Phénomène Formel Et Informel

un but commun. - Groupe. - Interactions. - Normes. - Sentiment d’appartenance. - Distinction groupe restreint/organisation ; groupe formel / groupe informel. - Taille du groupe. - Statuts et rôles de ses membres. 1.4. Fonctions 2. La dynamique du groupe 2.1. Cohésion du groupe - Production, facilitation, régulation. Le groupe restreint vit un ensemble de phénomènes qui - Cohésion. influent sur son efficacité : les processus de cohésion, de - Motivation. décision et de leadership. - Facteurs de cohésion

conscience. Les groupes imposent des normes (règle de conduite en société) et transmettent des valeurs (principes idéaux) les groupes développent le sentiment d’appartenance. B/ les différents types de groupe : Le groupe formel -> existe officiellement. Le groupe informel ->n’existe pas officiellement. Le groupe d’appartenance -> groupe auquel on appartient. Le groupe de référence -> groupe qui sert de modèle. Le groupe selon l’effectif -> 3 a 5 personnes : petit groupe 6 à 13 personnes

partie, ses définitions et son évolution. En effet traditionnellement, le pouvoir s’exprime sous une forme particulière, l’autorité, qui lui confère un caractère formel. Mais nous verrons que l’exercice du pouvoir n’est pas réservé aux seuls détenteurs de l’autorité : il peut appartenir à chacun des acteurs et émaner de structures informelles. Dès lors il recèle une dimension dichotomique qui a été mise en évidence par l’école des relations humaines et exploitée par d’autres courants. Après avoir ainsi

peine conscient par les individus lors d’interactions. Phénomènes de cooptation supposent mise en œuvre d’un tel classement comme l homogamie qui est mesurée grâce a des variables établies. Ms il reste a savoir comment s’opère les transactions et choix. Les individus se classent les uns les autres pour se situer car il ya des indicateurs de trajectoires sociales. C’est une sorte de stat spontanée. Les couts d’accommodation. Un phénomène social se laisse mieux objectiver si il l’est déjà ds le

L’ «  image » de l’organisation publicisée par les nouvelles théories organisationnelles et l’idéal type autogestionnaire : 84 3.1.1. De nouvelles formes organisationnelles mettant l’accent sur les dimensions collectives, collaboratives et informelles du travail: 84 3.1.2. La reconnaissance du pluralisme : 89 3.1.3. Les facteurs I (Intelligence, innovation et implication) et le renouvellement des structures organisationnelles : 90 3.1.4. La revalorisation du travail 96 3

intergénérationnelle : perspective managériale. Mémoire de maîtrise. HEC Montréal. Août 2004, 139 p. et annexes. 2 Dans cet article, nous retenons la définition englobante du concept de connaissance de Ballay (2002) : « la connaissance implique des phénomènes tels que le langage, la mémoire, l’apprentissage, l’expérience, les perceptions et les émotions. La connaissance est ce qui est présent à notre esprit, consciemment ou inconsciemment, lorsque nous sommes en situation de faire, de dire, d’apprendre

sociale. On a longtemps considéré la recherche et l’exercice du pouvoir comme suspects. C’est ainsi que le concept de pouvoir a été dilué en étant assimilé à des concepts plus acceptés tels le contrôle, l’autorité et le leadership. Le pouvoir est un phénomène dynamique et subtil qui défie la qualification et nécessite une approche multidimensionnelle. Depuis quelques années, de nombreux spécialistes de disciplines différentes ont manifesté un intérêt accru pour l’étude du pouvoir. Ce qui permet

1922, sociologue français Il est le principal concepteur de l'analyse stratégique en sociologie des organisations. Formé dans la mouvance de Georges Friedmann. Il fonde en 1962 le Centre de sociologie des Organisations et publie 1 an plus tard Le phénomène Bureaucratique, où il reprend les derniers développements de la sociologie américaine des organisations pour analyser le fonctionnement des grandes organisations bureaucratiques en France. Il souhaite montrer que le système bureaucratique français

Tous les membres d’un même groupe ont des objectifs ou des idées communes, ce qui est la base du groupe. Selon l’auteur, le  « phénomène de groupe » est bien plus ancienne que le dernier quart de siècle, « on trouve déjà dans la République de Platon ou dans la Politique d’Aristote un ensemble d’hypothèses et d’analyses d’une grande acuité dur les phénomènes collectifs, leurs structures et leurs transformations. » l’auteur s’appuie sur les écrits de Durkhein et Freud. Le premier a étudié des

différentes et complémentaires de l’exercice démocratique : les élections libres et la citoyenneté active Fait associatif  Le "fait associatif" est constitué de tous les regroupements formels et informels d’individus qui font la société. Au-delà des associations déclarées, il regroupe des associations informelles et ces multitudes de lieu où des gens se rencontrent régulièrement, échangent et élaborent ; que ce soit des groupes de mères de familles qui parlent, chaque matin, en conduisant leurs