsque le philosophe Aristote, au IVe siècle av. J.-C., compose son traité sur la tragédie intitulée Poétique, la grande période du genre était déjà passée, un peu comme ce fut le cas en France après Racine. II- Aristote et la tragédie L'ouvrage d'Aristote exerce toujours une influence immense plus de dix-huit siècles après la mort de son auteur. Sans la Poétique , la tragédie n'aurait sans doute pas existé en tant que telle en Europe

compétences mises en œuvre Pratiquer la lecture analytique corpus d’extraits Repérage des éléments constitutifs de la tragédie en tant que genre. de préfaces de Racine (Bérénice, Iphigénie et Phèdre) Définition de la problématique de la séquence : dans quelle mesure les personnages d’Andromaque suscitent-ils notre pitié ? initiation à la question de corpus. Méthode de confrontation des documents Etude du sujet : Qu'est-ce que la pitié ? Pourquoi a-t-on pitié d'un personnage ? Comment l'auteur peut-il