Phénoménologie

science. La première moitié du XXe siècle est traversée par un thème philosophique majeur, décrit par le philosophe allemand Edmund Husserl, entre 1934 et 1937, dans un ouvrage publié post mortem, intitulé La Crise des sciences européennes et la phénoménologie transcendantale. Cette crise des sciences européennes, qui est aussi une crise éthico-politique, est selon Husserl le produit d'un divorce progressif entre la philosophie et la science. Pour Husserl comme pour Bachelard, le remède à cette crise

négociation ; la carrière E. Goffman- façade ; H. Becker- théorie de l’étiquettage -l’effet Pygmalion 2.L’éthnométhodologie- H. Garfinkel- concepts essentiels : indexicalité ; réflexivité ; accountability -l’interprétation documentaire 3.La phénoménologie- A. Schütz -typification ; la théorie des perspectives réciproques- l’idéalisation de l’interchangeabilité des points de vue ; l’idéalisation de la congruence des systèmes de pertinence -pattern (Th. Wilson) Cours 5 -le rapport égalité (Etat)/

chose absente, Ricœur met le doigt sur la nature indéfiniment extensible du désir. De plus, comme le désir est aussi selon lui capable d'anticiper le plaisir, il n'a pas besoin de la satisfaction réelle pour exister. En fait, on peut résumer cette phénoménologie du désir à l'idée que le désir est essentiellement d'ordre fantasmatique, ce en quoi il se distingue fondamentalement du besoin. Dans la mesure où le désir est par nature démesuré et infini, il n'y a aucune raison de lui dénier la possibilité

Né le 22 avril 1724 à Königsberg, capitale de la Prusse-Orientale, il y est mort le 12 février 1804. Grand penseur de l'Aufklärung, Kant a exercé une influence considérable sur l'idéalisme allemand, le néokantisme, la philosophie analytique, la phénoménologie et la philosophie postmoderne. Son œuvre, considérable et diverse dans ses intérêts, mais centrée autour des trois Critiques, à savoir la Critique de la raison pure, la Critique de la raison pratique et la Critique de la faculté de juger, fait

réconciliant avec l’absolu déjà présent en elle que raconte la Phénoménologie de l’Esprit (1807), sans aucun doute le chef d’œuvre de Hegel. Ouvrage étonnant où les expériences les plus communes de la vie quotidienne y sont travaillées par les concepts les plus abstraits. Ce savoir absolu, qui est en nous, ne se gagne pas par une révélation subite, mais tout au long d’un trajet difficile, rempli de doutes, d’illusions et de désespoirs. La Phénoménologie de l’esprit, cette «science de l’expérience de la conscience»

L'Imaginaire est un essai philosophique de Jean-Paul Sartre publié en 1940. C'est un essai de psychologie phénoménologique de l'imagination, comme l'indique le sous-titre. Sartre y présente une phénoménologie de la grande fonction irréalisante de la conscience, c'est-à-dire une description des modes d'apparition du phénomène d'être et de l'être du phénomène. Il y définit l'imaginaire comme la structure intentionnelle de l'image et la fonction irréalisante de la conscience. La méthodeJean-Paul Sartre

spécifique de l'être humain, mais est-ce que les animaux imaginent? Si on attribue l'imagination aux animaux, il faut dans ce cas la définir comme faculté de produire mentalement les représentations sensibles - Intentionnalité de la conscience ? Phénoménologie : c'est une façon de viser les phénomènes et ds le cas de l'imaginat° de pauser les choses comme absente L'imagination, comme faculté, est-elle passive ou dynamique ? Distinction entre imagination reproductrice ou créatrice => imagination

Giambattista Vico, auteur de "La Science nouvelle" (édité de 1725 à 1744), avait souligné la portée ontologique de la "fiction" depuis sa parenté étymologique avec le "fait". Depuis lors, les développements de la linguistique (et de la poétique), de la phénoménologie comme de la philosophie analytique ou de la psychanalyse (en particulier avec Jacques Lacan qui parle de la "structure de fiction" de toute théorie) ont développé des conceptions à la fois plus larges et plus précises de la fiction. Les questions

relève pas du langage (et de l’espace) mais de l’intuition (et du temps). III/ Une solution au problème du libre arbitre : la conception d’un libre arbitre concret en lutte contre les limites qui affectent l’existence humaine (Merleau Ponty, Phénoménologie de la perception, chapitre final sur la liberté). 1) Une nouvelle approche du problème de la liberté : il faut reprendre le problème à partir de la définition de la notion de naissance. Naître, c’est à la fois venir au monde et venir du

symbolique ? La question de l’image de soi rejoint ainsi le concept de « reconnaissance » définit par Hegel (10), repris par Kogève et discuté par Lacan dans le séminaire sur l’Angoisse (11). Il s’agit là d’un des concepts fondamentaux de la « phénoménologie de l’esprit ». Or une problématique à peine abordée à propos de la fonction spéculaire en pathologie est celle de la reconnaissance du sujet par qui incarne le Grand Autre. Dans les Écrits et De nos antécédents (12), Lacan reprend l’essentiel