Philia

principes de l’amour que ce soit de l’amitié à la concupiscence, tout ce qu’on aime est un mot général qui porte une définition. Les Grecs, comparativement à nous, ont basé l’amour à partir de trois mots précis : «éros», «philia» et «agapè». En bref, les mots «éros» et «philia» viennent expliquer que l’amour se résume par le fait d’aimer ce qui nous manque, ce qu’on n’est pas et ce qu’on n’a pas. Aimer c’est de se réjouir de quelque chose. Un peu de temps après la création de ces deux mots, ce fut

Kiqsfdfdfdfdfdfdfdf dfdfdfdfdfdfdfdfdfdf dfdfdfdfdfdfdfdfdfdfdfdfdfdqgfze g zen zzay guy yrgaeyr yg fygfy gf zeyfg zef feziyfg eyz gfzioyefg z yez gfiyfg zfo fgziofge | | | Merci de ne pas répondre à ce message. Ce mail de service concerne votre utilisation de Yahoo! Mail. Pour en savoir plus sur l’utilisation que fait Yahoo! de vos données personnelles, notamment grâce aux balises Web des mails au format HTML, consultez la charte Yahoo! Données personnelles. Siège social de Yahoo

Introduction Enjeux: 1) Traduction du terme philia dans une approche doublement réductrice a. Dimens° beaucoup plus large : philia rassemble tous les eidos, les visages ou figures des liens entre les hommes b. Introduction dangereuse de la notion d’autrui : l’acception moderne de l’amitié, traduction habituelle de la philia, est celle d’un mode de lien privilégiant non pas la notion de lien universel & omniprésent proprement grecque, mais plutôt ce lien d’un ego avec un alter-ego

que plus nous sommes mure, plus nous sommes susceptible d'avoir fait l'expérience de la prudence. La question de le philia dans l'Ethique à Nicomac Aristote n'est pas le seul à s’intéresser à la philia. Pourquoi s'y intéresse t-on? Premièrement on va essayer de se demander avec Aristote: 1) L'amitié, la philia, est-elle une vertu? 2) Pourquoi Aristote s’intéresse t-il à la philia? Comment l'amitié contribue elle à la quête de la vie heureuse? C'est cela que Aristote essaye de montrer. Aristote

nous demander, «Comment l'amour est-il perçu en philosophie?» (problématique). I- L'amour chez les trois dieux grecs, Eros, Philia et Agapé, dans Petit traité des grandes vertus de André Comte-Sponville. II- L'amour, une production dans la beauté, dans Le Banquet de Platon. III- L'amour et la mort, dans L'amour et l'Occident, de Denis de Rougemont. I- Eros, Philia et Agapé : André Comte-Sponville se demande « Qu'est ce que l'amour ? » Il va donc proposer trois réponses pour définir l'amour

importantes qui y furent échangés. Lors de cette soirée, il y a 7 personnalités, et chacun fait un discours différent. Les définitions de l'amour représentés dans cet ouvrage recouvre quatre sentiments distincts de la Grèce antique : l'Eros (écrire), la Philia (écrire), l'Agapê (écrire) et la Storgê (écrire). Tout d'abord l'Eros (montrer image), qui est « l'amour qui prend » : c'est la divinité de l'amour chez les grecs [chez les latins, c'est Cupidon (montrer image)]. Eros est le symbole de l'amour

d’amours :éros,philia et agapè. Éros :  « l’amour qui prend » : Divinité de l’amour chez les grecs (cupidon chez les Latins),Éros est le symbole de l’amour dans sa dimension sexuelle.  Philia : « l’amour qui partage, autrement dit qui prend et donne » : C’est le souci de l'autre (amitié, solidarité) dont parle Aristote. L’amour philia c’est se réjouir ensemble. Convivialité du plaisir partagé, la Philia est réciproque ou elle n’est pas. Agapè : « l’amour qui donne » : C’est la philia poussée jusqu’à

renoncer à ses droits, on n’a plaisir à léser au profit de son ami. Il y a une sorte d’oubli de soi. (On pourrait dire que l’amitié chez Aristote est la traduction du terme philia qui dépasse la relation d’amitié entre les individus La philia est une relation calme , non pas passionnelle et excessive On peut parler philia les relations commerciales) Pour Aristote l’amitié n’est pas l’affaire de coup de foudre et d’immédiateté, il dit que c’est une disposition, c’est-à-dire que l’amitié demande

une véritable valeur morale, et le respect intéressé. En ce qui concerne l'amour, pour prendre la distinction des Grecs anciens, on trouve l'amour éros, qui est un amour passionnel dans lequel on aime pour dans le but d'être aimé en retour. L'amour philia qui consiste à aimer et désirer seulement ce que l'on peut posséder ou que l'on a déjà. Et pour finir, l'amour agapé qui consiste à aimer tout ce qui nous entoure sans y chercher un intérêt personnel. Ce que l'on se demande ici, c'est si pour respecter

d'Aristote comme d'Epicure sur l'amitié, puisque l'un comme l'autre font de la philia un des centres de la réflexion éthique. Pour comprendre pourquoi et comment l'un et l'autre réservent cette place à la philia, il faut faire un détour sur ce qu'elle désigne pour eux ; et d'abord pour Aristote. 2 Aristote constitue le concept éthique d'« amitié» par une double spécification. On sait que, jusqu'à Platon, le mot« philia » désigne une sorte de relation cosmique, une affinité qui relie tous les êtres