Phèdre Ou Le Désespoir

l’histoire ainsi. Pour rendre les monologues plus crédibles, les auteurs les introduisaient aux moments ou le personnage est sous le sous d’une émotion violente c'est le cas dans Le Cid, Don Diègue se lamente à haute voie de son déshonneur : O rage ! Ô désespoir, ô vieillesse ennemie ! N’ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ? Et ne suis-je blanchi dans les travaux guerriers Que pour voir en un jour flétrir tant de lauriers ? Mais le comédien peut aussi s’adresser a un confident ou a un valet.

D’une beauté extraordinaire, Hélène avait été enlevée une première fois par Thésée – fils d’Egée, roi d’Athènes, vainqueur du Minotaure et époux d’Antiope, reine des Amazones vaincue par Héraclès, avec laquelle il a un fils, Hippolyte, puis époux de Phèdre (soeur d’Ariane), qui tombera amoureuse du même Hippolyte, qui la repoussera, sur lequel elle vengera son dépit en l’accusant auprès de son père de l’avoir violée, avant d’être prise par le remord et de se suicider, mais après seulement que Thésée

spectateur complice et accentue le comique de situation. Marivaux, quant à lui, s’amuse à mettre ces propos hyperboliques dans la bouche du maître, qui ne supporte pas l’inversion des rôles qu’on lui impose : la didascalie le présente comme étant « au désespoir », puis il s’écrie, comme Staphyla : « Juste ciel ! Peut-on être plus malheureux et plus outragé que je le suis ? ». Il est clair que malgré cela, les serviteurs ne craignent pas leur maître et font preuve de liberté et d’insolence. Euclion accuse

peut échapper au rang de Néron qui souhaite l'épouser alors qu'il est déjà marier à Octavie. Le spectateur ne peut s’empêcher d’éprouver de la pitié face à la souffrance de Phèdre dans la pièce du même nom de Racine également quand celle-ci apprend que son amour, Hyppolyte aime Aricie. Elle confie alors ses tourments et son désespoir à sa confidente Oenone dans l'acte 4 scène 6. Le théâtre va donc amuser le spectateur mais va également le rendre sensible à la douleur des personnages. Certes,le théâtre

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! - Oui... Une nuit, c’était comme aujourd’hui la plus forte marée du siècle, il y eut sur la côte une tempête épouvantable. Orage, tonnerre, ouragan ! Dès le matin, je montai à la villa où demeurait mon amante. Je trouvai tout le monde dans le désespoir le plus fou. Mon aquarelle avait débordé : la jeune fille était noyée dans son lit. 55 - Pauvre ami ! Axelsen pleurait comme un veau marin6. Je lui serrai la main. - Et, tu sais, ajouta-t-il, c’est absolument vrai ce que je viens de te raconter là

ID. Phèdr. II, 1. Par quel charme secret laissé-je retenir Ce courroux si sévère et si prompt à punir ? ID. Mithr. IV, 4. Par un charme fatal vous fûtes entraînée, ID. Phèdr. IV, 6. Ils s'aiment ! par quel charme ont-ils trompé mes yeux ? ID. ib. Par quel charme, oubliant tant de tourments soufferts, Pouvez-vous consentir à rentrer dans ses fers ? ID. Andr. I, 1. Fig. Le charme est rompu, l'illusion est détruite. . 3° Ce qui plaît, ce qui touche, ce qui attire. . Dans mon désespoir trouvez-vous

Durant les dix suivantes années, il fait jouer à la troupe de l’Hôtel de Bourgogne huit pièces qui rencontrent toutes un grand succès, notamment avec Britannicus ( 1669 ), Berenice en 1670, Bazajet en 1672, Mithridate en 1673, Iphigenie en 1674 et Phedre en 1677.  En 1674, il est anobli parler le roi et devient le nouvel historiographe de la cour.  Il quitte ainsi sa maîtresse et épouse une riche héritière avec qui il aura sept enfants. Il occupera la fonction d'historiographe pendant quinze ans

d'aventures merveilleuses tirées de romans a l'eau de rose en serra d'autant plus déçue par la triste réalité. Le phénomène du Bovarysme la mène à des déceptions amoureuses avec son mari et ses deux amants Rodolphe et Léon. Elle fini ruinée, rongée de désespoir et d’ennuie. Elle se suicide laissant derrière elle un mari qui mourra d'amour pour elle ainsi qu'une petite fille, Berthe.

Baudelaire, les «fleurs», la poésie est extraite du «mal», de la souffrance (une parmi pls explications du titre) ANGOISSE – MAL ETRE – DESESPOIR : -Ronsard, Quatres premiers livres des odes, «Mignonne … la saison des za/la saison des za/ la saison des amours»(v7-9) : vision de la vieillesse apocalyptique, il est dans la fantaisie, l'humour. -Racine, Phèdre «je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue» : paraît consumer par la passion : registre pathétique. A la césure : deux mots s'opposent, antithèse