Philip K. Dick

Julien 1ère Gestion-Administration CCF ARTS APPLIQUÉS « Autour de Philippe STARCK » Lycée Professionnel Privée les Jacobins 9 rue du Rempart du Touroncq 09100 PAMIERS Session 2015/2016 SOMMAIRE + Introduction + Biographie + Productions emblématiques + Analyse + Croquis du pendentif + Conclusion INTRODUCTION L'œuvre prolifique de Philippe Starck a progressivement touché tous les domaines où peuvent s'appliquer le design : mobilier

Souvenirs à vendre), parue en 1966, de Philip K. Dick. Certains s'étonneront du choix de mon film, qui pourrait paraître vide de tout contenu philosophique, et donc, totalement inaproprié pour un devoir de ce genre. Bien au contraire, non seulement ce film contient toute la substance philosophique nécessaire à un exposé, mais le paradoxe qu'il produit est lui même partie intégrante de mon devoir, en ce qu'il le démontre. De plus, il est à souligner que Philip K. Dick, qui est l'auteur de l'oeuvre à l'origine

histoire de jeunes hackers intitulée Cyberpunk. Néanmoins, le livre culte de ce mouvement est sans nul doute Neuromancer écrit par William Gibson. Ce roman est le seul de sa catégorie à avoir reçu à la fois les prix Hugo, Nebula, Seiun, Ditmar et Philip K. Dick. N’étant pas l’inventeur du mot cyberpunk, contrairement à une opinion répandue, Gibson demeure néanmoins le créateur du terme “cyberespace” et de la littérature cyberpunk. Gibson peint un monde futuriste inquiétant, particulièrement lorsqu’on

mois de voyage avec 2 000 F. 1982 Je "monte" à Paris pour suivre des études de journalisme à l'Ecole Supérieure de Journalisme de Paris. Découverte de Philip K Dick (Nouveau grand choc littéraire). Philip K Dick éclipse d'un coup toutes mes références littéraires précédentes. Asimov m'avait montré l'intelligence dans la SF, Herbert la mystique, Dick... la folie. Et avec la folie il surpasse les deux précédents. Le seul autre auteur qui me passionne à l'époque c'est Flaubert avec Salâmmbo. Parce que

dans l’esprit de l’auteur, couchée sur le papier, et à partir du papier elle produit un choc convulsif dans l’esprit du lecteur, le choc produit par un trouble de la reconnaissance. Il sait qu’il ne lit pas un texte sur le monde véritable. » — Philip K. Dick, lettre du 14 mai 1981[10] II) Pourquoi l’Homme éprouve-t-il le besoin de s’éloigner de la réalité pour voir d’un œil extérieur les problèmes de la société ?  De tous temps, les hommes ont éprouvé le besoin de dénoncer la réalité pour mieux

d'une réalité objective indépendante de nos sens. Dès la moitié du vingtième siècle, de nombreux auteurs de science-fiction articulent leur récits autour de cette notion, extrapolant parfois le sujet jusqu'à semer une grande confusion chez le lecteur (Philip K. Dick, p.ex.).

son fils ainé qui avait 5 ans. Il allait déjeuner chez ses parents. Son samedi et son dimanche il l'avait passer seul dans son studio ( car il terminer un livre sur lequel il travaillait depuis 1 ans'' Biographie du romancier de science fiction Philip K. Dick.'' * L'auteur nous décrive le déroulement de ça vie en parallèle de celle de Romand... le jours où celui ci tua sa femme et ses enfants. (p9). Le mensonge de la cigarette=> une menteur s'efforce d'être plausible: ce qu'il racontait, ne

ordinaire se retrouvant dans une situation extraordinaire. Dans la littérature, plusieurs auteurs ont souvent utilisé ce procédé, Fredric Brown, R. A. Lafferty et James Tiptree, Jr. sur le mode comique, humoristique ou décalé, Serge Brussolo, Philip K. Dick et Thomas M. Disch dans des genres plus sérieux qui, cependant, sont souvent ironiques. George Duroy, personnage de « Bel-Ami » de Guy de Maupassant, est un exemple d’antihéros.

ordinaire, sans qualités, qui par les circonstances se trouve plongé dans une situation extraordinaire. Le premier cas concerne surtout les personnages principaux d’œuvres comiques de la littérature (les héros de Trois hommes dans un bateau de Jerome K. Jerome par exemple), de la bande dessinée (Gaston Lagaffe, Jean-Claude Tergal), du cinéma (beaucoup des personnages incarnés par Woody Allen), mais on peut aussi les trouver dans des œuvres sérieuses, quoi que non dénuées d’humour, comme pour le Narrateur

explorant toutes les thématiques : anticipation du futur, robotique, personnages aux superpouvoirs, Guerre Froide, ère post-atomique, implications éthico-écologiques... Cela produit un mélange qui ne déplaira pas aux amateurs de Douglas Adamas et Philip K. Dick, qui y retrouveront quand même la touche personnelle de l’auteur, son goût pour l’affabulation et la parenthèse digressive, notamment lorsqu’il insère dans le flux de la narration comptes et poèmes. Son œuvre regorge d’amour pour la sonorité de